L'histoire du système banquier des États-Unis avant la Grande Dépression est ponctuée par les «paniques»: la panique de 1873, la panique de 1907, etc.
Reste à savoir, M. Krugman, à qui ont profité, et profitent encore, ces «paniques»?
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En ce moment, concrètement, dans la vraie vie, sont-ils des semeurs de «paniques», ces fameux/fumeux experts présumés en finance virtuelle, qui murmurent à mots c-ouverts des incitations comme celle-ci: «Si j'avais un conseil ... à vous donner ... sortez vos avoirs ... de la banque?»
On croit entendre des cloches qui sonnent? Et qui résonnent. Longtemps. Dans nos oreilles à demi devenues sourdes.
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L'état du monde résumé en une seule photo
Et la personne qui a écrit les deux lignes qui précèdent mérite mon accord avec elle à 100% ...
Merci Lolo
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Plus cynique que ça ...
« Les perspectives de croissance économique stable et durable seraient bien meilleures si nous ne vivions pas dans un monde où 0,5 % des plus riches accaparent 35 % des avoirs de la planète.», a rappelé mercredi (hier) la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.
Au fait, les chiffres auraient-ils donc changé depuis les événements des Indignés? Du 1% de plus riches qu'ils étaient à l'époque, cela voudrait-il dire que la moitié d'entre eux a depuis rejoint les rangs des 99% de miséreux sur cette planète?
Encore un peu de temps, et il n'y aura plus de plus riches que les autres? Mais où allons-nous, madame Lagarde?
Alex Jones vs Indiana Jones
Pour maintenir la croyance, les théoriciens du complot sont contraints
d'élargir constamment le nombre des conspirateurs présumés.
Extrait de Conspiracy Watch
Ce doit être la raison pour laquelle les théories du complot me fascinent à ce point. En tout cas, ça m'emballe tellement qu'il m'arrive souvent de mêler les conspirateurs avec les ... théoriciens. Et vice versa. C'est fou, hein?
À suivre
(FDMJPA) Fin de mon journal pour aujourd'hui.
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