La bataille de Londres: Quand le fleuve Saint-Laurent sort de son lit

En plus de subir le mépris viscéral de P.E. Trudeau à l'égard des Québécois d'abord, et des provinces ensuite,  ici l'opinion  du Consul général britannique à Montréal, en 1976:

Le Québec est simplement trop petit et trop exposé à l’influence nord-américaine pour préserver sa pureté. En ce qui concerne la culture québécoise, il est inutile de prévoir une renaissance car, en termes clairs, les arts ne sont pas florissants au Québec. (…) L’enseignement non plus ne s’y épanouit pas avec grande vigueur.

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Changements terrestres? 

L'an dernier, les débordements dans le golfe Saint-Laurent ont endommagé sévèrement les rives de la Côte-Nord. On ne s'est pas gêné pour mettre ça sur le dos du réchauffement de la planète. 

Plus près de nous, que la rivière Chaudière déborde à chaque printemps que le bon Dieu amène, on ne se surprend plus.  

Mais que le fleuve Saint-Laurent soit sorti de son lit à Québec, ce dernier week-end, cela ne nous laisse pas indifférents.  En tout cas, pour moi, c'est une première. 

Explication: « Nous sommes en période de haute marée, il y a eu des vents très forts en début de matinée ainsi qu’hier [samedi], et nous avions reçu beaucoup de précipitations au cours des derniers jours. Le tout a eu un effet sur la marée, ce qui a causé des débordements », a dit Mme Loisel, porte-parole de la Sécurité civile du Québec.

Conspiration oblige, est-ce un avant-goût de ce qui nous attend dans les années à venir?   Des marées plus hautes à ce temps-ci de l'année que celles des mois de novembre en temps normal  ont de quoi nous étonner. 

Premièrement, c'est la faute aux hautes marées

Deuxièmement, c'est la  faute aux grands vents ...

Troisièmement, c'est la  faute aux précipitations abondantes ...

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Une bonne nouvelle pour Montréal ...?

Mélanie Joly lors de son passage à l'émission Tout le monde en parle, en 2008  
Photo :  Tout le monde en parle

Radio-Canada a appris que Mélanie Joly évalue actuellement ses appuis pour devenir candidate à la mairie de Montréal. La jeune femme de 34 ans est dans une réflexion avancée pour le plus haut poste de la scène politique montréalaise.

Selon son entourage, Mélanie Joly aurait notamment été approchée par des gens du milieu des affaires.

Avocate de formation, elle a pratiqué le droit en litige commercial avant de se joindre au cabinet de relations publiques Cohn & Wolfe, à Montréal, dont elle quittera, vendredi prochain, le poste de directrice associée qu'elle occupait depuis trois ans.

Impliquée dans plusieurs organismes sans but lucratif, Mélanie Joly a notamment cofondé Génération d'idées, un groupe de réflexion politique formé de jeunes de 25 à 35 ans, et siège au conseil d'administration du Musée d'art contemporain de Montréal.

Mélanie Joly a été reconnue comme femme de l'année, en 2008, par le magazine Elle Québec, et comme l'une des 15 femmes qui feront bouger le Québec par le journal Les Affaires en 2009.

Cette possible candidature à la mairie de Montréal s'ajouterait à celles du chef de Projet Montréal Richard Bergeron, de la chef de Vision Montréal Louise Harel - dont l'investiture aura lieu le week-end prochain - ainsi que celle de Denis Coderre, confirmée à la mi-mai. Quant à l'actuel maire, Michael Applebaum, il a déjà indiqué ne pas avoir l'intention de se présenter.

Plus tôt ce mois-ci, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) a émis un avis de recherche pour trouver un maire pour Montréal en prévision de son 375e anniversaire, disant vouloir un maire qui saura « rétablir sa place parmi les grandes métropoles de ce monde ».

Avec les informations de François Cormier et Thomas Gerbet.

Radio-Canada

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