L'État palestinien dans tous ses états



La valse à trois temps que lui a fait danser Mahmoud Abbas,  de Washington à  Bethléem, en passant par Jérusalem, a étourdi quelque peu Donald Trump.   Mais heureusement, il a vite retrouvé ses esprits en réalisant que son partenaire de danse le menait en bateau après lui avoir menti.

Alors que son partenaire portait en lui une haine   qu'il ne pouvait s'empêcher de transmettre,  en incitant son peuple et d'autres  Arabes à la violence, il fallait savoir qu'en choisissant le Proche-Orient pour destination,  le président américain pour sa part, lui,  s'était  fixé comme objectif de relancer le processus de paixIl est nécessaire de savoir que cet objectif était important pour suivre le président américain dans son périple. 

Oui, je sais qu'il a aussi fait commerce d'armes pour plusieurs milliards de dollars avec les Saoudiens. Mais ça, c'est une autre histoire.

La Palestine, d'abord. Voilà pourquoi:
 
Tandis que les Trump se baladaient dans le Proche-Orient, dans mon agenda daté du 23 mai, eh bien, cette journée-là, à la mine, je notais tranquillement ce qui suit:

« Le sionisme international, synonyme de Mafia khazarianne, et leurs coreligionnaires de par le monde,  sont déterminés à utiliser les USA une fois de plus (ne les ont-ils pas déjà utilisés dans deux guerres mondiales auparavant?),  et cela afin de garder la Palestine au sein de leurs possessions  en tant que tremplin de  domination sur le monde.  En somme, si j'ai bien compris, des deux côtés du monde arabe vs juif, on se rend compte, et c'est bien là le problème, qu'aucun côté ne semble prêt à faire des concessions.  Il faut aussi dire que de leur côté,  les diplomates européens continuent à exiger des concessions israéliennes, mais n'en exigent peu,  voire aucune des Palestiniens. »

Malgré la complexité des enjeux, je commence à me demander si je ne devrais pas y regarder de plus près en ce qui concerne  mon adhésion à la cause palestinienne. Ne nous cacherait-on pas un super-volcan qu'on attise continuellement depuis la fin de la dernière guerre mondiale? Selon moi, ce n'est pas d'une anguille sous roche qu'il faut se méfier,  mais des Reptiliens  qui nous entourent depuis longtemps.

Et pour moi, les reptiliens sont synonyme de Khazars et vice versa.
 

Natacha Polony - Le dîner du Siècle - Le Groupe Bilderberg




Un bref cours historique de Natacha Polony sur le Diner du Siècle, le Groupe Bilderberg, les Young Leaders. Un exercice délicat car sitôt taxé de "complotisme", mais un exercice ayant le mérite de la clarté...

Ariana Grande: «J'espère qu'ils vont tous crever »



Quelques heures après l’attentat – survenu à Manchester le 22 mai et imputé à Daech – qui a causé la mort d’une vingtaine de jeunes lors d’un concert d’Ariane Grande, la chanteuse a fait savoir sur Twitter qu’elle était « brisée » par le drame.



En septembre 2014, le New York Daily News avait rapporté que la pop-star américaine d’origine « gréco-nord-africaine [1] » avait tenu en aparté cette phrase après avoir quitté – « tout sourire » – des fans lui réclamant un autographe : « J’espère qu’ils vont tous crever. »

En août 2014, dans un entretien accordé au magazine Billboard, la jeune auteur-compositeur avait révélé être devenue une « kabbaliste ». Comme d’autres célébrités d’Hollywood, elle suivait (via sa « tutrice Ruthie » sur Skype) les enseignements de Philip Berg, rabbin américain enterré en Israël et fondateur d’un nouveau courant mystique inspiré par la tradition juive.

Fin 2013, Ariana Grande, fan de films d’horreur et de symbolisme satanique, confessait par ailleurs avoir le sentiment d’être parfois entourée de présences démoniaques [2].

Pourquoi Ariana Grande a rejoint la Kabbale

« Vers l’âge de 12 ans, j’ai commencé à pratiquer ma religion de mon côté. En tant que Kabbaliste, je sais à quel point il est difficile de se tenir à tous les préceptes. Surtout dans un monde où tout le monde est si égocentrique, et tout ce que tu fais c’est parler de toi et te mettre en avant. » [...]

« Quand on a dit à mon frère que Dieu ne l’aimait plus je me suis dit – Ok, ça c’est pas cool – Ils étaient en train de construire un centre kabbale en Floride alors nous sommes allés voir ce que c’était et nous avons vraiment eu un connexion avec cet endroit. » Avant d’ajouter que « depuis ce jour, ma vie s’est déroulée de façon très belle et je pense que c’est en grande partie grâce à ce que j’ai appris au travers de la kabbale, je le pense vraiment ». [...]

« Je suis née catholique romaine mais j’ai perdu ma foi quand le Pape a décidé de me dire que tout ce que j’aimais et en quoi je croyais c’était mal ! L’église a dit que Bob L’éponge était gay et donc un pêcheur et qu’il devrait brûler en enfer, et qu’Harry Potter était un pêcheur. Et que les femmes qui travaillent – j’étais du genre, ça en est trop ! – d’abord les gays, ensuite Bob L’éponge et maintenant Harry Potter ? Sortez de ma maison ! »

Lire l’intégralité de l’article sur closermag.fr


Notes

[1] « Je viens de découvrir que mes grands-parents sont lourdement grecs et en partie nord-africains... Je croyais que j’étais italienne... Qui suis-je ? Ma vie entière est un mensonge. » (NDLR E&R)

[2] http://www.cosmopolitan.com/entertainment/celebs/a58392/ariana-grande-quotes-about-aliens/

http://uk.complex.com/music/2013/11/ariana-grande-interview-shadow-of-a-doubt-2013-cover-story

Source: E & R

La politique: une question de symboles



De la défaite de Marine Le Pen, j'y vois un terrible soulagement. C'est à l'évidence même qu'il faut se fier puisqu'elle aurait été minoritaire de toute façon.  Ce qui aurait provoqué la même scène de déjà vu quelque part,  que cette dernière n'aurait jamais pu gouverner à sa guise, coincée qu'elle aurait été placée entre le phénomène des forces obscures extrêmement puissantes des médias et la nature même des diverses oppositions.   
 
Nous reste,  donc,  plus que  voir madame Theresa May subir le même sort de diabolisation au moment des élections au Royaume Uni,  en juin prochain.  La seule différence, à mon sens, serait  que le sang froid reptilien de l'une ne coule pas dans les veines de l'autre à travers lesquelles, bout des flots de sang latin.

***
 
Entre parenthèses,  l'allusion au sang froid reptilien des Britanniques comparé au sang latin des Français de souche, a fait en sorte qu'une hargne intolérable a fait dire à une Française de ma connaissance genre une amie d'une amie, en parlant de MLP, que cette dernière « avait des yeux de serpent ... »; comme si c'était aussi simple que cela. Eh bien, malgré tout, j'en suis tout à fait ébahie.

Or pour les faiseurs et/ou faiseuses de poésie langoureuse, à propos de la réalité non plus virtuelle mais tellement réelle, il me fait plaisir de leur apporter un petit seau d'eau tranquille pour leur moulin à vent. Comme dévotion pour cette supercherie actuelle débordante de politique hypocrite, voici donc la réponse d'une personne qui connaît la musique. Au final cependant,  il faut savoir lire les symboles, enfin ceux qui nous conduisent plus loin que le bout de notre lorgnette.

 Avertissement: vous abstenir si vous détestez lire entre les lignes.  Et tant pis, si vous en êtes incapables.


Le Président a décidé qu’il choisirait au coup par coup ceux qui l’accompagneront dans ses différents déplacements et activités.
 

Chapeau,  Madame Le Roux!
Olga Le Roux
Professeur
 

Nous n’avons pas beaucoup d’occasions de rire en ce moment, et pourtant : les journalistes qui ont encensé éhontément le nouveau Président, qui lui ont consacré d’innombrables unes, qui se sont montrés d’une exemplaire servilité dans leurs entretiens avec lui et ses serviteurs, qui ont marché joyeusement dans la construction de la légende dorée du couple Macron-Trogneux, à grand renfort de photos, retours en arrière, images d’Épinal ou plutôt d’Amiens, eh bien, ces journalistes se retrouvent foulés aux pieds.
Le Président a décidé qu’il choisirait au coup par coup ceux qui l’accompagneront dans ses différents déplacements et activités. Il choisira non seulement le média, mais les personnes. Oh, joie ! C’est un délicat plaisir que de voir les thuriféraires transformés en carpettes et les grands bavards réduits au silence. Certes, ils demandent des explications, esquissent une protestation, mais il faudra bien qu’ils se rangent, d’autant que, dans le même temps, ils commentent des sondages annonçant une majorité absolue pour les candidats « en marche » vers l’Assemblée.
Maintenant, après le couple admirable, après le parcours triomphal du surdoué, après l’art d’un acteur capable d’autorité et « en même temps » d’écoute va se construire une autre légende : l’homme de fer, le seul maître à bord qui somme ses ministres de se taire, sauf en mission officielle, et les journalistes de plier ; bref, qui met au pas ceux qui l’ont porté au pouvoir. 
Comme dit San-Antonio, dans son admirable sagesse, « l’ingratitude est un gain de temps » ; et le roi de France ne récompense pas les flatteries offertes au duc d’Orléans… 
On n’a peut-être pas assez prêté attention aux morceaux choisis du couronnement : le Louvre, palais de nos rois modernisé par une pyramide bien ambiguë, l’« Hymne à la joie » européen et sans paroles ont été remarqués. Mais à l’Élysée, lors de l’investiture, parmi d’autres morceaux, le fameux « Air du champagne » du Don Giovanni de Mozart mérite qu’on s’y arrête. Certes, Don Juan, né en Espagne, est rapidement devenu un mythe européen, mais ce séducteur qui fait tomber les femmes comme des mouches est aussi une brute : l’air du champagne promet joie et danse mais sur fond de viol, viol initial de Donna Anna qui causa la mort de son commandeur de père, viol interrompu de la jeune Zerlina. Au fond, ce qui résume le mieux ce héros terrible, c’est son autre air, « Viva la libertà », qui m’a toujours paru illustrer admirablement ce jugement (dont l’attribution est incertaine et qui se rapporte au libéralisme politique) : la liberté du renard libre dans le poulailler libre.
Et Molière, déjà, l’avait bien compris en créant son personnage qui ridiculise les deux paysannes et fait battre le pauvre Pierrot, qui enrage que les pères vivent autant que leurs enfants, qui trompe son créancier, qui veut humilier le pauvre (mais échoue à le faire) et finit par ériger l’hypocrisie en valeur suprême. La séduction est enivrante, la désinvolture fascinante, la morgue aristocratique captivante et souvent, comme Elvire ou Sganarelle/Leporello, nous, spectateurs, tombons sous le charme et l’emprise de ce « conquérant », cet Alexandre, qui n’aime rien tant que la conquête – et, de fait, ne manque pas de courage physique -, ne croit ni à Dieu ni au diable, seulement que « deux et deux sont quatre », ce qui en matière de banque ou de conquête du pouvoir est un solide fondement.
Au-delà des paroles et des programmes, les symboles en disent toujours long… 
 Source: Boulevard Voltaire
 

Ce que certains Français pensent d'eux-mêmes

Le Marine bashing a assez duré !

C'est une femme seule. Raison de plus pour la respecter.
Frédéric Marc
Boulevard Voltaire

“A woman scorned”. En plein Festival de Cannes, on peut dire que ce thème de la femme bafouée est un vrai genre cinématographique. Seulement voilà. On n’est pas au cinéma. On est dans la vraie vie. Ce constat de réalité, beaucoup ici, sur Boulevard Voltaire, qui se font parfois trop de cinéma, devraient le méditer un peu plus. Alors, dès le soir du deuxième tour de l’élection présidentielle, on a vu les canonnières se déchaîner. Partout dans les médias, et même chez ceux qui, ici ou ailleurs, l’encensaient il y a quelques jours. Que n’a-t-on pas dit sur la défaite de Marine Le Pen !

Oui, ici, sur Boulevard Voltaire, J’ACCUSE !

J’accuse tous les rêveurs de la droite éternelle de vider leur hargne sur, peut-être (l’Histoire le dira), LA FEMME la plus courageuse de l’histoire de la République (vous me direz, il n’y a pas eu beaucoup de candidates à la fonction présidentielle depuis la Révolution)… et de vouloir virer Philippot pour reconstruire la droite. Mais arrêtez de nous bassiner, bande de ringards, la droite dont vous rêvez n’existe pas et n’existera jamais.

Et Macron, lui, l’a bien compris pour la gauche, et il est président de la République française. Virez Philippot, et Asselineau aura eu raison de dire qu’en 2035, Marine Le Pen sera encore et encore candidate pour la énième fois.
J’accuse tous les soutiens de la dernière heure de venir piétiner un jour celle qu’ils ont adorée la veille et qu’ils avaient déjà piétinée quelques jours avant.

J’accuse Marion Maréchal-Le Pen – et je sais que je ne vais pas me faire des amis -, la midinette des plateaux de télé, la NKM du FN, de s’être empressée de quitter le navire, sachant pertinemment que la presse entière allait s’emparer de la nouvelle pour enfoncer un peu plus Marine Le Pen. Quelle était l’urgence ? Une question familiale ? Ça n’aurait pas pu attendre une semaine ou deux ?

J’accuse, enfin, ce parisianisme mondain qui se goberge sur TV Libertés de ne pas sortir de son petit monde parisien.

Et j’accuse tous les autres, ici même sur Boulevard Voltaire, qui déversent leur haine douteuse. Oui, douteuse, car il y a dans ce que je perçois autour de moi beaucoup d’ignominie misogyne. Lui aurait-on fait subir le même sort si elle avait été un homme ?

Entre les deux tours, seules deux femmes – Marie-France Garaud et Anne-Marie Le Pourhiet – ont eu des mots raisonnables et à sa hauteur. Tous les autres ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Oui, je l’admets, son débat avec Macron n’a pas été glorieux. Et alors ? Vous croyez qu’elle ne le savait pas ? Vous croyez qu’elle ne sentait pas, au fond d’elle-même, que de toute façon elle serait battue ?

Soyons honnêtes une seconde. Si Marine Le Pen avait eu la hauteur gaullienne que vous attendiez, croyez-vous vraiment qu’elle l’aurait emporté ?

Mais ouvrez donc les yeux ! Nous avions affaire, là, à une machination sans précédent.

Marine Le Pen en a eu conscience, mais c’est une femme seule. Raison de plus pour la respecter. Aucun homme n’a eu le courage de tenir tête à cette monstrueuse machine politico-médiatico-financière, et Nicolas Dupont-Aignan s’en est bien rendu compte.

Les attaques provenant de son propre camp sont ignobles. Et elles traduisent surtout, de la part de ces stratèges en chambre, une cécité et une inconséquence inquiétantes et sur le présent et sur l’avenir.


***

Ce que pense Marion-Maréchal Le Pen  d'Émmanuel Macron: « À ses yeux, dit-elle, la France est une start-up multiculturelle, un business, qui doit être le plus rentable possible. S’il faut faire rentrer un million d’immigrés dans le pays parce que c’est rentable, quelles que soient les conséquences sociales, il le fera. Pour lui, la France est un territoire, pas une patrie ; c’est une population, pas un peuple ; ce sont des individus, pas des personnes. »    Source: Dreuz.info  19.05.2017
 
 

Une chanson pour les temps qui courent

En hommage à Jeanne d'Arc (la sainte ...)
 



Même une apostasiée comme moi peut ressentir l'avenir.

Élections présidentielles en France: Le détachement

Ce matin, je reviens de loin. Faut bien, car la réalité finit toujours par l'emporter sur l'émotion.  L'humaine en moi se relèvera et s'acclimatera à cet avenir bouché et au présent insupportable.  Enfin, je le crois.
 
Le Système franc-maçonnique français a gagné ces épaulettes. Pas surprenant, il avait accouché du Petit Chose, son poulain idéal,  contrairement à celui des Démocratres et des banquiers de l'État profond qui,  eux, avaient misérablement misé sur  un mauvais cheval,  disait la rumeur.  

Or, une fois le choc brutal passé, revenons d'abord aux vraies affaires. Ici, ce sont avec les pieds dans l'eau froide des inondations que se battent les survivants d'un climat pris de malversations. L'eau froide atteint les inondés jusqu'au cœur de leur troufignon.  J'assume.
 
Néanmoins, il y avait ici comme là-bas, la honteuse récupération politique qui a fait  déambuler hier,  dans l'eau jusqu'à la ceinture,   ce bel aéropage de comparses  libéraux québécois. 

Ces derniers sont  venus cueillir cette bénédiction qui leur a été offerte par cette  catastrophe providentielle,  en profitant mine de rien pour  faire diversion et oublier le scandale politique de la pesante corruption  qui leur collait aux fesses depuis quelques jours.  Qui n'a pas vu le petit clin d'œil en direction de ses pairs  de la part de Mélanie Joly, ministre libérale du Patrimoine canadien?
 
Mais revenons aux commentaires rapportés dans La Presse par Yves Boisvert dans sa chronique de fin de semaine. D'ailleurs, un des seuls journalistes québécois avec Christian Rioux  dans Le Devoir,  pour qui j'ai plaisir à lire la teneur lucide de leurs analyses. Phénomène plutôt rare par les temps qui courent.
 
Je disais donc que dans sa chronique, «La désaffection», par cela  il montrait à quel point la réalité est toute différente de ce qu'on veut bien nous faire croire. En citant Samuel, un gars de 25 ans habitant un ville du Nord,  Yves Boisvert fait dire à ce dernier: « Les gens ne vont pas au-delà des apparences, ils ne s'informent pas. »
 
Et que dire de cette femme, dans la soixantaine, qu'il a vu sortir en pleurant et qui avait son mari au bout du fil. « Elle (Le Pen) finira jamais par passer! Et tu sais quoi? Les Belges ont annoncé les résultats à 19h! Comment ça se fait, ça? »
 
Yves Boisvert de terminer en précisant que les médias belges en effet, non tenus aux règles françaises, ont fait état de projections dès la fermeture des bureaux de scrutin. Plein de gens, là, auraient vu la preuve que les dés étaient pipés. Or, ce que voulait montrer Yves Boisvert par ces exemples, c'est pour qu'on puisse voir de l'autre côté du miroir, la fâcheuse réalité du trucage des élections. En France évidemment comme partout ailleurs.
 
 Et que celle-ci à la suite de quelques autres du même genre, cette année, les élections présidentielles américaines avec l'affaire des machins-trucs électoraux de George Soros, les élections du Brexit  trafiqués par des bénévoles qu'on a vus sur des caméras cachées et enfin l'élection présidentielle en France qui s'y connaît, elle aussi, en trucage sophistiqué d'élections. 
 
Et bien sûr, ces petits incidents pris au hasard des hasards  ne font que montrer le sommet de l'iceberg.  Ne blâmons que le Système kazarian ou l'État profond de certains pays occidentaux pour cette engeance,  qui abîment et corrompent les démocraties. Sur ordre du nouvel ordre mondial, ou quoi?

Maintenant, nous reste à savoir le  réel pourcentage de l'inquiétante désaffection des gens aux diverses élections. Toujours selon Yves Boisvert, la statistique la plus intéressante après le plus faible taux de participation depuis 1969 (7%, ce serait un record de participation aux  États-Unis de plus d'un siècle), c'est celle du vote protestataire: dans Hénin-Beaumont, sur 13 171 votants, 909 personnes ont voté «blanc» (c.à.d. présentant une enveloppe vide) et 496 ont fait un vote nul (en abîmant un bulletin). C'est 10% de tous ceux qui ont voté. 

La conclusion revient à Jean-Yves Jézéquel, collaborateur pour le site Mondialisation,  6 mai 2017: 

L’oligarchie au Pouvoir contrôle la population dans son ensemble et de manière beaucoup plus brutale que les apparences ne le laissaient voir, tout en niant ouvertement la moindre revendication d’une « élémentaire » démocratie. Toute idée de Liberté, d’Égalité et de Fraternité n’habite absolument pas le Pouvoir. Le Pouvoir le fait maintenant savoir ouvertement, sans complexe, se moquant éperdument du choc considérable qu’un tel degré de corruption peut provoquer dans la conscience d’un peuple humilié par le mépris et l’arrogance d’une caste de criminels régnant sur sa destinée !
 
Nous allons vers une colère qu’il aurait été souhaitable d’éviter mais qu’il n’est plus possible d’éviter.
______________

Désaffection :  Perte de l'attachement de ce que l'on éprouvait. (Petit Robert de poche 2015)

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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