Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine: suite


En octobre  2015, au moment de lire ce volume (voir à gauche), je ne connaissais pas ce que je sais aujourd'hui. Désormais, tout s'éclaire.

À l'endos  de ce volume, on peut lire: « L'auteur développe et explique à partir d'abondantes pièces d'archives que les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXè siècle, un plan¹ de bataille afin de permettre à l'Empire britannique associé aux États-Unis d'asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l'oeuvre d'une poignée d'hommes²,  issu de la haute finance de la City de Londres et de Wall Street. » 
 
Nous voilà donc en plein pic du Système, où si vous préférez, en pays de connaissance.  Or, le plus grand défaut de ce livre, c'est d'avoir omis de nommer cette poignée d'hommes sous le vocable de Mafia khazar des Rothschild.

Une histoire perdue et retrouvée

Les auteurs, Preston James et Mike Harris,  de cet article  publié sur internet le 8 mars 2015,   ont fait de leur mieux pour ressusciter cette histoire perdue et occulte des Khazars et de leur énorme syndicat international du crime organisé, appelé la Mafia khazar et mettre cette histoire à la disposition du public via Internet, la nouvelle presse à imprimer de Gutenberg.

¹. Ce plan a été réécrit à quelques reprises afin de l'adapter au fur à mesure du développement des nouvelles technologies. Le projet L'Aurore rouge, a été écrit au début des années 80. Voir sur le site Le Chant des Sirènes http://laurorerouge.blogspot.ca/2011/06/laurore-rouge-le-projet-politique-du.html

². L'oeuvre de l'auteur Carroll Quigley ayant été publiée (en anglais) après sa mort en 1981, on peut comprendre qu'il n'est pas responsable de cette omission par le fait d'avoir ignoré à son époque, l'existence même de cette Mafia khazar des Rothschild ressuscitée depuis peu. 

Par ailleurs, ce n'est que tout récemment, en 2014, qu'on a fait le lien entre tous ces groupes d'hommes:  élites, oligarchie, aristocratie, bourgeoisie, etc, et la Mafia khazar qui décidaient de tout et partout sur cette planète depuis leur origine au début de notre millénaire, jusqu'à nos jours.

Or, on peut douter de l'existence de cette  Mafia diabolique, mais on ne pourra jamais ni expliquer ni comprendre le vaste Mensonge qu'elle a fait peser (et encore aujourd'hui) sur la tête des peuples depuis tout ce temps.

Ce qui revient à dire que le contrôle mental dont ils usent à volonté si cruellement sur nous,  confirme leur pouvoir incommensurable sur les humains. Ce qui revient à dire qu'on nous fait  croire que nous sommes libres.  Pure illusion,  si l'on creuse vraiment.

L'illusion de la liberté! Edward Bernays, auteur de Propaganda « Comment manipuler l'opinion en démocratie» a écrit: « Nous sommes gouvernés, nos esprits sont moulés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler. »  Ce n'est plus le cas maintenant; désormais nous pourrons mettre un nom sur ces entités maléfiques: la Mafia khazar des Rothschild. 

Avant qu'il ne soit trop tard


 
Il était temps que quelqu'un remette les pendules à l'heure concernant la Russie, son peuple et son président, Vladimir Poutine.  Mais n'est-il pas déjà un peu tard?

Je profite ici de la campagne électorale américaine menée par les deux candidats actuels, le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton, pour  dire qu'il existe un autre côté à cette médaille qui apporte un point de vue différent sur l'idée que l'on se fait de cet enjeu majeur qui risque de tourner au vinaigre. Et de nous y noyer tous autant que nous sommes dans la même chaloupe.  
« Les tensions militaires dangereuses entre l’Ukraine et la Russie ont été déclenchées alors que dans la campagne électorale américaine, la favorite présidentielle, la candidate démocrate et ex-secrétaire d’État Hillary Clinton tente d’attaquer depuis la droite le candidat républicain fascisant Donald Trump, en particulier sur la question de la Russie. » Mondialisation.ca, 13 août 2016
Or, à moins de quatre-vingts jours des élections américaines, il semble extrêmement important d'aborder ce sujet en soulevant la visière que nous ont tricotée si serrée les mainstream médiatiques, qu'il n'y a plus d'espace pour y voir clair, ni pour  y respirer l'air  du dehors.

Au moment même où l'un des deux candidats n'a de cesse de blâmer l'autre d'être à la solde du président russe,  aux dépends des intérêts nationaux américains (l'éternelle domination du monde, oblige), entre autre,  cela n'est pas seulement  une vaine tactique électorale, mais d'abord et avant tout, une façon de mettre dans l'embarras celui qui trahit son pays en se rangeant du côté d'un ennemi de très longue date.

Et cet ennemi aurait-il le pire défaut de la terre, c'est-à-dire qu'il donne la chair de poule en se présentant comme une puissance parallèle qui porte ombrage et inquiétude  chez les chefs d'armée américains et dans les hauts rangs de la CIA, alors que  la va-t-en guerre en chef, Hillary Clinton n'attend plus que d'être élue pour se mettre aux ordres de ces faiseurs de guerre.

Pendant ce temps, Alexandre Latsa, dans son premier ouvrage en langue française,  témoigne, chiffres à l'appui sur la réalité de la Russie d'aujourd'hui, bien éloignée des clichés habituels véhiculée par les médias français et occidentaux. 


« La totale incapacité de la majorité des analystes français (et occidentaux) à percevoir les réalités russes ne s'explique d'aucune façon rationnelle. Souvent, ils nient les évidences, comme aveuglés par une folie idéologique et dogmatique.  À leur grand dam, l'économie russe s'est montrée beaucoup plus résiliente que tous les pronostics pouvaient l'envisager. Il est difficile de dissimuler que, malgré dix ans d'attaques médiatiques, le président russe est toujours soutenu par son peuple et que les sanctions vont vraisemblablement finir par servir la Russie et bénéficier à sa production domestique, et par conséquent desservir l'Europe. » p. 218

Enfin, cette hystérie russophobe qui vise la Russie de Poutine est certes politique avant tout mais,  si on continue à refuser le peuple russe ainsi qu'à diaboliser son président sous le couvert de vieux clichés datant de la morne période soviétique, demain sera trop tard. 

Qu'attendent donc nos journalistes et experts en géopolitique pour se mettre à jour  et apporter à leurs lecteurs  une analyse plus pointue, plus objective et  plus professionnelle sur la nouvelle Russie?   Sauf que même si ces derniers le voulaient, le pourraient-ils, car de ce côté-ci du monde,  c'est le silence mortel sur le printemps russe. À suivre au pas les ordres de Washington, c'est comme si le mur qu'on a érigé entre la Russie et l'Occident,  fait de nous des prisonniers de la libre expression de parole et de pensée,  comme au temps de Staline,  ma foi!
 

La Russie: d'une terre du milieu à une Byzance du futur?



En nord-américaine d'origine européenne de longue date, il m'étonne, ce chapitre du modèle russe décrit par l'auteur Alexandre Latsa.  pp.147-151
 
« Habitués que nous sommes de s'entendre vanter depuis des lustres  le  " modèle américain "  et/ou européen, cela me fait tout chose de voir que les élites russes actuelles, en total désaccord avec la voie historique que  prend l'Europe de l'Ouest sur le plan politique, économique et surtout moral, pourraient être tentées de continuer à développer un modèle russe établissant une forme de continuité entre les héritages tsariste et communiste, et  intégrant les impératifs économiques et les nécessités géopolitiques du monde actuel.
 
Pour ce faire, les élites russes d'aujourd'hui sont en train de ressusciter les théories russes du XIXè qui envisageaient leur pays comme un ensemble à part et une authentique terre du milieu entre l'Ouest et l'Asie, et remettent au goût du jour les principes enfouis dans l'inconscient collectif, notamment l'idée de la différence entre la Russie et l'Occident. »
 
Je passerai alors sous silence cette longue analyse  sur les changements profonds que connaît la Russie sur le plan intérieur. Mais j'aimerais  tout de même dire que les trajectoires russes et européennes sont destinées à se séparer avec une intensité proportionnelle à l'éloignement que l'Europe se choisira d'avec la Russie et donc de l'Eurasie.
 
Tout dépendra des liens que Bruxelles effectuera en choisissant de se tourner vers l'Occident et les États-Unis, refusant ainsi indirectement d'accepter l'établissement d'un monde multipolaire (en contradiction avec le monde unipolaire étatsunien ), grand projet des élites russes.  
 
 
 
Comme si la réconciliation à laquelle nous avons assisté  cette semaine, entre la Russie et la Turquie,  augurait d'un avenir en ce sens,  que le renouveau de la Russie pourrait bien  conduire à une Byzance du futur. 
 
En tout cas, cela pourrait-il être le message que nous auraient  laissé entendre les deux présidents russe et turc,  Vladimir Poutine et Recep Tayyiq Erdogan  ce dernier lundi?  
 
Chose certaine, je sens dans mes veines que nous vivons à l'heure actuelle une période géopolitique historique du tonnerre ... 
 
À suivre.
 
***

 

Psychose et médias

En Espagne, une plaisanterie est prise pour un attentat par des vacanciers paniqués. Ailleurs en Europe, la crainte d'une attaque jihadiste surgit à la moindre agression d'ordinaire traitée comme un fait divers: face à la menace terroriste, le "vieux continent" est devenu fébrile.
 
Dès la moindre agression à l'arme blanche connue, les chaînes d'information en continu bouleversent leurs programmes pour suivre en direct les interventions des forces de l'ordre et des secours comme s'il s'agissait d'un nouvel attentat.
En France, l'agression au couteau d'une femme et ses trois filles en vacances dans les Alpes, commise le 19 juillet par un Marocain, a ainsi été traitée par plusieurs médias comme un possible acte djihadiste. L'agresseur, qui a dit souffrir de troubles mentaux, reprochait en fait au père et mari des victimes de s'être gratté l'entrejambe devant sa femme...
Pour Christian Delporte, spécialiste français de l'histoire des médias, "ce ne sont pas les médias qui nourrissent la psychose, c'est au contraire cette psychose qui nourrit les médias. Les responsables politiques ont une plus grande responsabilité que les médias, car ils devraient appeler au calme".
Selon cet expert, les médias jouent un rôle de "canalisateur" des peurs: "On est chacun derrière son poste de télé, le fait d'en parler grâce aux médias, dans une forme de communion, apaise".
Parfois, des plaisanteries virent à l'aigre. Dans une station balnéaire espagnole, à Platja d'Aro (nord-est), une "flashmob" (performance éphémère) prévue par cinq jeunes Allemandes, avec cris et course en bord de mer, a récemment été prise pour un attentat par les vacanciers paniqués. Bilan: onze personnes soignées pour contusions et tachycardie.
Source

Ah! ces diables de météorologues



Quel été fabuleux,  avons-nous, cette année! Les ciels bleu azur  parcourus souvent  par des nuages aussi merveilleux qu'inquiétants,    que nous envoient ces diables de météorologues pendant des jours et des jours,  m'inspirent des cantiques de louanges à leur endroit.
 
Pendant ce temps, en Russie, là,  où  c'est encore le printemps,  c'est aussi le brasse-camarade.  Avec monsieur Poutine  aux commandes, la Fédération de Russie étant un immense territoire, il a beaucoup à faire pour ne pas perdre de vue,  les cent soixante-dix (170) peuples qui l'habitent de la Sibérie moyenâgeuse à la Moscovie occidentalisée, en  passant  par toutes les religions qui les protègent des mauvais sorts  jetés par la mafia des Khazars,  qui surveille leurs moindres gestes et écoute électroniquement leurs pensées, quelles soient ou bienveillantes ou malveillantes.   
 
En d'autres cieux moins glorieux, ce n'est certainement pas Hillary Clinton qui peut comprendre pareille race de monde, cette dernière étant trop  occupée actuellement à démolir les  uns après les autres les murs virtuels de son seul adversaire électoral. Alors voilà pourquoi,  elle a dû  amalgamer les avatars de Donald Trump et celui de Vladimir Poutine afin d'en faire un seul homme à abattre.   Une femme pratique, Hillary!
 
Or, comment pourra-t-elle  empêcher de gérer,  à sa manière,  la nouvelle Russie qu'est en train de construire l'homme le plus respecté de la planète, et qui n'a aucune intention de soumettre sa froide et virile volonté à une femme ...  

Macho, Vladimir Poutine? Si c'était vrai, on l'aurait su. Même si cette femme en venait à dominer  à son tour plus grand encore qu'un pays  aussi vaste que celui de son ennemi mortel, saurait-elle qu'il existe aujourd'hui  en Russie  un président qui fera l'histoire de son pays,  au lieu de n'avoir d'yeux que pour détruire l'humanité.  
 
Encore une fois, je vous laisse y réfléchir. 
 
***
 

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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