Un dîner de «connes»





C'était  lors d'un dîner donné par le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement  solidaire à l'occasion de la Journée de la femme.  Était invitée Malika Sorel-Sutter en tant qu'ex-membre du Haut Conseil à l'intégration (HCI).

D'abord,  de ce premier dîner des «Lundis républicains»,  une idée sortie d'un colloque qui avait eu lieu précédemment,  une première discussion a été relatée par Malika Sorel-Sutter.

«Cela concerne le respect de la liberté d'expression. Nous sommes le 8 mars 2010.  La plupart des invitées  de la table du ministre sont des femmes du monde politique. À peine sommes-nous assis que la voisine de gauche du ministre lance la conversation: "Il faut le faire taire, celui-là!".».

À mon humble avis, cela semblait avoir toutes les allures d'un ordre ou encore pire,  d'une obsession. Malika Sorel-Sutter ne l'a-elle pas entendu répéter sa requête:«Il faut le faire taire, celui-là!»?

Mais qui était donc celui-là?  Je peux tout de même me vanter de le connaître pour avoir  lu son livre «Le Suicide français» Les 40 années qui ont défait la France. Du grand œuvre, naturellement! Mais plus déstabilisant que ça ... ICI, ICI et ICI.   Eh bien, je me demande comment il aurait été possible de faire taire l'auteur de ce livre, et de surcroît,  journaliste à ses heures.

Or,   certes malgré tous les efforts déployés par les élites et leurs  acolytes politiques  qui n'en peuvent plus de l'entendre, ce prestidigitateur des mots et de la parole s'amuse à scandaliser la France entière. Et cela,  pratiquement tous les matins du calendrier grégorien  par ses propos mordants, voire même souvent  controversés,   sur les ondes de diverses chaînes de télé françaises.

Toujours est-il que vouloir faire taire quelqu'un comme Éric Zemmour, en l'occurrence,  ce n'est pas  demain la veille qu'une femme politique,  même avec panache et cynisme,  réussira cet exploit.  Enfin, il ne m'étonnerait pas que  Malika Sorel-Sutter soit restée bouche bée,  devant le culot de la  voisine de gauche du ministre.   Mais, ce n'est pas tout.
 
« Il est une autre discussion lors de ce dîner du 8 mars avec le ministre Éric Besson qui mérite d'être mentionnée, écrit M. Sorel-Sutter. Assise à mes côtés se trouve une parlementaire de droite. Au cours du repas, elle interpelle le ministre. 

Elle s'insurge contre le fait que le gouvernement ne s'occupe pas suffisamment du problème de la polygamie, préoccupant à ses yeux. J'ai la présence d'esprit de lui demander de préciser les raisons de son ire  et de me dire ce qu'elle pense que devrait faire le gouvernement. Je suis à mille lieux d'imaginer sa réponse.  

Selon cette élue, le gouvernement n'en fait pas assez sur la polygamie: elle souhaiterait qu'il débloque davantage de moyens financiers pour, dit-elle, et ce sont ses termes "décloisonner les femmes". Ne comprenant pas ce que cela signifie, je lui demande de préciser son propos, ce qu'elle fait de bonnes grâces: le gouvernement doit mettre à disposition un logement par épouse, car, en l'état actuel, des problèmes de cohabitation se posent entre les différentes épouses. J'ai failli tomber de ma chaise! » pp. 137-138
 
Ces petits faits anecdotiques nous permettent de mieux comprendre  comment la France en est arrivée à sa propre décomposition. Or,  c'est  avec de telles  politiques, hommes et femmes confondus,  qui ont laissé  enfreindre les lois pendant plus de trente ans et qui  ont placé les Français devant l'obligation d'accepter l'impensable, c'est-à-dire de faire bonne figure devant la soumission. 
 
Désormais,   allez donc ramer de reculons: utopique, n'est-ce-pas?  Inutile de dire que le présent de la France m'attriste infiniment. Et je mentirais de passer sous silence cette vague inquiétude,  que j'ai pour le peuple français.
 
Néanmoins, à ce stade-ci de ma lecture, (encore une autre qui remplit de fascination mes petits matins),  je ne peux que dire des éloges sur ce bouquin qu'il m'a fallu attendre pendant plusieurs semaines. Car chez Archambault, il semble qu'on se soit mis à l'ère du numérique seulement.  Je n'ai rien vu qui pouvait ressembler au bon vieux livre imprimé. Ai-je raison de croire cet état de fait?




Et cette autre vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=Bx-40zp7RSw

Malika Sorel-Sutter: un moment de vérité



Je ne connaissais pas cette auteure française, ni ses livres dont celui-ci publié en novembre 2015. 
 
Encore un bouquin qu'il m'a fallu faire venir de France, « Décomposition française » ne veut rien dire si on ne s'intéresse  pas à l'actualité de ce pays présentement.  
 
La question que pose Malika Sorel-Sutter,  à savoir comment en est-on arrivé là,  analyse les faits et gestes des élites gouvernementales depuis François Mitterrand jusqu'à François Hollande, en passant par Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, faits et gestes qui ont amené la France au bord du précipice que l'on redoute aujourd'hui. 
 
Et démontrent que ces mêmes élites ne sont pas  là pour le bien du peuple, mais bien pour leur propre agenda, d'abord.
 
Mais, ce n'est pas là le pire.

Comment les Français en sont-ils arrivés à livrer leur pays aux griffes d'une entité étrangère, en l'occurrence, l'Europe, sans leur consentement, donc qu'on leur a imposée (lire: pousser dans la gorge, si l'on peut dire ainsi) en leur promettant des jours meilleurs, entre autre.

Comment ont-ils osé se laisser prendre par une ruse pareille  aussi vieille que le monde? Lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart de temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte. L'expérience de la grenouille dans la marmite qui chauffe en fait foi. 
 
La grande escroquerie ou grande duperie, c'est selon, qu'il leur faut désormais admettre et surtout assumer  bien qu'ils s'y perdent en conjoncture après vingt ans de déconstruction. 
 
Entre-temps, l'élite s'emploie à empêcher toute prise de conscience qui pourrait conduire à un moment de vérité.  Peut-être est-il trop tard maintenant?  Car la résistance relève la tête.

À suivre.
 
 *** 

Jo Cox voulait changer le monde ...

Jo Cox

 
À qui profite les récupérations politiques

Des exemples encore chauds

D'abord savoir que L'État Islamique (l'EI) est une créature des puissances occidentales ainsi que toutes leurs sous-créatures, tels Al Qaida,  etc,   bien que le directeur de la CIA lui-même ait avoué en avoir perdu le contrôle. Mais cela reste à vérifier.

Il a donc été prouvé depuis longtemps que la majorité des attentats terroristes sont d'origine politique. Or, il arrive souvent qu'un attentat se produise lorsqu'il y a panique quelconque ou nécessité de provoquer la peur (stratégie de la terreur) pour une raison ou une autre, au sein d'un gouvernement, ici, occidental: États-Unis, Grande-Bretagne, Belgique, France, Canada ..., entre autres.

On savait que le gouvernement de François Hollande était au plus bas dans les sondages, peu de jours avant les attentats de Charlie Hebdo et celui du Bataclan l'an dernier (2015).

Ce qu'il y a de curieux, c'est que le lendemain de ces attentats, la cote de popularité de François Hollande est «miraculeusement» remontée. Il fallait aussi savoir que le président français Hollande, avait absolument besoin de cette remontée pour instaurer l'État d'urgence dans son pays. Et de un.

Cette fois-ci, cela se passe en Grande-Bretagne. La campagne pour la sortie ou non de ce pays de l'Union européenne battait son plein. Le Brexit (pro-sortie de l'UE) était en avance dans les sondages jusqu'à hier. Le gouvernement de David Cameron s'est pris de panique.

Qu’il existe des lobbys privés pour ne pas dire mafieux, qui tirent grand profit de l’appartenance du Royaume-Uni à l’Europe, est une évidence. De là à dire qu'ils n’hésiteraient pas à tuer pour préserver leurs privilèges l’est certes moins, mais il suffit d’un seul. Après tout, l’argent n’est-il pas le premier mobile du crime. Si le mobile financier est donc possible, le mobile idéologique ne l’est pas moins.

Puis voilà que survient le meurtre de Jo(anne) Cox, une députée travailliste pro-UE, tuée par balles jeudi à Birstall (nord de l'Angleterre) par un nobody qui aurait crié « Great Britain first!».  Grande-Bretagne, d'abord.  
 
Aussitôt s'est mise en branle la récupération de cette nième tragédie. Outre le mobile de l'argent, l'enjeu majeur consiste, pour ce gouvernement, à garder la Grande-Bretagne dans l'UE afin d'éviter l'effet de dominos, c.à.d. que d'autres pays suivent le mouvement.

Alors cet événement malheureux arrive à point nommé pour faire tourner le vent des sondages en sa faveur. Et, « Si l’on veut influencer les électeurs, il faut se poser en victime pour susciter la compassion des indécis. » Boulevard Voltaire.   Et de deux.

Ce que je retiens de plus en plus de toutes ces horreurs, c'est qu'au final l'Union Européenne est une autre créature qui ne profite qu'à ceux-là qui l'ont créée. D'où l'importance primordiale pour eux de la sauver. À tout prix!

Un dernier mot pour dire ceci. Je sais qu'on s'y fait depuis le Temps, mais lorsqu'il s'agit de sacrifier des femmes ou des enfants, bref, des innocents, sur l'autel de ce dieu du Mal assoiffé de sang et de larmes, j'ai peine à retenir les miennes.

À suivre.

Écrit 17 juin 2016

Je m'ennuie de Bernie: vive les vacances


Des propos sans queue ni tête

D'abord, il faut savoir que les Européens (pas tous évidemment ...!) n'ont tout simplement pas les cerveaux, ni la colonne vertébrale, ni les couilles pour oser avoir une opinion par eux-mêmes. Au lieu de quoi, leur opinion est tout ce que la Maison Blanche leur ordonne ou exige d'eux, c'est pareil. Lu quelque part sur le Net. Absolument intolérable!


On l'appelle la reine du chaos. Et pour cause.
 
Par contre, la majorité des gens s'imaginent qu'Hillary Clinton est Démocrate. C'est normal. Elle fait partie de ce parti. Mais je ne suis pas de cet avis. Elle pourrait tout aussi bien être Républicaine de par ses instincts belliqueux, son agressivité maladive et son arrogance sans borne  envers ses semblables.

De plus, je me demande ce qu'elle fera de l'héritage de son adversaire, Bernie Sanders, lui aussi Démocrate,  plus qu'elle d'ailleurs. Finalement,  j'ai peine à croire que cette mégère dirigera le monde en devenant Présidente des États-Unis.  Je m'ennuie déjà infiniment  de Bernie. 

***

On dit que la Méditerranée est un cimetière marin. Une autre théorie du complot. Toutefois, peu importe qu'on habite les rives de cette mer aux eaux bleues sur les côtes d'Afrique ou celles du continent européen, mais je crois qu'aujourd'hui, bien des gens aient de moins en moins le goût de s'y baigner ou d'y manger ses produits. Personnellement, j'y penserais à deux fois avant de manger du poisson méditerranéen, mort ou vif. Je doute que cela ait un goût amer.  

Mais laissons la mer digérer les milliers de corps des migrants naufragés disparus en son sein, ces derniers mois.  Cela dit, après avoir vu sur Tv5,  l'émission Des Racines et des Ailes plusieurs fois, je suis incapable d'imaginer que la France pourrait disparaître un jour.
 
 Pour aller où, va-t-on me demander? Mais au Diable, où elle s'abîmera sur les récifs posés par son petit peuple qui manifeste de plus en plus son complet désarroi. Car à ce jour, elle en est encore à ne pas lever souvent les yeux vers le ciel de Provence dans lequel j'y ai vu, non pas des contrails mais bel et bien des chemtrails comme partout ailleurs dans le monde. Ô, amalgame, quand tu nous tiens!

***

Dans le même temps, voilà qu'à Orlando (Floride), un tueur homophobe s'est donné la mort en emportant avec lui une cinquantaine de ses semblables.  Puis, dans le même temps,  à  Magnanville, (Yvelines, France), un autre a tué deux policiers (un couple de mari et femme). 
 
J'ai entendu dire qu'on allait nommer une nouvelle rue qu'on appellerait  rue Robespierre.  Évidemment,  cette rue n'ira nulle part. Sauf qu'elle mènera certes directement à la Terreur. Comme si la Révolution Française voulait renaître de ses cendres.
 
Sur cette rue aiment marcher deux présidents. D'abord Barack Obama, puis  François Hollande.  Ils semblent  incapables de nommer les vraies choses qui s'y passent, notamment à propos des assassinats à Magnanville et des meurtres homophobes à Orlando,  pour ne nommer que ces deux tragédies. Sur Boulevard Voltaire, Robert Ménard s'est exprimé ainsi: « J'ai écouté le message officiel de l'État. (lors de l'hommage aux deux policiers assassinés à Magnanville). Pas une fois les mots d'islam radical  n'ont été prononcés.»  Mais pourquoi?

Comme s'ils étaient complètement dépassés par l'actualité ou bien tout à fait satisfaits de la tournure des événements.  Pendant ce temps, moi, je mets ma tête, non pas sur le billot, mais dans le Complot. 
 
***

Et je n'ai pas encore parlé de l'Allemagne.  Quel sort a-t-on  réservé aux jeunes Allemandes à la suite de l'invasion migratoire massive de tous ces mâles malades de sexe? Il est à peine croyable que la seule solution qu'on ait trouvée pour leur éviter le pire, a été de leur proposer quelques contraintes: par exemple de sortir en groupes le soir,  de ne pas emprunter certaines rues à risque de mauvaises surprises, viol collectif, entre autres,   ou tout bonnement de rester chez elles ...  

Et quoi de plus ordinaire, comme on dit par ici, pour ne pas exciter outre mesure la libido mise à mal des jeunes étrangers, pourquoi ne pas se teindre en brun les cheveux que nombreuses d'entre elles ont naturellement blonds. 

D'ailleurs, j'ai cru remarquer ces derniers temps plusieurs publicités européennes montrant de jeunes femmes aux cheveux bruns.  Une nouvelle mode? Comme si on voulait faire disparaître les belles têtes aux cheveux blonds.

Prochaine étape qui attend les jeunes Allemandes: le port du  voile. Mais aussi la nécessité  de se  vêtir plus sobrement (ce qui n'est pas un mal en soi), mais gare à l'imposition du  niqab ou encore la burqa bien cintrée.  
 
Bref, si la tendance se maintient, le monde est appelé à changer, en commençant par la perte de ses libertés de parole, d'expression, d'opinion, de religion, de mouvement, etc. Et ce n'est qu'un début.

***

Nous y voilà. En vacances!

Cette semaine, à mon cours d'entraînement physique (le dernier de la session) j'étais en présence d'une copine,  disons,  très articulée. Maggie, pourrait être son nom, m'a suggéré de ne plus regarder la télé et de ne plus lire les journaux. « Que de mauvaises nouvelles, le négativisme à son comble. », m'a-t-elle dit. Entre les lignes, ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'on n'a pas toujours l'heure juste en les lisant, ces journaux-là. Mais le plus drôle,  c'est que je ne regarde la télé que quelquefois par semaine, et cela durant les heures des tournois de golf masculins et féminins. Et également une émission,  les jeudis soirs,  à Tv5.

En effet, je suis en vacances.

Et cela jusqu'à la mi-septembre. Cette année, j'en suis à la 35è année que je joue au golf. Trente-cinq ans! Vous n'y pensez pas, non? Le seul sport qu'il me reste après avoir fait le deuil de la natation, du ski de fond, du patinage, et j'en oublie.

Selon moi, malgré les douleurs qui parfois tenaillent mes os et la perte  de souplesse et de force qui viennent avec, je mérite bien, non pas un trophée, mais une petite leçon privée donnée par un enseignant de golf qualifié, afin de me remettre en mémoire les repères extrêmement compliqués que demandent les coups d'approche-retenue. Une leçon que je me suis offerte justement hier matin. Et pour terminer, je me souhaite ainsi qu'à mes partenaires que j'apprécie énormément, une merveilleuse saison de golf.
 
 

Mes sept jours sur Facebook

Certaines amitiés virtuelles se révèlent de complètes supercheries

7 juin 2016 | Alain Roy - Directeur de la revue «L’Inconvénient» | Actualités en société

Photo: iStock«Que se passerait-il si M. Facebook, dans un nouvel élan de sociabilisation, avait le culot d’envoyer des demandes d’amitié à des individus que je détestais?» se demande Alain Roy.
Je m’étais inscrit sur le réseau social pour des raisons professionnelles, essentiellement afin de promouvoir L’Inconvénient à moindres frais. Sans être misanthrope, je ne tenais pas particulièrement à me faire de nouveaux amis ; le petit nombre de ceux que j’avais (et que j’ai encore pour la plupart) me suffisait. […]

Mais ma réticence ou mon inertie à rejoindre le réseau avait été émoussée par les demandes d’amitié que je recevais depuis quelques mois de la part de connaissances diverses, parfois même de personnes « sérieuses » dont je m’étonnais qu’elles s’y soient retrouvées. Alors que je n’en étais toujours pas, je recevais périodiquement ces demandes à mon adresse courriel, que le tout-puissant Facebook avait dénichée je ne sais où.

Une fois enrôlé, j’ai rapidement constaté son don d’omniscience : sans avoir inscrit le moindre renseignement sur ma page personnelle, je me suis mis à recevoir des messages troublants, qui me demandaient de but en blanc : « Connaissez-vous cette personne ? » Dans plusieurs cas, il s’agissait d’anciens camarades de collège ou d’université avec qui je n’avais eu aucun contact électronique de mon vivant (Internet n’existait pas ou à peine à l’époque). M. Facebook, à qui je n’avais fait aucune confidence sur mon passé, ne pouvait donc savoir — en principe — que j’avais fréquenté tel collège ou telle université.

Par quel moyen avait-il pressenti que j’étais susceptible de connaître telle ou telle personne avec qui je ne partageais qu’un séjour lointain dans une institution d’enseignement ? Je ne m’en serais pas préoccupé s’il m’avait questionné de temps à autre au sujet de parfaits inconnus. Mais non, chaque fois il tombait pile ! M. Facebook me demandait hypocritement si je connaissais telle personne, alors qu’il connaissait pertinemment la réponse. Il savait que je la connaissais.

Ayant fait part de mon étonnement à mes proches, ces derniers m’ont expliqué que Facebook recourait tout simplement à un algorithme de recherche. Fort bien, me suis-je dit, mais en quoi cela rendait-il son omniscience moins inquiétante ? N’était-il pas encore plus anxiogène qu’une satanée machine puisse déduire mes accointances passées ?

Ma paranoïa s’est accrue, deux ou trois jours plus tard, après que je me fus décidé à acquiescer à la demande d’amitié d’une connaissance professionnelle. Je ne pouvais décemment considérer cette personne comme une « amie », je la connaissais à peine et nous n’avions échangé que quelques mots en de rares occasions mondaines, mais c’était la quatrième fois que je recevais une invitation de sa part et il devenait de plus en plus indélicat de ne pas y répondre.

Que penserait cette connaissance si je l’ignorais encore une fois ? Je n’avais d’ailleurs aucune raison de ne pas acquiescer à sa demande. Pour autant que je pouvais en juger, cette personne était sympathique, aucun élément factuel ne me permettait de supposer qu’elle était une psychopathe dont j’aurais dû me méfier. […] J’ai donc acquiescé par politesse à la demande d’amitié de cette connaissance qui n’était pas mon amie. Croyant bien faire, j’étais loin de me douter que je venais de la plonger dans l’embarras.

Quelques heures plus tard, je recevais en effet un courriel de sa part où elle m’écrivait ceci : « Je suis très heureuse d’être votre “amie” sur Facebook en ce matin du 30 août 2013, mais je n’ai jamais demandé à Facebook de vous demander d’être votre amie, non que je ne veuille pas l’être, mais j’aurais tout de même préféré que Facebook ne se mêle pas de mes affaires. »

Pour qu’elle ne s’imagine pas que je tenais à être son ami (ce qui aurait été embarrassant pour nous deux), il m’a paru utile de l’informer que Facebook avait commis cet impair à plusieurs reprises au cours des derniers mois, quitte à créer une nouvelle source d’embarras entre nous, puisque cela revenait à dire que j’avais ignoré toutes ces demandes et que j’y avais cédé sous le motif de la répétition, autrement dit sous la pression d’un chantage affectif qui me mettait en demeure de prouver que j’étais un être socialement réceptif.

On voit toute l’absurdité de la situation : notre mise en relation était une supercherie complète. Combien d’amitiés involontaires M. Facebook avait-il ainsi fabriquées de toutes pièces, ce maniaque de la connexion interpersonnelle, cet entremetteur zélé qui cherchait à «matcher» tout le monde avec tout le monde, mais pourquoi et dans quel but ?

C’est alors que j’ai réalisé le genre de quiproquo catastrophique auquel je risquais de m’exposer en demeurant sur le réseau. Que se passerait-il si M. Facebook, dans un nouvel élan de sociabilisation, avait le culot d’envoyer des demandes d’amitié à des individus que je détestais ? Pris de panique, j’ai aussitôt fermé mon compte, qui n’a été ainsi actif que durant une semaine environ.

Cette anecdote révèle, j’en ai honte, mon incompétence crasse en matière de réseaux sociaux, que je n’ai pas pris le temps d’apprivoiser ni de maîtriser convenablement. Sauf que je ne suis pas certain de le vouloir, ni non plus d’y perdre grand-chose, car mes amis, je préfère les voir de visu avec de la musique et un verre de vin.

Quelque temps après ces événements, j’ai d’ailleurs eu vent que la jeunesse la plus branchée commençait à déserter le réseau social, qu’elle considérait désormais comme un peu trop mainstream, ce qui faisait de moi un pionnier de l’avant-garde anti-facebookienne. C’est l’avantage de ne pas participer à une mode : lorsque celle-ci tombe, on fait partie des premiers à ne pas y adhérer.
 
Source: Le Devoir
 
_____________
 
 

Un Gag Orgiaque Déprimant (appelé): Franc-maçonnerie


« Elle lisait jusqu'au matin des livres extravagants où il y avait des tableaux orgiaques avec des situations sanglantes. » — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, ...)

C'est comme si ces hommes qui ont fait l'Histoire  s'étaient donné pour  mission,  secrète ou pas,  de détruire le monde en s'en prenant d'abord à son humanité. 

Et par le fait même s'étaient donné le Temps nécessaire pour y arriver.    Car la durée n'avait aucune importance puisqu'ils avaient devant eux toutes les générations à venir à leur disposition.

Aujourd'hui, ils touchent du bois! J'ignore si c'est grâce à HAARP ou non, mais il ne se passe pas une nuit quelque part  sur notre planète  pour qu'apparaissent météores, météorites et/ou astéroïdes  pour acclamer leur projet grandiose qui se réalise sous nos yeux, tantôt aveugles, tantôt ébahis.  
 
Simplement, il fallait y penser. Pourquoi nous avoir caché si longtemps pareil agenda ...?  Personne ne nous a parlé de cette secte  quand on allait à l'école. En tout cas, si cela avait existé, on l'aurait appris ou à tout le moins, on aurait dû l'apprendre. Soupir.
 
Comment ne pas devenir gaga sans marcher deux fois dans les mêmes pas ou vice versa?  C'est bien simple, il faut lire entre les lignes. Eh bien, mon objectif de relire et de relire encore ce bouquin n'est pas une  fantaisie de ma part, ni une marotte de vieille folle du logis. Quoique ... m'enfin.

***
 
Depuis hier, ma cuisine s'est  transformée en véritable laboratoire,  et moi,  en laborantine énergique et décidée.  C'était comme si j'avais eu des racines aux pieds et des ailes aux bras.  Ça été le brasse-camarade dans mes chaudrons, dans mes plats, mon mélangeur et mes recettes. Résultats:  potage aux concombres et avocats, carrés aux dattes à l'orange, et jusqu'à ce matin,  très tôt, muffins à l'avoine et miel pour le petit déjeuner. Évidemment, vaisselle en prime à volonté hier toute la journée.

Encore une fois, me voilà veuve de pêche. C'est justement, là, où mon amie Lora s'en est allée hier, accompagnée de ses plus fidèles amies de longue date. Bref, j'ai cru bon d'inscrire ce jour mémorable à mon calendrier 2016.

***

Pour en revenir à mes moutons ... Le Grand Orient de France (GODF) n'a pas été un Gag Orgiaque Déprimant comme le souligne mon titre. Non, mais ce sera la charrue qui amènera le terreau de la révolution. Oui, oui, ici on parle de la Révolution française. Celle qui a construit la France dite moderne en commençant par le meurtre du Roi de l'époque, en tuant quantités de  membres du clergé ainsi que  des milliers de braves Français de souche qui s'y opposaient.  

Cela afin d'y instaurer après coup la laïcité et donner re-naissance, ô, bonheur ultime, à rien de moins que la DÉMOCRATIE et la RÉPUBLIQUE, puis les « droits de l’homme », les « valeurs universelles », « humanistes » ou autres épithètes vides dont le discours politique occidental est plein.
 
Mais, hélas,  aujourd'hui cette France-là est en train de se déconstruire. Terrible, n'est-ce-pas? Non. Terreur à venir,  serait plus juste.

***

Entre-temps, je ne vous ai pas dit que mon potage aux concombres et avocat était lisse et savoureux. Mais qu'il m'a fallu ajouter une gousse d'ail pour en relever une certaine fadeur.

Et quant à mes carrés aux dattes, cela devait faire au moins la huitième ou neuvième fois que je m'essayais depuis l'hiver dernier. Mais toujours avec un petit quelque chose qui provoquait à chaque fois, chez moi, une grande déception. Or voilà que cette fois-ci,  il faudra me remettre à l'ouvrage; la couverture du dessus n'a pas exactement la texture souhaitée.

Enfin, mes muffins de ce matin ont aussi à redire.   Ah Seigneur! Figurez-vous que j'ai oublié de graisser mes petites caissettes en papier.  Pour quiconque s'y connaît en la matière, inutile de lui faire un dessin; il en prend au moins deux pour en faire un.

Cela dit, il est clair que  je ne serai  jamais une cuisinière hors pair. Mais, on ne pourra pas, non plus, m'accuser de manque de bonne volonté.  C'est bien beau, les recettes, mais on ne dit pas toujours « Comment réussir les muffins » ... La prochaine fois, je relirai ici. Et, .

***

Dès l'origine du Grand Orient de France,  ses initiateurs se sont appelés  francs-maçons. Ces gens  ont répandu durant les décennies suivantes,  la corruption, le meurtre, la  diffamation et la misère. On remarquera donc que très peu de ces choses ont changé depuis, sauf une:  la majorité de cette minorité (1%) s'est énormément enrichie.  Faut être bâti fort du gabarit pour étreindre à mort des populations entières.
 
En outre, ces Francs-maçons sont symbolisés par le triangle où trône l’œil vigilant en haut au centre, comme représenté sur le billet de un dollar. Ils sont les créateurs de la Fed et de notre système monétaire occidental, sorte de casino frauduleux. Ils gouvernent déjà le monde. Beaucoup de ces dirigeants sont des sionistes ou des partisans du sionisme mondial. Ils sont tous ensemble au sommet, à travers des pactes opaques et sinistres. Leur emprise se resserre chaque jour. 

C'est pour chasser la mouche qui me pique sans cesse  que je reviendrai  un jour qu'il tombera des clous (aux bons endroits),  sur ce sujet si déprimant pour les uns mais si fascinant pour d'autres.  

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

Horoscope poétique

Horoscope poétique
De Rob Brezsny