INTERVIEW de l'auteur, James W. DOUGLASS
ReO: John Kennedy est souvent dépeint comme un playboy. Vous avez choisi de ne pas vous attarder sur cet aspect. Pourquoi ?
JD : La propagande a besoin de salir la réputation des personnes dont elle cherche à détruire l’héritage. Ce faisant, elle incite les gens à se dire : « Quelle importance de savoir qui a tué Kennedy ? Après tout ce n’était qu’un (riche, un coureur de jupons, etc.) » Elle détourne ainsi l’attention du public vers des sujets futiles. Kennedy a été assassiné non pas parce qu’il trompait sa femme, mais parce qu’il a choisi de se dresser contre un pouvoir incommensurable, en se positionnant résolument dans le camp de la paix.
Source: ReOpen911
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Le côté sombre de Mandala
Nelson Mandala a fait, et fait toujours, l'objet d'un culte de la personnalité sans précédent dans la communauté blanche nationale et internationale. On n'a rien qu'à voir tous les chefs d'État, la plupart bénéficiaires du système qui les dirigent, venir assister cette semaine à ses funérailles.
Ce serait pour ne pas semer le trouble et empêcher ainsi des représailles à
l'endroit des Blancs, ceux-là même
qui ont tenu son peuple en esclavage et l’ont exploité pendant trois siècles,
que le grand homme après 27 ans de prison et de travaux forcés aurait
choisi de le trahir.
Il est curieux d'apprendre que, contaitrement à JFK qui s'est
dressé, lui, contre le pouvoir
incommensurable (L'Indicible) pour s’être positionné résolument dans le camp
de la paix, n’a jamais été récipiendaire du Nobel de la paix à cause de son bilan inachevé faut-il croire. Alors que de son
côté, Nelson Mandala n'a-t-il pas été honoré, lui, du prestigieux Prix Nobel de la Paix pour n’avoir
offert à son peuple ... que le seul droit de vote? Et la démocratie. Un bien grand mot.
Car se contentant du seul pouvoir politique, il n'a pas hésité à céder aux Blancs
colonialistes, les terres, les ressources, la Banque centrale, les entreprises, etc, privant ainsi son pays de l'indispensable pouvoir économique.
A-t-il manqué de courage ou de jugement à ce point qu'il aurait négocié ainsi à
rabais l'opportunité de sortir son peuple de la misère? Ce qu’il lui avait
pourtant promis antérieurement dans La Charte de la Liberté.
N’est-ce pas là, l'erreur
majeure qu’on lui reproche aujourd’hui? Mandala, le pacificateur, mais à quel prix!
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