«Tout n'est qu'illusion. Lorsqu'il s'agissait de soutenir un marché financier, justifier une guerre, gagner une élection, ou débusquer un terroriste, les grands de ce monde n'hésitaient pas à manipuler l'opinion publique.» P. 476
Bienvenue dans le monde des vendeurs de mensonges et des colporteurs de désinformation.
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Des drones au-dessus de nos têtes dans un futur proche
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| Un mini-drone Photo : AFP/Amazon |
«Dans un vrombissement , un engin fendit le ciel au-dessus du dais des arbres. Il avait surgi de nulle part.» Inferno, p. 140
Si je parle de ces fameux engins qui risquent de polluer encore davantage nos airs à plus ou moins brève échéance, c’est que ce gadget (voir Inferno p. 140) aussi mini soit-il, ne se déplacerait pas sans se faire remarquer par son bruit chtonien.
Imaginons un instant, qu’aujourd’hui, chacun des riches de ce monde voudra posséder le sien garé aux côtés de ses belles voitures de luxe dans son garage. Parlant de bibittes, rappelons-nous la folie collective qui s'était emparée des gens lorsque les fameuses coccinelles (Beatles) ont fait leur entrée sur le marché de l'automobile, il y a plus de quarante ans.
Imaginons un instant, qu’aujourd’hui, chacun des riches de ce monde voudra posséder le sien garé aux côtés de ses belles voitures de luxe dans son garage. Parlant de bibittes, rappelons-nous la folie collective qui s'était emparée des gens lorsque les fameuses coccinelles (Beatles) ont fait leur entrée sur le marché de l'automobile, il y a plus de quarante ans.
Comme si on en n'avait pas plein les oreilles avec le bruit des voitures, sans compter les tonnerres de Brest que font parfois les F-35 de la Défense canadienne en signalant leur passage au-dessus de nos têtes.
Vendredi noir - Combattre le démon du magasinage
Il y a, là, de quoi frémir. Ou bien rire. C'est selon. Ce que Billy (William Talen) prêche fait de lui un huluberlu, dont les consommateurs possédés par la frénésie statannique se moquent bien en ce jour fatidique du Vendredi noir.
L'Ordre Mondial et ses vassaux (Banques, Multinationales, etc) sont à l'oeuvre et à l'affût. Et Billy, qui a compris leur manoeuvre depuis des lunes, essaie de faire entendre raison aux consommateurs.
Mais malgré ce que l'on en dit et ce qu'on en pense, le personnage, coloré à souhait, fait preuve d'humanité dans sa croisade. « Quand on brise leur carapace de consommateur, les clients se rendent compte qu’ils étaient endormis ... Certains ont peur, mais d’autres applaudissent. » Sauf que ceux-là sont, hélas, peu nombreux à avoir compris le message. Une bonne nouvelle, toutefois, les Québécois sont moins endormis que nos voisins du Sud.
Source: Le Devoir
Source: Le Devoir
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