Après l'aurore bleue, l'Aurore rouge

 
Leçon de vie selon un grand homme
 
 
« Cinq et six sont deux chiffres sacrés.
Je vous préviens tout de suite
que vous pouvez oublier le sens diabolique du 666.
 Dans l'Apocalypse, saint Jean a donné
une bien vilaine interprétation
de la valeur de ce chiffre en l'associant  à la Bête.
Avant lui,  le chiffre 6 était positif.  »
Yves  Laliberté, Le Secret de Dieu, 
p. 330 (Coïncidence: 330 = 6)

Pour les mois à venir, les astres m’exhortent à consacrer davantage de temps à des activités autres que le travail. Mais comment se fait-il que je n'aie  pas trouvé encore le temps ni le goût de saisir  les innombrables occasions de jeu et de divertissement qui s’offrent à moi ?

Eh bien, rassure-toi, mon ami Rob, je me propose de me mettre au jeu de patience afin de mieux comprendre le sens de la philosophie de vie que nous a laissée en héritage,  ce grand québécois qu'était René Angélil.   
 
J'ignore pour toi,  mais les funérailles de René Angélil ont eu pour effet de soulever en moi un flot d'émotions dont je ne me savais pas capable. Se pourrait-il que le fait de vieillir en soit la cause, et qu'il me faille assumer une faiblesse de plus?  Dieu seul le sait.   

«Il faut juste jouer ses cartes comme il faut.» 

Or, au black jack,  quand on a un cinq et un six, a rappelé son fils Patrick lors des funérailles de son père, il faut doubler la mise.  René Angélil était très superstitieux. Comme il était un joueur passionné, sa philosophie de vie était inspirée des leçons qu’il avait su tirer du poker et du black-jack au fil des ans.

Ainsi, il croyait que la vie fonctionne par séquences; quand ça va mal, il ne faut pas s'énerver et attendre «la prochaine séquence», donc la prochaine occasion.  Une leçon inspirante que j'aurais intérêt à mettre en pratique. Et le plus vite serait le mieux.

***

So bloody red tomorrows clouds
Les nuages de demain sont si rouges
Paroles de la chanson «This Is Not America» (avec traduction) par David Bowie



David Bowie
On a dit de lui qu'il était visionnaire.
Mais aurait-il vu ce que le futur proche réservait à l'humanité? 

Les auteurs du Projet politique,  dont j'ai cité  deux extraits plus loin,  auraient-ils oublié de mentionner dans leur  plan le sort réservé aux femmes qui ont été de tous temps violentées. Nulle part dans ces lignes de rouge écrites, il était question de la femme prise pour cible et/ou en otage par  des afflux d'immigrants aux instincts sexuels débridés. 

Néanmoins, la nouveauté  depuis les grandes migrations en Europe ces derniers temps, c'est qu'en plus d'être les victimes collatérales d'un chaos sans nom, les femmes restent historiquement des trophées de guerre.   Parce que guerre, il y a. Pas nécessairement contre elles en particulier, mais comme elles sont là,  à portée de la main, autant en profiter, se disent leurs prédateurs.   


Pour bien comprendre ce qu'il se passe présentement,  il faut ne pas perdre de vue les nouveaux développements des objectifs de ceux qui nous contrôlent avec énormément  d'ardeur et de détermination.

Leur a-t-il fallu d'abord  pousser d'un enfer à l'autre  des millions de réfugiés  désespérés, souvent arnaqués, ayant la mort pour seul refuge en cours de route, et dont la plupart sont des jeunes hommes aux  coutumes et religions complètement différentes des nôtres. 

« Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l’opinion publique des États-Nations ciblées, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet, de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l’intérieur de leur territoire.
Nous verrons à faire en sorte que des groupes d’extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d’immigrants; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées. »  Extraits de L'Aurore rouge (voir objectif no. 5).  

Je n'ai pas mentionné le mot « horreur » afin de ne crisper personne, mais, je le répète, ce plan semble  réussir à leurs auteurs de si belle manière,  qu'il étourdit  la galerie par son rythme démentiel.

Or voilà où nous en sommes.  Des centaines de plaintes pour viols et vols dans certaines villes d'Allemagne dont la ville de Cologne, lors du 31 décembre 2015 dernier,  ont été rapportées aux autorités qui ont mis plusieurs jours avant de réagir. Malaise. Et confusion totale. 

Pourtant un millier d'entre ces  jeunes hommes "d'apparence arabe ou nord-africaine"  ont commis une série d'agressions sexuelles contre des centaines de femmes européennes. Et des faits similaires ont eu lieu dans d'autres villes allemandes que Cologne, mais aussi dans d'autres pays européens, notamment la Suède, la Finlande, l'Autriche,  la Suisse et le Danemark.
Aujourd'hui, l'Europe. Demain, on n'en sait rien.  N'empêche que d'une aurore à l'autre, on vit des choses étonnantes, vous ne trouvez pas ...? 

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Les points sur les « i »

Les événements de Cologne et les féministes


 René Bolduc et Bärbel Reinke Québec, le 17 janvier 2016
« Après les agressions commises sur de nombreuses femmes pendant la nuit du 31 décembre dernier à Cologne, certains ont reproché aux féministes de ne pas avoir réagi assez rapidement. Comment l’expliquer ? D’abord, on peut se demander pourquoi ce serait aux femmes, et non à la société entière, de dénoncer la violence exercée à leur endroit. Ensuite, beaucoup de femmes n’avaient pas envie non plus d’être instrumentalisées par des populistes qui se servent de cette occasion pour casser du sucre sur le dos des « étrangers », comme si tout allait bien dans le reste de la société.
 
Il faut savoir qu’en dehors de ces événements, l’Allemagne est loin d’être un paradis en ce qui concerne la situation de la femme. À titre d’exemple, selon des données fournies par le ministère de la Femme et de la Famille, près de 8000 viols et agressions sexuelles y sont commis par année, soit presque 20 par jour ! On estime qu’environ 95 % des harcèlements sexuels et des viols ne sont pas rapportés à la police.
 
Alors oui, il faut se pencher sur le jour de la Saint-Sylvestre à Cologne et punir ceux qui le méritent, mais que cela ne devienne pas une occasion de jeter l’opprobre sur tous les migrants et de fermer ainsi la porte à tout examen de conscience. Améliorer le sort des femmes concerne toutes les cultures. N’oublions pas tous les Marcel Aubut qui sévissent ici au quotidien, la quasi-indifférence des autorités face aux traitements réservés aux femmes autochtones, ces plaintes pour harcèlement sexuel à l’UQAM traitées plutôt légèrement (Le Devoir, 15 janvier 2016) et ces jeunes hommes contents de leur « F**k her right in the p***y » en direct devant les caméras de télévision. Beaucoup d’hommes, d’où qu’ils viennent, ont encore bien du chemin à faire.»

Source: Lettres au Devoir

Épidémie de viols à Cologne: Le silence des féministes vous étonne ?

 
Olivier Kaestlé
Tribune libre de Vigile
mardi 12 janvier
 
Dans un billet remarqué sur Facebook, le comédien Stéphane E Roy s’étonne du silence des féministes devant l’épidémie de viols survenue à Cologne, présumément orchestrée par un groupe d’individus faisant partie des migrants précipitamment admis sans prudence ni discernement par la trop généreuse et passablement naïve chancelière allemande Angela Merkel. Un millier de brutes aurait participé à une centaine d’agressions. L’artiste s’exprime ainsi :
« Quand j’ai entendu parler de la vague de viols en Allemagne, à Cologne, je me suis dit : les féministes vont sortir et faire un papier, une pétition quelque chose ; une manifestation.

Elles qui sortent dès que Jean-François Mercier fait une blague un peu sexiste !

Là avec des centaines de viols elles vont dénoncer le machiste médiéval, l’obscurantisme religieux qui dictent qu’une fille qui est voilée est respectable, mais qu’une fille pas voilée mérite le viol.

Non rien.

Pas un signal de désaveux face à ces gestes criminels !? Cette philosophie rétrograde ; qui dicte que la femme qui n’est pas voilée est une putain, elles l’endossent ?

Mais que se passe t-il ? » 
 
Rien... comme d’habitude. 
  
Mais comment s’en étonner ? Depuis quand les féministes étatiques dénoncent-elles les dérives attribuables à l’islam politique ? Partout en Occident, c’est le même silence, la même lâcheté, la même compromission. Pourquoi ? Tout simplement parce que les féministes militantes vivent des fonds publics octroyés par des dirigeants à genoux devant les lobbys intégristes musulmans.  En condamnant ces derniers, c’est la main qui les nourrit qu’elles mordraient, cette main qui pourrait leur faire payer leur audace en fermant le robinet des fonds publics.
 
Croyez-vous qu’une épidémie de viols comparable à celle de Cologne entrainerait d’autres réactions – ou d’autre absence de réactions – au Québec ou au Canada, province et pays régis par les islamophiles Justin Trudeau et Philippe Couillard ? La FFQ, devenue succursale « féministe » de Québec solidaire, parti accoquiné avec des organisations telles que Présence musulmane, étroitement liée aux frères musulmans par Tarik Ramadan interposé, au mieux protesterait mollement dans sa feuille de chou, au pire se terrerait dans un silence hypocrite afin d’éviter les « amalgames ».
 
N’est-il pas encore présent dans les esprits, le souvenir infamant de l’insipide Françoise David, admiratrice béate d’Adil Charkaoui, ancienne présidente de la FFQ et actuelle chef de Québec solidaire, qui a réussi à soutirer l’unanimité d’une Assemblée nationale de pleutres condamnant le délit imaginaire d’islamophobie ? Que le parti libéral soutienne pareille imposture ne surprendra personne, mais que le parti québécois l’endosse lève le cœur.
 
Un slut-shaming à indignation variable…
 
Les féministes, celles qui ont hurlé au slut-shaming lors de la blague si anodine mais pertinente de Jean-François Mercier sur les allumeuses dans les clubs, se terrent à l’idée de dénoncer les propos aberrants de la maire de Cologne, Henriette Reker, qui a préféré donner aux femmes des conseils de prévention simplistes plutôt que de condamner l’épidémie de viols, comme si « l’imprudence » présumée des femmes devait excuser la violence des agresseurs ou en être à l’origine. Facteur culturel, quand tu nous tiens…
 
Même en Allemagne, où l’on affirme que cette politicienne irrite les féministes, aucune instance militante crédible n’a pris ouvertement position pour dénoncer ses propos. On préfère déverser son fiel sur les réseaux sociaux, souvent sous pseudonyme, plutôt que de s’afficher clairement.
 
La rançon de la dissidence
 
Je ne suis pas un fan de Christiane Pelchat, mais je lui reconnais le mérite d’une initiative significative allant à l’encontre des diktats islamiques. Alors qu’elle était présidente du Conseil du statut de la femme, elle avait parrainé un avis prônant l’interdiction des signes religieux au sein de la fonction publique.
 
 
Qu’est-il donc arrivé à cette femme ? Avant même la fin de son mandat, elle s’est vue parachutée dans une délégation du Québec au Mexique, l’équivalent d’une Sibérie féministe. Elle fut bien vite remplacée par la docile Julie Miville-Dechêne, qui retourna la veste du CSF en adoptant des postions conformes à l’islamophilie du parti libéral du Québec.
 
Des prostituées et des putes…
 
Alors pourquoi les féministes militantes se taisent-elles ? Quand on sait que le Conseil du statut de la femme empochera cette années 3,8 M $, on comprend pourquoi cet organisme, qui dénonce les privilèges imaginaires de la gent masculine, tient à conserver les siens en évitant les vagues sur la question si embarrassante pour lui de l’islam politique.
 
Alors que cet organisme, comme la FFQ, devrait être le premier à monter aux barricades pour dénoncer la pire menace occidentale pour les femmes, l’islam politique, il préfère se terrer dans un silence lâche et mercantile, de peur de se faire taper sur les doigts et de voir son financement réduit.
Et puis, le Mexique, ce repaire rempli de machos, c’est une perspective peu emballante, n’est-ce pas Mme Miville-Dechêne ? Voilà un facteur culturel que vous désirez par dessus tout éviter !
 
Je vais sans doute paraitre grossier, mais tant pis. Par leur lâcheté et leur opportunisme, les féministes d’État s’apparentent de plus en plus à des putes dont on achète la soumission servile, en les faisant adhérer, par leur silence, à une idéologie rétrograde, misogyne, homophobe et raciste, autant de travers que le féminisme constructif s’est toujours attaché à dénoncer.
 
Djemilla Benhabib et Louise Mailloux restent des exemples par trop minoritaires de cette militance authentique. Elles paient aussi le prix fort de leur audace par le djihad juridique dont elles sont victimes.
 
Pour conclure, je tiens à préciser que je ne cherche nullement à insulter les travailleuses et travailleurs du sexe par l’emploi du mot « putes », pas plus que je ne souhaite les injurier en les assimilant aux féministes d’État. Les prostitués sont des gens respectables exerçant une profession méprisée, les putes restent des êtres méprisables monnayant leur respectabilité.

Tout de suite après l'aurore bleue

«  - Je n'ai pas de papier, non, mais il y a un livre d'intérêt là où nous allons: le livre des alchimistes qui ont mené leurs travaux dans l'hôpital fondé par l'infirmière Jeanne Mance aux premiers temps de la colonie française.
   -   Splendid!
   (Charles) Dickens ne connaissait ni cette Jeanne Mance ni l'histoire de Montréal. »   Le Secret de Dieu, Tome 2, p.208
 ***
C'était quoi, « le dessein de Montréal » ?   C'est à se demander si Jeanne Mance n'était pas mêlée à un plan occulte ourdi en France   pour  y installer en terre d'Amérique,  un terreau propice à la naissance d'une filiale française de la franc-maçonnerie.  
Comme de raison,  je dérive.  Oublions ça!  
 *** 
Savoir composer avec tous les hic(s) du monde 
« Pourri, le royaume de l'Internet ? », eh bien, pas tant que ça, madame Pelletier. Pour tout dire, à chaque jour que la vie me donne de voir se lever le soleil tout de suite après l'aurore bleue*, je n'en finis plus de  découvrir qu'Internet n'a pas à offrir que du pourri ...  
Encore ce matin en lisant la chronique de Jean-François Nadeau, l'un de vos collègues, sur L'UNIVERS DE L'HIVER,  cela m'a rappelé qu'il y avait des lustres que je n'avais pas écouté L'Hiver de Vivaldi.  Est-ce simplement parce que l'hiver est une saison intellectuelle? Une saison de repli sur soi? Une vague période d'intériorité? Faites votre choix. J'ai fait le mien. En montant le volume un peu plus haut que la moyenne,  sur la première vidéo pêchée sur YouTube.   
Cela dit,  lorsque j'ai décidé de m'acheter une tablette un peu avant les Fêtes, c'est que j'étais convaincue qu'il m'en fallait absolument une pour combler un besoin important pour moi. C'est pas que je suis une grande cuisinière, mais je ne suis pas sans savoir que le numérique avait ce pouvoir insolent de changer le monde informatique dans tous ses aspects, y compris  culinaires. Et comme des millions d'autres de mes semblables, je n'y ai vu que du feu.  
Une vraie révolution! Trouver une recette sur ce médium m'a vite emballée. Or, j'ai pris l'habitude d'y chercher toutes mes recettes de soupes, de potages, de carrés aux dattes, de muffins, etc. Le choix de mes trouvailles dépassait à chaque fois toutes mes attentes. Le hic, c'est qu'il fallait que j'écrive à la main tous les ingrédients ainsi que la marche à suivre,  sur une feuille de papier que je déposais sur mon comptoir de cuisine.    
Entre-temps, une bonne  amie à moi qui m'avait montré sa tablette de petite dimension, me l'a aussi vantée pour être très commode en voyage ainsi que pour accomplir de petites tâches.  En plus d'être idéale pour les jeux en période d'attente, soit à l'urgence ou simplement chez le médecin, entre autre ... elle en était pleinement satisfaite.   
« Puisque c'est seulement pour lire tes recettes,  tu n'as pas besoin d'une tablette si grande que ça. Une 7 pouces et demi fera l'affaire, non?  », me disait-elle.   Mais, il y a eu  un hic.   
En plus de mes recettes, j'ai aussi découvert que je pouvais  lire sur ma tablette tous mes médias écrits préférés, tels Le Devoir, Radio-Canada, Cyberpresse, Sputnik.net,  Boulevard Voltaire,  Vigile.québec, Sott.net, Mondialisation.ca, Réseau Voltaire, etc, etc.   Oui, mais, il y avait, là, vraiment un hic. J'ai rapidement été déçue à cause du petit caractère que je devais sans cesse étirer ou relâcher,  à l'aide de mes deux pouces afin de l'agrandir. Vous vous rendez compte du temps que ça me prenait pour lire,  ne serait-ce qu'un seul paragraphe? Ô, sainte Horreur! 
Je me suis donc repliée sur moi-même, la patience étant venue à bout de mon propre caractère.  J'ai alors réalisé mon erreur,  et voulu m'en débarrasser pour pas cher: 75$. L'équipement complet m'en avait coûté 160$ un mois auparavant.  
À ce moment-là, j'ai bien failli la vendre à mon amie de cœur pour le prix dérisoire cité précédemment. Pas surprenant, en plus de sentir  les bonnes affaires, elle raffole des petits jeux. Et la patience est son fort, le plus fort.  
Mais au fait pour mes recettes, plus j'y pense, plus il aurait fallu m'acheter une imprimante qui fait mieux  mon affaire, qu'une tablette. Ce que j'ai d'ailleurs fini par faire dernièrement. Sauf qu'encore là, il y a un hic. L'environnement!  
Bonté divine!  
Rien ne sera donc jamais parfait?     
Du calme! Rien n'arrive par hasard. Ma sœur, Lolo, m'a proposé cette semaine de recycler ma tablette en ... liseuse. Le seul hic? Difficile ou impossible de lire à l'extérieur,  mais on s'en fout-tu, en hiver? Que m'importe si je dois combattre une vague période d'intériorité, alors qu'un tsunami de titres de livres m'engloutira pour toute la saison froide. 
_____________  

* Si la chose vous intéresse, l'aurore bleue est la couleur de mes nouvelles débarbouillettes.

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