Entendez-vous sonner des cloches dans vos oreilles?


Ils l'ont dit que l'hiver cette année (2016-2017),  ne serait pas reposant.  Plus moyen d'aller nulle part sans consulter le 511. Les routes seront toujours, ou partiellement enneigées,  ou totalement enneigées, ou pire crissement verglacées ...

Avant de plonger le pays dans le chaos des carambolages migratoires, on n'avait pas encore vécu de printemps arabes aussi soumis à des automnes islamiques comme en France en particulier et en Europe en général, là où les mosquées fleurissent comme des pissenlits ou des champignons,  à l'appel  du muezzin,  mais partout même dans les campagnes éloignées.

Si, la nuit,  vous n'entendez  pas  sonner des cloches dans vos  oreilles, qui bourdonnent de bruits insolites, voire agaçants, inutile de dire  que nous ne perdons rien pour attendre.  Parce qu'il y a aussi des signes troublants comme cette sainte colère de migrants africains, débarqués en Italie après avoir fui la misère dans leurs pays d'origine, et qui auraient menacé ainsi ceux qui les ont accueillis en leur disant:  « Si vous ne nous donnez pas plus d’argent et de meilleurs repas, nous vous égorgerons. »  Rien que cela fait tout de même réfléchir. Pour nous, il s'agit seulement d'une question de temps.

***

Entre-temps, seule une élite idiote et auto-satisfaite croit que les gens les plus intelligents et les plus informés en Amérique sont les experts de la télévision et les journalistes employés par les médias traditionnels. 

Toutefois aucun d'entre eux ne parle de Temps. Eh bien, moi, j'en parlerai. Le Temps s'étirerait-t-il que je n'en serais pas étonnée. Je résumerai cela en disant que c'est comme s'il avait ralenti sa course. Est-ce une impression? Une sensation? Un fait réel?

Or, aux États-Unis,  le 3 avril 1973, les leaders de l'industrie et du commerce américains sélectionnaient définitivement un pictogramme pour identifier les produits de grande consommation.  Pour ceux ou celles qui l'ignoraient ou bien l'avaient oublié, (moi, la première),  on dit que la Terre  a été verrouillée par l'arrivée du code-barre. 

Ce qui fait que depuis ce moment-là,  les gens connaissent toutes sortes de maladies. Généralement, cela commence par des bourdonnements dans les oreilles, des palpitations, des éruptions cutanées, allant jusqu'à l'incapacité de dormir pour enfin monter en graines comme la mauvaise herbe,  ce splendide cocktail non pas suédois, mais d'anomalies physiques en d'indéfinissables et indétectables, devinez quoi? Des infarctus silencieux!

Là encore, on dira que je fabule, mais attendons voir ... Les lunettes Eyes-On commercialisées depuis (l'année dernière) permettent de voir les veines à travers la peau en temps réel pour pratiquer des injections ou des prélèvements sanguins.

La suite ne sera pas faite que de barbaries venues tout droit du fin fond du Moyen-Âge qui feront reculer notre bel Occident, mais aussi haut qu'on fera monter la technologie dans l'échelle des pourquoi et des comment, qui sait si nous ne finirons pas nos jours avec un code-barres imprimé sur le front,  ou derrière la tête, ou pas mal sûr  niché dans une nano RFID.

Pour ça, l'avenir de la réalité améliorée, qui jusqu'à aujourd'hui est encore absent de notre présent, on ne peut dire avec quelle sorte de casque d'écoute électronique,  les soignants du futur  écouteront les signes sidéraux et morbides de nos infarctus silencieux. Comme je le disais, là aussi, il s'agit d'une question de temps.  
 

Un jour d'hiver j'irai à Moscou

 
 
La photographe russe Kristina Makeeva prend des photos féériques de Moscou en hiver. Sur les images de Kristina, la capitale russe apparaît comme une ville fantastique de lumière et de neige parfaitement blanche. Les lumières, les personnages, les ombres et les dynamiques capturés nous font plonger dans un univers vraiment onirique. Découvrez la beauté de Moscou dans cette galerie de Sputnik.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/photos/201612111029094003-hiver-moscou-insolite-kristina-makeeva/
 






Source: sputnik.fr 

Fausse info, Denzel Washington accuse les grands médias : « si vous lisez les journaux, vous êtes désinformé »



« Les grands médias traditionnels vendent du faux » accuse Denzel Washington, qui a été victime de fausses infos.
« Si vous ne lisez pas les journaux, vous êtes sous informé. Si vous les lisez, vous êtes mal informé, » a déclaré Denzel Washington lors de la présentation de son film « Fences » hier mercredi au Musée national de l’histoire et de la culture africaine.
Un des effets du « trop d’information, » explique Washington, c’est « le besoin d’être le premier que ce soit vrai ou faux n’est plus important. »
On parle beaucoup de fausses infos en ce moment, et les médias tentent de pointer du doigt internet — évidemment — car eux sont au-dessus de tous soupçons — disent-ils (et l’on pouffe de rire).
Les Français ont connu ce phénomène de fausse info avec France 2, la matrice de toutes les fausses informations, lorsque la chaîne a accepté que son reporter Charles Enderlin s’empresse, de son propre aveu sans la moindre vérification, de passer son faux reportage et son faux commentaire sur la mort de l’enfant al Dura.
« Et quelle responsabilité avez-vous, vous autres, de dire la vérité ? » lança Washington aux journalistes présents devant lui sur le tapis rouge.
« Dans notre société maintenant, c’est à qui sera le premier — on s’en fout [que ce soit vrai ou pas], ce qui compte c’est de publier. On s’en fout à qui ça fait du tort. On s’en fout si on détruit quelqu’un. On s’en fout si c’est vrai [ou pas], » continue Denzel Washington remonté à bloc contre les télévisions présentes.
« Raconter son histoire, la vendre ! On devient bon avec tout ce qu’on s’entraîne à faire, même à raconter des saloperies. »
Début 2016 Denzel Washington a été la cible d’une fausse info circulant sur internet et reprise par les médias, qui prétendaient qu’il avait décidé d’apporter son soutien à Donald Trump.
Certains prétendent que les fausses informations diffusées par Facebook ont fait perdre Hillary Clinton. Ils sont dans le camp qui croit à l’absence de toute responsabilité individuelle : c’est toujours la faute des autres. Ce sont les mêmes qui pensent que les criminels et les délinquants sont des victimes de la société et ne doivent pas être punis. Ils ne veulent pas savoir que Clinton est considérée par 72 % des Américains comme non fiable et pas digne de confiance. Ils ne veulent pas savoir que les Américains ont été choqués de l’entendre dire que les électeurs de Trump sont des êtres déplorables.
La gauche est le premier diffuseur de fausses informations parce que tout information contraire au dogme doit être censurée ou transformée, je ne vous apprends rien.
Les Français se souviennent des jihadistes que les médias ont appelés Vladimir, puis, quand les journalistes ont été tournés en ridicule, ils les ont qualifiés de déséquilibrés avant même de connaître leur identité et leur dossier psychiatrique, parce qu’ils voulaient tromper le public en lui faisant croire que ce n’étaient pas des musulmans appliquant strictement les préceptes du Coran qu’on enseigne dans toutes les bonnes mosquées de France et de Navarre.
Et la gauche tient les médias, la culture, le monde académique, la justice, mais cela ne lui suffit pas, elle a besoin de l’hégémonie totale pour imposer son idéologie.
Comme elle n’a pas réussi à abattre les sites internet libres et indépendants comme Dreuz et bien d’autres en les insultant de fachosphère, de conspirationnistes, de diffuseurs de hoax, d’extrême droite, elle tente maintenant la piste « site de fausse info ». C’est en soi, déjà une fausse info de leur part. Les faiseurs de fausses infos, c’est eux, nous le pointons du doigt jour après jour.
Voilà pourquoi les gens n’ont plus confiance dans les médias : parce qu’ils ne sont plus fiables et dignes de confiance, comme Clinton !
Le public s’informe maintenant sur internet, qu’il apprend de mieux en mieux à décoder en croisant les informations, parce qu’il sait que sur internet, il n’y a pas que des anges. Il y a aussi des sites diffuseurs de haine et de théories conspirationnistes. Celui d’Alain Soral ou ceux des « pro-palestiniens » sont là pour abondamment le montrer.
Mais de tous, je me répète, le maître absolu, le roi des fausses infos reste cependant France 2 et sa fausse affaire al Dura, et l’on remercie Philippe Karsenty d’avoir mené le combat pour les exposer.
 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Stockholm à la pointe de la pathologie égalitariste



En Suède, le bobo torturé du bocal étend sur le pays sa vision déconnectée du réel. Son objectif : le chaos total par sa propre désintégration. Illustration de cette pulsion maniaco-dépressive : à Stockholm, la municipalité composée du trio clownesque « sociaux-démocrates, écolos, féministes » a estimé, cette année, que le déneigement était sexiste. Tous neurones congelés, cette équipe de bras cassés a justifié sa lubie par le fait que les trottoirs, censés être fréquentés majoritairement par des femmes à poussettes, étaient déneigés en second, au profit des routes où circulent d’abominables automobilistes masculins. Il devenait donc urgent d’inverser la manœuvre et de commencer l’opération de déblaiement par les sacro-saints trottoirs et pistes cyclables.

À l’examen de son idée lumineuse rédigée sur papier biodégradable, le bobo suédois était content de sa trouvaille. Les femmes, traitées comme espèce en voie d’extinction, allaient pouvoir gambader et pousser poussettes en chantant « Étoile des neiges ». L’esthétique « calendrier des postes » faisait son chemin dans l’esprit de l’illuminé suédois.
 
Le résultat tangible fut à la hauteur de l’idéologie municipale.

La ville fut plongée dans le chaos : voitures bloquées sur le périphérique, écoles fermées faute de bus en circulation, habitants appelés à rester chez eux… Un bordel indescriptible à faire pâlir de jalousie Anne Hidalgo. « Comment égaler Stockholm alors que nous n’avons pas de neige ? » s’est dit la mairesse parisienne. Faut-il en acheter au Groenland ? En demander aux Suédois ? Entre Bisounours, la solidarité bordélique doit jouer. À défaut de flocons, une circulation alternée selon le sexe du conducteur serait une belle initiative qui hisserait Paris au niveau de la pathologie scandinave. Le lundi : les hommes. Le mardi : les femmes. Le mercredi : les transgenres à bord de véhicules hybrides… Qu’attend-on ?

À Stockholm, l’un des initiateurs de l’opération, sans doute soucieux de nous distraire, a déclaré : « Un de mes collègues a lancé l’idée que s’il y avait bien un domaine où les perspectives de genre n’étaient pas prises en compte, c’était le déneigement. Et nous avons découvert qu’il y avait beaucoup à faire. » Et la pluie ? Et le ramassage des poubelles ? L’éboueur ne devrait-il pas examiner le contenu des sacs plastique afin de déterminer s’il s’agit de détritus d’ordre masculin (préservatifs usagés) ou féminins (tampons périodiques) ? Et, partant de là, procéder à une collecte égalitaire… 4.500 éboueurs pour venir à bout de ce travail titanesque. Une source d’emploi considérable. Coupeur de cheveux en quatre, entubeur de mouches, des postes sont à pourvoir à Stockholm.
 
Jany Leroy
Source: Boulevard Voltaire

Un seau de sueurs froides derrière le sourire «Pepsodent» d'un président



 Ce livre n'a pas fait fureur, loin de là.  Je dirais qu'il a peut-être même fait horreur (le nom de Trump mis en exergue dans le titre en est probablement la cause),  à un nombre incalculable d'indifférents, de non curieux et de «veut rien savoir».  
 
Un fait demeure: dire les quatre vérités d'un président sortant qu'on a voulu bien faire paraître tout au long de son mandat  par le silence autour de son bilan, n'attire guère grand lectorat intéressé. 
 
Ce qui n'était pas évidemment  l'intention de Guy Millière, l'auteur  de ce petit ouvrage de 130 pages,  qui décrit à mon sens l'envers d'un miroir qui s'est brisé en  mille morceaux dans un fracas de grincements métalliques des lourds équipements militaires qu'il a fait installer à la frontière de la Russie, son ennemie désigné.  
 
À tous ceux et toutes celles qui préfèrent surfer sur des préjugés  en croyant que le président sortant Barack Obama,  ait été plutôt victime de ses adversaires qui l'auraient   pendant les huit années de ses deux mandats, empêché de gouverner à sa guise,  eh bien, bienvenue dans le monde de l'illusion.
 
Entre autre chose qu'on pourrait reprocher à Obama, c'est que lorsqu'il quittera la Maison Blanche après huit ans avec son parti "décimé", bref après avoir pris ses fonctions, ce parti a perdu 10 sièges au Sénat, 14 gouverneurs, 31 États législatifs (statehouses) et 63 sièges à la Chambre,  laissant les Démocrates à leur point le plus bas à la Chambre depuis les années 1920.

Et bien sûr, sans jamais oublier que  « la présidence d’Obama n’aura été qu’un vulgaire déplacement d’air qui cache des drones tueurs, des guerres froides, des printemps véreux et des barbus sanguinaires. »


Lire  ailleurs  un portrait désolant du sinistre personnage qu'il était.    
 

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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De Rob Brezsny