Mars: le mois (le plus ) mal aimé ?

 

Photo: BV



Bref, les femmes que je connais ne sont pas toutes des Martiennes ni toutes des pin-up 


De tous les chroniqueurs et toutes les chroniqueuses que j'ai lu(es) sur le sujet de la Journée des femmes 2018, c'est Nicolas Gauthier sur Boulevard Voltaire qui m'a le plus accrochée le pompon.  Enfin, un homme qui sait dire les vraies affaires du vrai monde des femmes.  Enfin, celles  d'aujourd'hui, s'entend.

 « À en croire la sémantique ambiante et Le Huffington Post, la première expression renvoie à la « femme blanche, hétérosexuelle et mince » », tandis que la seconde fait référence à toutes celles qui ne participent pas de ce « stéréotype » ; ce qui fait tout de même un sacré paquet de filles. », a pertinemment écrit le chroniqueur. 
 
Eh bien, monsieur Gauthier,  figurez-vous que je fais justement partie de «ce sacré paquet de filles» ...  D'abord, cette sacrée fille (photo ci dessus) pourrait être facilement l'une de mes meilleures amies, quoique mon  amie à moi est un tantinet plus jolie.   

«  Sans donner dans l’excès « genré », il n’est pas improbable que tout cela aurait été peut-être moins efficace – en termes commerciaux s’entend – avec des images de perceuses ou de tondeuses à gazon. Mais ne nous avançons pas.»
 
Mais pourquoi donc?
 
Faudrait-il en juger par l'atelier hyper embarrassé de ma petite amie de cœur.  Il y a bien longtemps de cela, où je lui ai offert en cadeau de Noël une paire de pinces pour  l'occasion.   

Eh bien, hier, juste avant que ce mois ne se liquéfie  dans la multitude d'idées qui  fuient le sale hiver, cette dernière m'a annoncé la bonne nouvelle qu'elle avait enfin fait un grand rangement de l'établi de son atelier ...  

Mais je ne m'aventurerai pas davantage.
 
8 mars 2018
Mise à jour 30 et 31 mars 2018  

 *** 

 

La soeur s(amour)aï qui n'a pas froid aux yeux

 
 
 
Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Sœur Chantal Desmarais pratique le karaté comme un art et incarne le code du samouraï dans chacun de ses gestes



 « J’avais un côté tom boy ; on m’appelait Samson parce que j’étais forte.»

Dans une église discrète de Montréal-Nord, trois soirs par semaine, les étudiants de « soeur Chantal » ne viennent pas ouvrir des catéchismes ou discuter de leur foi. Non. Ils font des push-up et des katas en ponctuant d’un « Kiai » ou d’un « Osu » bien senti d’apprentis samouraïs. Ils apprennent à « faire le wiper » avec la jambe et à repousser une arme tout en poussant un cri qui glace le sang.

Ils sont une cinquantaine à suivre « religieusement » cette bonne soeur hors du commun affiliée à la congrégation des Soeurs de Charité de Sainte-Marie. Le jour, soeur Chantal porte le voile, le soir, elle revêt sa ceinture noire et saute dans ses espadrilles.

Le dojo Ookami enseigne le karaté kyokushin, à la fois un entraînement et de l’autodéfense, mais aussi une philosophie et une spiritualité. Le rapport aux rituels et au sensei (professeur), la dignité et le protocole entourant le combat tranchent singulièrement avec la foire d’empoigne des réseaux sociaux, s’il faut chercher une image adverse du côté superficiel de notre quotidien.

La codification et la discipline sont des aspects essentiels dans l’art martial. « Je n’ai que deux règlements : respect et courtoisie », souligne la sensei de 54 ans, qui pratique le karaté depuis plus de 30 ans. « L’art martial, c’est l’art de la guerre. La plupart des dojos sont davantage dans le martial que dans l’art. Mais tu peux gagner un combat sans t’engager dans un combat. »
Pour cette ex-coach de compétition internationale, la tricherie, l’intimidation, la rivalité agressive ne font pas partie du serment du samouraï : « Toujours faire de son mieux pour faire le meilleur. » Son dojo est devenu indépendant pour conserver cet esprit pur et il attire des élèves de tous âges qui pratiquent l’art (martial) ensemble, dans le respect. « Ceux qui veulent se battre ne restent pas. Si tu veux t’endurcir, c’est correct, mais on ne se défonce pas. »


Je l’ai retrouvée là, son chien Inu sur les talons, revêtue de sa robe, un petit choc après l’avoir rencontrée en kimono quelques jours plus tôt. « L’habit ne fait pas le moine, dit-elle en souriant. Je suis toujours la même. Ma vocation, elle, c’est 24 heures sur 24. »
  

Qu’elle joue au hockey, qu’elle grimpe sur son tracteur avec Inu ou qu’elle empoigne sa scie mécanique, soeur Chantal défie toutes les images traditionnelles de passivité féminine de la servante de Dieu. « Je me présente comme un prof, pas comme un maître. Le maître, c’est Dieu seul. » Et sa grande chapelle, c’est la nature, où soeur Chantal se recueille tous les jours. « Inu contemple avec moi. Dieu nous a donné la vie. C’est une présence, un souffle. La résurrection, ce n’est pas seulement après la mort, c’est dans notre vie de tous les jours. Le qi [chi], c’est Dieu, ça a un nom. Le hasard, c’est le surnom de Dieu. On a peur de le nommer. »
    « Quand tu es arrivé au sommet de la montagne, continue de grimper »          

En quête d’absolus

Qu’elle fracture un bloc de ciment avec le coude (tameshiwari) ou qu’elle enseigne un kata (série de mouvements), soeur Chantal considère que le karaté est en parallèle avec la vie : un combat. « C’est aussi un combat contre nous-mêmes, notre orgueil, nos limites, nos comparaisons. C’est un combat qui nous invite à grandir, à croître. »

Son dojo est ouvert à tous et s’y côtoient un juge, une prof, quelques retraités, des écoliers, des mères de famille, un bouddhiste par défaut, des athées convaincus, des croyants, des ceintures blanches ou noires de 8 à 83 ans, des abonnés du Devoir (plusieurs), des gens qui viennent pour se vider la tête, combattre le stress ou prévenir l’alzheimer, perdre 40 kilos en neuf mois, saisir une main qui se tend, réparer une peine d’amour, épouser une philosophie, lâcher prise, affronter leurs peurs.


« La société, c’est un mélange de tout cela, explique la sensei. Un jeune de 10 ans peut enseigner aux plus vieux. Ça crée des liens, une notion de respect. Il y a un nivellement vers le bas dans notre monde. Ce sont les charrettes vides qui font le plus de bruit. Moi, je tire vers le haut ; je ne baisse pas le niveau, même si c’est difficile. »
  

  Aujourd’hui, soeur Chantal ne fera pas de karaté car elle vivra le sommet de sa foi, assistera à l’office du Vendredi saint à 15 h. Ce soir, les jeunes de sa pastorale incarneront les tableaux du chemin de croix et elle s’occupera de la « sono », jouera de la batterie ou de la guitare électrique. Aujourd’hui, ce que l’on nomme la Passion du Christ sera au-devant de la scène. Mais tous les autres jours de l’année, c’est la passion de soeur Chantal qui convertit les coeurs. En voilà une qui a trouvé son chemin et inspire une direction à ceux qui en cherchent une. Appelons-la la cohérence.

Merci à Josée Blanchette du Devoir d'aujourd'hui pour ce beau cadeau de Pâques. 

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Le roi des millions d'années


 
  Or, conseillère privée de Ramsès II, la reine Néfertari remplissait sa mission d'information auprès de son demi-fils et de par son ascendance divine,  se devait de veiller à la continuité de cette Famille royale, n'y espérant rien de moins que l'immortalité pour cette longue lignée de divins rois.
  
N'y était-elle pas étroitement associée? L'ascendance divine, privilège sans précédent, ne lui avait-elle pas été conférée, à elle et elle seule? Première Épouse royale? Non, reine et déesse.    P. 179

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Comme le hasard fait toujours bien les choses, Le Devoir d'aujourd'hui a profité de ce week-end pascal pour offrir à ses fidèles lecteurs ce magnifique dossier sur les  Épouses et les filles des rois de l'ancienne Égypte.  

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Katia Tobar


Culture

 Que ce soit par leur beauté ou par leur pouvoir politique, les reines de l’Égypte ancienne ont inspiré de nombreuses oeuvres de fiction. (Celle-ci, ne représente que le deuxième volume d'une trilogie,  entre autres).  Pourtant, il est difficile de comprendre l’héritage qu’elles ont laissé derrière elles.

Afin d’offrir un certain éclairage sur leur rôle dans l’histoire, le musée Pointe-à-Callière consacre aux femmes marquantes du Nouvel Empire (de 1600 à 1100 av. J.-C.) l’exposition Reines d’Égypte, présentée du 10 avril au 4 novembre.
 
 Plus de 350 éléments seront exposés. Parmi ceux-ci, de « grandes statues des déesses Sekhmet, du pharaon Ramsès II, de magnifiques stèles et papyrus, des momies humaines et animales, des bijoux et objets de beauté des mères, épouses et filles des pharaons, une douzaine de sarcophages peints et des objets réalisés par des artisans pour les reines », explique Francine Lelièvre, directrice générale du musée Pointe-à-Callière.


Deux cent cinquante de ces objets ont été empruntés au Museo Egizio de Turin, en Italie, qui possède l’une des plus importantes collections sur l’Égypte ancienne au monde. Cette collaboration est née de la volonté d’exposer les pièces du tombeau de Néfertari, la grande épouse royale de Ramsès II (1301-1245 av. J.-C.), découvert par l’archéologue Ernesto Schiaparelli. Il fut responsable des missions archéologiques italiennes en Égypte, de 1903 à 1920, pour le musée de Turin.

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France: Un best-seller ou un devoir de mémoire



Le best-seller du « fils de la nation » 




En tant que blogueuse officielle de mon blog personnel,   je n'ai pas le choix que d'y écrire, ce matin même,  un petit coucou sur « La Blogueuse en mal de Conspirations littéraires ».  

De fait, j'ai été interpelée brusquement, à travers les affres de ma labyrinthite assumée,  par la nouvelle littéraire de la semaine  qui risque bien de provoquer un tsunami de controverses,  à sa sortie dans les librairies ... éventuellement. 

Bref, pour ne pas dire davantage, il ne faudrait pas se surprendre que  certaines têtes brûlées n'aillent jusqu'à se chamailler sur les trottoirs en files d'attente bien rangées,  aux portes de son éditeur.  Paraît-il qu'on en est à une autre édition de 50 000 copies, et le bouquin n'est toujours pas encore sur les tablettes. 

Pour l'instant, je  terminerai ici mon petit coucou, en souhaitant secrètement au fond de moi-même, qu'on pensera à moi qui adore lire des biographies de grands personnages de l'Histoire ...  c'est tout dire.  Je saurai donc attendre mon tour avec patience.

Sur le même sujet: http://www.bvoltaire.fr/memoires-de-jean-marie-pen-presse-sattaque-a-lecteurs/

À suivre

Les mémoires de Jean-Marie Le Pen sont épuisés avant même leur parution.

Rencontre avec nos «dieux» d'antan



Et Ramsès, ce rouquin épilé, un dieu! 

Il venait de compter qu'en dix années de règne, son souverain n'avait pas construit ou entrepris la construction de  moins de quatorze temples et palais du haut en bas du royaume. 

 Pourquoi tous ces temples, tous ces palais?

Et la réponse s'imposa avec autant de clarté que la lune dans un ciel d'été.

Ces monuments étaient dédiés aux dieux. Ramsès les
représentait sur terre. C'était donc à lui-même qu'il les dédiait.

L'évidence le fit sourire. Il souriait encore quand il s'endormit.   Trouver les bonnes réponses aux grandes questions est un plaisir divin.   P.314-315

***

La fin des expérimentations

Corey Goode et David Willcox

 
Un court extrait du récent épisode de « Cosmic Disclosure » du 6 mars 2018.
 
          Voici quelques passages que je trouve important de publier. Corey relate une rencontre, à laquelle il a assisté, entre les membres de la Super Fédération et les « Gardiens ».
 
 Corey transmettait les informations que Tear-Eir lui donnait par télépathie.         
David : « Les êtres (de la Super Fédération) qui contrôlent le monde savent très bien qu’il y a un pouvoir « au-dessus » d’eux. Ils peuvent se donner le titre de « dieux » ou d’anges, à cause de toutes les expériences génétiques qu’ils font, mais ils savent que ces « Gardiens » leur sont supérieurs et qu’ils ont un pouvoir que la Super Fédération n’a pas, exact ? »
  Corey : «Ils en sont très conscients. Mais ils pensent que ce qu’il font est très important et que cela ne devrait pas être interrompu …
«  … Le cœur du message de Tear-Eir était que la Super Fédération serait bientôt démantelée, que les 22 expérimentations génétiques prendraient fin et que l’humanité a beaucoup de choses à surmonter … Ces êtres ont manipulé notre génétique et notre spiritualité durant des millénaires. Et le message était que l’humanité, en tant que race pouvant voyager dans l’espace, commencerait à gérer sa propre génétique et sa propre spiritualité. Nous n’aurons plus besoin d’eux comme « gérants » et nous n’aurons plus à nous rapporter à eux. …
… Les premières salutations de Tear-Eir sont toujours : « Dans l’Amour et la Lumière de l’Unique Créateur Infini ». Mais cette fois, ce qu’ils ont dit est « En service à tous. En service à l’Un ».
         David : « … Donc, nous avons tous ces êtres qui ont utilisé la Terre comme un laboratoire scientifique, un laboratoire génétique, une expérimentation spirituelle … Quelle réaction ont-ils eu lorsqu’ils se sont fait dire de « déguerpir » d’ici ? »
         
Corey : « Il y a eu beaucoup de réactions. Nombre d’entre eux hurlaient (télépathiquement … ne me demandez pas d’expliquer ceci). D’autres s’exprimaient verbalement et brandissaient leurs poings. Et … la station a pris les choses en main. Et les gens qui parlaient … leurs lèvres bougeaient, mais il n’y avait pas de son. Et il y avait des êtres qui étaient très contents de savoir cette information. Et Tear-Eir m’a dit de communiquer qu’il y aurait une restructuration de la Super Fédération, que la majorité d’entre eux serait enlevée de cette Fédération. Et une petite partie d’entre eux travailleront conjointement avec des représentants des 52 étoiles locales, nos cousins cosmiques. Ces gens formeront la Super Fédération et nous y siégerons en permanence. Et cela, c’est énorme ».
         
David : « … C’est comme si un décret avait été annoncé ? » 
Corey : « Cela fait partie de la Loi Cosmique. Alors que les énergies changent et que les humains commencent à avoir plus de contrôle sur la portion génétique et spirituelle de l’expérimentation, ces autres êtres seront retirés de la situation. Cela s’est passé dans plusieurs systèmes stellaires, les uns après les autres. Ces êtres ont été retirés plusieurs fois. Et, en entendant cette information, ils sont devenus si contrariés que Tear-Eir m’a demandé de leur rappeler ce qui s’était passé dans le système Ponce (et je n’ai aucune idée de la signification de cela), mais ils sont tous devenus très silencieux et moins animés à ce moment-là. Et, j’ai alors reçu des images d’agents de la Super Fédération et des Gardiens dans une sorte de guerre de quelque sorte. »
« … Après la fin de la rencontre, Gonzales m’a demandé si je réalisais ce que tout cela signifiait et je lui ai dit que je pensais que cela voulait dire qu’on n’aura plus d’extraterrestres qui se feront passer pour des dieux. Il m’a regardé et a dit qu’ils sont les « dieux » de notre mythologie. Mais surtout que ça signifiait que l’humanité contrôle maintenant son avenir, génétiquement et spirituellement. Il était très excité ! »
… David : « Qu’est que cela signifie vraiment pour l’humanité, pour notre futur … avec la cabale et tout ce qu’elle a fait ? Comment cela se manifestera-t-il pour nous, ici sur Terre ? »
   Corey : «Essentiellement, il sera énergétiquement impossible pour les Draco d’exister dans notre espace … Cela fait partie d’un processus naturel qui existe dans le cosmos, à mesure que l’énergie s’accroît dans cette partie de la galaxie … à mesure que la galaxie se dirige vers une partie plus énergétique … Chaque étoile est connectée par un filament électromagnétique et c’est par ces connexions que le système de portails fonctionne …
 
Alors que les autres étoiles de notre système stellaire local se dirigent vers cette partie énergétique de l’espace, l’énergie pénètre une étoile. L’énergie passe par les pôles et une partie s’échappe de cette étoile. L’énergie résiduelle passe, par le filament cosmique, vers notre propre étoile …
 
Ce qui se passe, c’est que pendant 1,000 ans, nous avons cette énergie qui s’accumule dans notre système solaire et cette énergie n’est pas compatible avec les Reptiliens. C’est comme du poison pour eux ».
David : « S’ils ne peuvent s’échapper nulle part, à cause de la barrière extérieure, comment pourront-ils survivre ? »
Corey : « Ils peuvent voyager par les système des Stargates, mais celui-ci est surveillé de près. Il est possible de savoir combien de « sauts » ils ont fait, il est possible de savoir exactement où ils sont. Ce qui arrive, c’est que, tout comme les Anshar qui ont créé une bulle d’espace-temps pour leurs cités, plusieurs de ces Reptiliens, Draco et insectoïdes  ont formé des bulles d’espace-temps où ils vont et attendent les changements énergétiques. Il y a des bases voilées, profondément dans la Terre. Ils vont donc tenter d’attendre la fin de ces 1,000 ans pour ensuite revenir et contrôler à nouveau. Ce qui les affaiblit et les oblige à se cacher et c’est l’humanité qui sera responsable d’aller profondément sous la Terre, de trouver ces zones et de déloger les Reptiliens. Gonzales m’a confié que les supergates sont quelque chose de spécial. Il y en a une, juste à l’extérieur de notre système stellaire. Et la Loi Cosmique interdit à toute espèce d’être bannie d’une supergate. Ne pouvant bannir l’accès à la supergate aux Reptiliens, nous pouvons tout de même « empoisonner le puits » dans notre système stellaire, afin qu’ils ne puissent plus jamais aller nulle part dans notre système solaire. Ils pourraient continuer à utiliser la supergate, mais ils n’y auront pas d’accès avant 1,000 ans » …
David : « Est-ce que la Super Fédération est impliquée dans cet « empoisonnement du puits » pour les Draco ? »
Corey : « Les Gardiens sont ceux qui s’occupent de ces énergies. Et ils nous aideront à nous en occuper, mais ils ne le feront pas dans le but de déloger les Draco. Ce qu’ils font est une partie naturelle de la progression cosmique».
Traduction : Michelle
 
Source: La Sphère bleue


 


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