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Les soeurs Dufour-Lapointe, Justine (or) et Chloé (argent)
Les deux faces des médailles
gagnées par Québec-Canada à Sotchi ont fait beaucoup jaser. D’abord, le
journaliste britannique qui a raconté sans se vanter, que le Québec était un
pays ... ! Scandaleux! Rien de moins pour mettre en rage de nombreux Canadiens-anglais sur les
réseaux sociaux. Mais il n’y a pas que
ça, la France et la Suisse ont été aussi fort impressionnées.
Un petit rappel. Aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver de 2010, les
Québécoises et les Québécois avaient gagné 8 des 16 médailles individuelles
remportées au nom du Canada. Et + encore considérant les médailles de
groupes.
Quatre ans plus tard, même scénario. « Oui, (mais) "c’est la première fois dans l’Histoire que le Canada prend la tête aux classement des médailles dans un tournoi des Jeux olympiques", titre fièrement le Toronto Star, qui explique que le pays ne s’est jamais retrouvé en tête des médailles ni lors des JO d'hiver, ni d'été.
Une fierté quelque peu nuancée par le Globe and Mail, qui rappelle que ce sont les sportifs québécois qui rapportent le gros des breloques. Ce qui amène le journal à s’interroger sur les raisons de ce succès de la Belle province.
Il apparaît que ce sont surtout les infrastructures adaptées et les subventions publiques importantes de la province de Québec qui encouragent la pratique du sport de haut niveau. En outre, les montagnes québécoises, relativement petites, se prêtent bien à la pratique du ski et du snowboard freestyle, rapporte le journal. Mais le Globe and Mail craint que ces succès québécois ne relancent le débat sur la souverainté de la province. » Source: Courrier international
Yes, indeed!
Si je ne m'abuse, les athlètes québécoises et québécois auraient gagné à ce jour d'aujourd'hui 7 médailles sur 14. Dernièrement, comme de fait The Globe and Mail de Toronto s'interrogeait à savoir pourquoi les Québécois gagnaient-ils autant de médailles à Sotchi (ou ailleurs)?
Or,
on découvre que le gouvernement du Québec investit $2,6 millions par année pour
le sport amateur… alors que l’Alberta qui se fait payer un centre de sport canadian (grâce
à une part de nos impôts ...!) par Ottawa en contribue $159,000 !
Je ne voulais pas
aller jusque là, mais force est pour moi de me rendre à l'évidence. C'est comme si le Canada-Alberta, qui ne font qu'une seule et même entité, se fiaient et/ou comptaient sur les Québécois pour se gagner des
médailles.
Un peu chiant,
non?
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Shirley Temple: Toute une star
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| Photo : Agence France-Presse (photo) ArchivesLe 26 juin 1937, Shirley Temple se rend à la première du film Wee Willie Winkie, à Hollywood.
Elle est morte à 85 ans, mais le
chiffre semble absurde. Car le nom de Shirley Temple rime au cinéma avec
enfance. Petite blonde souriante en robe à froufrous pour l’éternité du grand
écran, patronne pomponnée de toutes les futures mini-Miss, drôle de destin !
Ses prestations d’adolescente ne faisant plus recette au cours des années 1940, elle délaissa en 1950 une industrie qui ne l’aimait que gamine.
Shirley Temple eut
d’autres vies. Elle épousa l’homme d’affaires Charles A. Black (qui allait
devenir membre des services secrets américains), anima l’émission de télévision Shirley Temple Storybook de 1957
à 1959. Puis l’année suivante Shirley
Temple Show, avant de s’impliquer corps et âme dans la politique
républicaine.
Elle fut déléguée de l’Assemblée générale des Nations unies
en 1969 et 1970, ambassadrice américaine au Ghana, chef de protocole
du président Gérald Ford et même ambassadrice américaine en Tchécoslovaquie
de 1989 à 1992, au milieu du brouhaha de la chute du Mur.
Demeurée active auprès des réfugiés africains, membre du
comité national des relations États-Unis–Chine, celle qui se faisait désormais
appeler Shirley Temple Black aura connu les coulisses du star-système et de la
politique aux premières loges, pour en voir tous les leurres.
__________ « Shirley Temple Black aura connu les coulisses du star-système et de la politique aux premières loges ... » Quand j'étais petite, maman la considérait comme un modèle pour moi. De là, sa manie de me coiffer et m'habiller comme la jeune star étatsunienne. La photo à suivre un autre jour. Mais aujourd'hui, puisqu'on sait que Shirley Temple a connu les coulisses du star-système, on ne peut s'empêcher de penser qu'elle aurait participé à son insu à l'implantation de l'Ordre mondial ou Nouveau Désordre mondial, c'est selon.
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 La semaine dernière, Barack Obama recevait son homologue français, François Hollande, à la Maison Blanche, à Washington.
En se remémorant le Président américain le plus francophile de l'histoire des États-Unis, Thomas Jefferson (1743-1826), François Hollande, pour rendre hommage en vantant les mérites de ce célèbre président, a eu cette petite phrase en parlant la langue désisoire : « Ces valeurs pour lesquelles nous continuons d'allumer le monde ... »
On aura tout entendu! À voir l'allure avec laquelle ces deux présidents, l'un étatsunien, l'autre français, allument les feux de la guerre sur la planète, honte à vous, Messieurs!
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