Absence non remarquée à Sotchi ?






Des Colombes (pour la paix)  et des Faucons (pour la guerre)

Il y a des lectures qui demandent une concentration à toute épreuve. Devenu ma lecture matinale de prédilection, «En route vers le Nouveau Désordre mondial» fait partie de celles-là. 

Comprendre les grandes lignes de ce monde qu'on nous a machiavéliquement planifié, diaboliquement organisé et habilement imposé, n'est pas une synécure. 

À la tête des divers gouvernements américains des dernières décennies, tant du temps des colombes que celui des faucons, on découvre avec stupeur l'emprise de la Peur dans nos petits crânes de plus en plus devenus chauves ... pendant qu'un supramonde tire toujours en coulisses les ficelles des pantins qui se croient à l'abri des mains invisibles. 

À l'instar d'une journaliste américaine* qui affirma sur la BBC en 2005, mon beau-frère floridien aurait dit, lui aussi, que son pays ne pourrait pas survivre si ... les États-Unis ne s'étaient pas embarqués dans la mise en place d'une Défense à un millier de milliards de dollars. Ce qui a eu pour conséquence que son pays a dû négliger ses écoles, ses villes, ses routes (mais pas tant que ça tout de même...!!!), ses ponts ainsi que son système de santé.  
Pourquoi? 

Parce que «Du plus grand pays créditeur au monde, les États-Unis devinrent le plus grand débiteur du monde - et ce dans le but de payer les armes destinées à contrer la menace (paranoïaque)  émanant d'une nation (URSS-Russie) en train de s'écrouler.» Mais qui depuis,  sous nos yeux ébahis, inquiets ou indifférents, comme un phénix de glace et de lumière, se réveille de son long engourdissement.   


Et cela dure bien sûr encore et surtout au moment où l'on se parle. N'avez-vous pas remarqué que le président américain a brillé par son absence, aux Jeux de Sotchi? 


« En cherchant à renverser trois gouvernements en même temps (Syrie, Ukraine, Venezuela) Washington tente en ce moment de montrer au monde qu'il est toujours le maître. Pour être plus sûr de lui-même, il a lancé les opérations ukrainiennes et vénézuéliennes durant les Jeux Olympiques de Sotchi. Il était certain que la Russie ne bougerait pas de peur de voir sa fête troublée par des attentats islamistes. Mais Sotchi a pris fin ce week-end. C'est désormais au tour de Moscou de jouer.»   Thierry Meyssan, Réseau Voltaire - 23 février 2014

* Anne Hessing Cahn


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Actualités




Terroriste dans une galaxie près de chez nous
Hydro-Québec n'ose pas tenir tête à l'agent d'affaires de la FTQ-Construction «Rambo» Gauthier par crainte qu'il perturbe les chantiers.  

Pourquoi personne ni à Hydro-Québec ni au gouvernement  n'a encore songé à envoyer sur place l'armée ... québécoise?  

P.S. Si cette armée n'existe pas encore faudrait la créer de toute urgence. J'ai un nom si cela peut accélérer les choses:  La Brigade nationale pour la Défense des chantiers québécois. 


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Oui, mettons fin au délire éolien

Commentaire - Le Devoir

Souvenons-nous : les éolopathes nous avaient promis que les éoliennes – utilisant du vent gratuit – allaient régler une bonne fois pour toutes le problème du réchauffement climatique.  


Or, qu’arrive-t-il, vraiment?

D’abord, le vent est peut-être gratuit, mais sûrement pas les robots à pales. Ceux-ci sont coûteux au point d’être ruineux et ils dépendent entièrement de la charité publique pour survivre.

Sans subventions princières et sans réglementation obligeant les réseaux électriques à acheter leur production – besoin, pas besoin – il n’y aurait aucune centrale éolienne sur Terre.

Malheureusement, de très nombreux politiciens dans de nombreux pays sont tombés dans le panneau, de telle sorte que les éoliennes hérissent leurs mâts dans les plus beaux paysages.

Tous ces malheurs pour un impact nul – et même négatif – sur le climat.

Voici le cas des États-Unis.

En 2011 et 2012, ce pays avait réussi à réduire ses émissions de CO2, non pas grâce aux milliers d’éoliennes déjà installées, mais grâce au gaz de schiste, moins cher que le charbon, et moins polluant aussi.

Le prix du gaz ayant grimpé, les producteurs d’électricité reviennent au charbon (http://www.forbes.com/sites/lorensteffy/2014/02/14

Les éoliennes n’entrent même plus dans les jeux économiques.

Elles sont tout juste considérées comme une contrainte dont il faut tenir compte : la loi oblige de leur acheter l’électricité, et on le fait, mais on s’en tient à cela, car on a bien compris que cette filière n’a aucun avenir.

Il n’y aura plus bientôt que le Québec pour s’entêter à gaver de subventions une industrie mort-née.

Vite, Madame Marois, ouvrez les yeux et fermez le robinet des subventions milliardaires.

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N'étant pas experte en la matière, voilà une opinion que je respecte.  Néanmoins, j'ai pour mon dire que même si j'ai un ami qui n'en pense que du bien, il se trouvera bien mal pris le jour qu'il se produira une panne d'Hydro dans son beau petit village gaspésien.  May

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