Pour défendre les intérêts de l’élite dirigeante canadienne


Aurions-nous voter pour ça? Fédéralistement parlant, bien sûr!

Depuis son arrivée au pouvoir à la fin de l’année dernière, Justin Trudeau et les Libéraux ont mené une politique étrangère militariste agressive pour défendre les intérêts de l’élite dirigeante canadienne. Le nouveau gouvernement a respecté sa promesse électorale de solidifier le partenariat militaire et stratégique de longue date avec les États-Unis, la puissance impérialiste la plus invasive sur la planète.

En moins d’un an, Trudeau a triplé le nombre de membres des Forces spéciales actives au front de la guerre en Irak, a donné son appui à la position anti-Chine agressive de Washington et du Japon en mer de Chine méridionale, et a accepté d’envoyer 450 soldats, une frégate et six chasseurs en Europe pour participer à la campagne guerrière dirigée contre la Russie. Source

 Aurions-nous voter pour ça? Avons-nous manqué de vigilance? Avons-nous simplement fait preuve d'indifférence, voire même d'indolence?   Chose certaine, nous avons fermé les yeux sur le fait que notre voisine immédiate, en tant que future Présidente de son pays, a beau avoir à la bouche les mots de sociale démocratie, d'emploi pour son peuple, pour ne nommer que ces deux objectifs volés à son ex-rival, Bernie Saunders, il n'en demeure pas moins qu'elle est d'abord et avant tout l'instrument des think tank sionistes et américains,   et des financiers de Wall Street. 

En outre,  en se posant comme experte en  affaires mondiales, elle a excellé en son temps en tant que secrétaire d'État  dans des déstabilisations, des destructions, des invasions illégales de pays, voire même les meurtres de leurs dirigeants bien qu'ils fussent dictateurs ou autres régimes étrangers, qui avaient osé ne pas se soumettre à la domination des USA.

Et quant à son adversaire, celui qu'on ne souhaite ni comme Président, ni comme parrain de nos petits derniers et qu'on qualifie des pires mots dits, l'imbuvable Donald Trump, dont  le crime est de porter la contestation à la source même de l’Empire, bataille  envers et contre tous pour empêcher cette « Reine du chaos » mondial d'atteindre aux commandes de la planète. 

Or, si Donald Trump est une menace pour la démocratie pour plusieurs, Hillary Clinton, elle,  en est une pour toute l'humanité, pour beaucoup d'autres. Les Américains voteront-ils pour ça? Cela reste à voir.   Donc, comme je n'ai rien appris de plus enthousiasmant  de la part de mon petit doigt à leur sujet, je devrai donc  me tourner vers Baba Vanga pour trancher cette question  délicate. La ré-élection de Barack Obama a conforté la prophétie de Baba Vanga, la grande prophétesse de l’Est, 1916-1996, dont de très nombreuses visions se sont réalisées. 

N'avait-elle pas annoncé, entre autres, que " le Président noir sera le dernier Président des États-Unis, avant que le pays ne soit divisé. ". Obama a été élu une seconde fois. Il n’y aura donc pas de troisième fois.  Mais est-il pensable  que ni l'un ni l'autre des aspirants à la présidence américaine ne parvienne pas au pouvoir en novembre prochain?

***

Que des rumeurs ... !

La semaine dernière  je me confiais à ma sœur Lolo pour lui faire part de mes nouvelles élucubrations. Décidément depuis les derniers  attentats produits en France,  les neurones avaient commencé à me chatouiller.  En particulier, depuis celui de Nice qui a  attiré  mon attention  de sorte que j'en suis venue à lui poser la question qui fâche:   « Tu ne trouves pas  étrange, lui ai-je demandé,  de voir tous ces «cadavres» étendus sur la chaussée  recouverts de bâches,  et  ne montrant aucune tache de sang nulle part autour d'eux? » 

Sur les entrefaites,  dans mon esprit sont réapparues quelques images de l'attentat de Boston dans lesquelles l'on pouvait voir une espèce de mise en scène avec des acteurs jouant  des rôles de blessés et que sais-je, aussi de morts ...  Nice aurait-elle été une autre fausse bannière pour nous faire croire l'impensable? L'inimaginable? Je sais... Je sais... Me voilà encore avec mes histoires de peur et de terreur  à boire debout. Même ma sœur Lolo y perd son latin.  Quand même.  
 
Et bien, cette question-là a été posée en même temps ou peu après moi par Paul Craig Roberts, cet  Américain reconnu pour ses états de service dans l'administration sous la présidence de Ronald Reagan, mais aussi pour ses doutes profonds concernant les intentions (de moins en moins) cachées de son propre gouvernement actuel suivi par une ribambelle de vassaux aux ordres. Paul Craig Roberts a donc posé certaines questions et exprimé quelques commentaires pertinents dans un  addendum à la fin de  l'article suivant.
 
« Néanmoins  cette grande collection de photos dans le Daily Mail du Royaume-Uni sur l’attentat de Nice ( http://www.dailymail.co.uk/news/article-3691019/Several-people-injured-truck-crashes-crowd-Bastille-Day-celebrations-Nice.html) ne semble pas montrer de sang aux corps qui ont été photographiés  dans les rues où le carnage est sensé avoir eu lieu. 
 
Le camion blanc signalé comme avoir été l’arme du crime ne semble pas porter des traces de sang ou d’être endommagé. Un collègue avait une fois heurté un cerf, sa voiture a été totalement esquintée. Comment peut-il y avoir 186 personnes touchées et aucun dommage au camion ? En outre, parmi les reportages il y a une vidéo d’un policier exposé aux tirs à quelques mètres de la cabine du camion.
 
Pour que la police s’expose devant un fou, signalé armé, cela implique que soit,  il n’était pas armé, soit que la cabine du camion était vide. Pourquoi la police n’a pas ouvert la porte pour le saisir ou s’il était armé attendre qu’il épuise ses munitions ?
 
Dans tous ces attentats, l’auteur présumé est toujours abattu. Il est à noter également, qu’il y a déjà les noms et les photos des victimes et une histoire de l’auteur.
 
Comment est-il possible que tant de photos de tant de personnes différentes soient si rapidement collectées et tellement d’informations recueillies à propos de l’auteur ?
 
Les médias ne posent jamais aux autorités publiques de telles questions, ni ne fournissent de réponses. Il semblerait que l’histoire ait été préparée (à l'avance ...!) et prête à être déclenchée quand l’événement s’est produit, et que ce sera tout ce que nous n’obtiendrons jamais.
 

Pourquoi des soldats français armés sur scène susceptibles d’arrêter le carnage au Bataclan ont reçu l’ordre de se retirer ? ».   

Je terminerai ici bien sagement.  Et surtout, n'oublions jamais ceci: mystère et re-mystère!

Terrorisme / Bataclan : l’antre de la torture ? Info ou intox?

 

Retour en France avec le rapport sur les attentats de novembre. Des bruits, des rumeurs, des mensonges… voilà comment étaient balayées d’un revers de main les descriptions de tortures infligées à une partie des victimes de l’attentat au Bataclan. Avec la parution des rapports de la Commission d’enquête pour lutter contre le terrorisme, les faits sont confirmés par plusieurs témoins, victimes ou policiers. Pierre Bergerault

La France se réveille avec la gueule de bois après les attentats niçois et c’est une nouvelle secousse d’horreur qu’elle doit subir. Remuer le passé, pourtant récent, de l’attentat au Bataclan.

Et si tout n’avait pas été dit ? Alors que l’information de possibles décapitions dans l’enceinte de la salle de spectacle avaient fait trembler le net sans qu’aucune vérification ne soit possible, le voile de la vérité s’est levé avec la parution du rapport de la commission d’enquête.
Lors de l’audition à huis clos du 21 mars, les policiers de la Brigade anti-criminalité du Val de Marne, arrivés sur les lieux en premier, ont décrit des scènes qui dépassent l’entendement.
En effet, selon un gardien de la paix, des corps de victimes n’ont pu être présentés aux familles à cause des sévices qu’ils auraient subis. Certains avaient été égorgés, décapités, ou éviscérés.
L’officier rapporte également que des femmes auraient subi des mutilations de leur appareil génital. Le tout aurait été filmé pour satisfaire les besoins d’images de l’Etat Islamique pour réaliser ses vidéos de propagande.
L’explosion des kamikazes et la destruction dans la foulée de leurs téléphones portables n’ont visiblement pas permis de confirmer l’envoi des images. Le gardien de la paix ajoutera par la suite que des actes sexuels ont été mimés sur certaines femmes avant de les mutiler. D’autres victimes ont quant à elles été énucléées.
Des révélations glaçantes tant par leur violence que par l’omerta qui les entoure. Deux jours plus tard, toujours à huis clos, la commission d’enquête entendait Michel Cadot, le préfet de police de Paris.
Le président de la commission, le républicain George Fenech l’a interrogé sur ces révélations sans que le haut fonctionnaire ne semble véritablement en mesure de répondre. Il a simplement précisé qu’aucun objet tranchant n’aurait été retrouvé sur les lieux. Une lettre écrite par le père d’une des victimes a toutefois été lue lors de l’audition.
La missive relate que l’Institut Médico-légal l’aurait prévenu que son fils avait été éviscéré et qu’un des terroristes lui aurait coupé les testicules pour lui mettre dans la bouche. Par ailleurs, le visage de la victime était à demi enfoncé et son oeil droit avait été ôté, le tout ayant tuméfié sa face laissant des traces indélébiles jusqu’à la mise en bière à laquelle a assisté la famille… Christian Sainte, le chef de la police judiciaire de Paris, n’a pas non plus été en mesure de confirmer ou d’infirmer les faits.
Pour autant, on imagine mal les policiers, premiers à pénétrer dans le Bataclan, avoir un quelconque intérêt à mentir sur ces éléments, d’autant que plusieurs précisent avoir été obligés de sortir tant les scènes étaient insoutenables.
La question qui subsiste porte alors sur le silence quant à ces précisions cruciales puisqu’elles révèlent des modes opératoires différents des kamikazes dont les uniques motivations sont de faire un maximum de morts… Par ailleurs, le fait qu’un ou des terroristes aient pris le temps de torturer les victimes peut en partie expliquer pourquoi le carnage n’a pas été d’une ampleur encore plus importante…
En bref, si le ministre de l’Intérieur et le premier ministre expliquent à chaque attentat que toute la lumière doit être faite sur ces actes… il semble que tout le monde ne soit pas autorisé à être éclairé.

Source

US: angoisse et insécurité pour une cause supérieure

 



 Ma sœur  qui habite la Floride et qui s'enorgueillit de son passeport américain,  ne peut tout de même pas nous servir comme raison des attentats perpétrés par  des terroristes  étrangers  motivés par rien de moins que par la jalousie  à l'endroit de son pays ...

Or, le traitement subit par ses propres concitoyens de race noire par des policiers américains n'a ici aucune espèce de  jalousie de part et d'autre. S'agirait probablement plutôt d'un racisme atavique, endémique et insupportable entre Blancs et Noirs.  Point final.

Encore, il y a quelques années, une dame blanche de la Caroline du Sud qui nous accompagnait lors d'une ballade en voiture, se demanda en passant devant une propriété  somme toute proprette  appartenant à une famille de race noire, tout bêtement comment il se faisait que  des Noirs pouvaient se permettre de posséder une telle propriété. Car selon elle, (et ce sont ses mots): « Ces gens-là, ne  méritent pas un luxe pareil.» Alors, on peut comprendre le climat actuel d'angoisse et d'insécurité aux États-Unis,  en ce moment.

En ce moment justement, où les policiers américains de plusieurs villes ont hérité d'équipements militaires superflus des guerres américaines tenues en d'autres continents. Bon d'accord, ils ont tous les droits de s'en servir contre des criminels qui auraient commis des horreurs,  mais   aussi,  bien sûr, contre des Noirs innocents que des policiers arrêtent aux fins d'identification  et abattent brutalement certains soirs  sur des autoroutes. 

Je ne dis pas que c'est mieux de tuer des policiers par vengeance ou autre mauvais ressentiment, mais il n'est pas faux de prétendre que les Noirs sont pris pour cibles  beaucoup plus souvent que d'habitude.  Comme si on cherchait des raisons de provoquer cette minorité, de l'exaspérer, et cela jusqu'à ce que le pire éclate. 
« Les problèmes divers et réels qui concernent les Afro-Américains sont malheureusement utilisés et parfaitement encadrés par de « généreux » donateurs qui utilisent cette communauté au service d’une cause supérieure. Celle-ci, au service du mondialisme, ne peut qu’aboutir à la déstabilisation, à l’éclatement territorial et sociétal américain. Disparition des frontières, destruction des États dans le cadre d’un nouvel ordre mondial et d’une centralisation planétaire en formation sur fond d’effondrement économique : après la destruction de la Yougoslavie, la montée en puissance des mouvements sécessionnistes en Europe, la mise à mort des États du Proche-Orient, un début de guerre civile sous-jacent en France, ne serait-ce pas le tour des États-Unis ? »  Pierre Hillard,  ici 
C'est bien ce que craignent beaucoup d'entre nous  qui regardons les choses se dégrader terriblement et évoluer à vitesse grand V,  de mois en mois et de semaines en semaines,  chez nos voisins du Sud. Très inquiétant, merci!

***
 
À côté des flaques de sang, les toutous abandonnés
 
 
 

« Faire de la téléréalité dans un contexte de massacre d'innocents c'est carrément immoral. Cette façon d'agir sert les terroristes qui voient leurs exploits bénéficier d'une grande exposition médiatique. Ils réussissent, par l'intermédiaire des médias — à faire peur au monde. Je pense que les réseaux de télévision — peuvent limiter leur rôle d'allié des organisations terroristes — en ne diffusant que de courts reportages purement informatifs et laissant de côté les flaques de sang et les toutous abandonnés.»
Ce commentaire d'un abonné du Devoir,  à la suite de l'article de Jean-Claude Leclerc, chroniqueur du même média  m'amène à réfléchir, moi aussi, sur le sujet. En effet, il est vrai que la fameuse stratégie de la peur est en grande partie le pain et le beurre de nos médias officiels. 
 
Il faut cependant ne pas oublier que cette stratégie sert aussi d'instrument de propagande et d'endurcissement des consciences dans toutes sortes d'émissions de violence, de guerre et d'horreur.  « Pourquoi cacher l'horreur quand sa vue est publique? », s'interroge J.-C. Leclerc. Pour la majorité des médias, on peut avoir ce commentaire un peu creux, à savoir que lorsque le sang coule, le tirage monte.   
 
Mais ce que je remarque de plus en plus après chaque événement tragique, c'est à quel point cette peur suscitée par les attentats terroristes peut être exploitée par les politiciens. On n'a qu'à voir  l'empressement du gouvernement français, notamment,   pour prolonger son état d'urgence de trois mois en six mois,  et pour son président, François Hollande, de remonter dans les sondages après chaque attentat. Et cela depuis la terrible tragédie de Charlie Hebdo. Bizarre, non? 

Oui, bien sûr, les médias occidentaux auraient intérêt à doser (pour ne pas dire censurer dans certains cas)  leurs images de violence et d'horreur, qui font d'ailleurs le jeu des terroristes, sans pour autant brimer l'information et surtout la vérité.  Une question d'éthique s'impose ici évidemment. 

Source: Le Camion de Nice

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 Et pour terminer, je citerai ce passage d'Alexandre Latsa: « Cette transition vers la réaffirmation  de l'État et de son contrôle sur le territoire signifiait la fin du règne des pouvoirs parallèles. Si les images du président russe à la télévision affirmant devant les forces de l'ordre que pour chaque policier tué il fallait tuer dix malfrats ont fait le tour du monde, les médias ont bien moins accompagné la lutte que Vladimir Poutine a initiée et gagnée contre la plus puissante des mafias: les oligarques. » p. 72
 

Les printemps d'un monde en dérive



C'est parce que je trouve insupportable, insensée et sauvage  cette propagande occidentale de diabolisation envers le peuple russe et son président, Vladimir Poutine. 

Ce pays  qu'on méprise et humilie, qu'on cherche par tous les moyens à encercler, à démembrer et vouloir faire disparaître, m'apparaît,  à cause de ce traitement injuste, plus grand que nature.

Tout ça à un point tel que je ressens quasiment le besoin d'aller vérifier si tout ce qu'on dit de mal ou de négatif à son endroit, s'avère authentique.  Entre autre, en commençant par les effets néfastes des fameuses sanctions économiques signées Barak Obama,  à tout bout de champ, reconduites.  Et qui,  signe des temps, à défaut de frapper leur cible finissent par se retourner contre eux (les Américains)  et leurs vassaux européens.

Enfin, il ne faut pas se voiler la face, ni chercher à se cacher derrière son petit doigt, mais s'il  est un pays que je rêve de visiter, c'est la Russie.  À tout le moins m'inspire le goût de lire ce bouquin qui a pour objectif de remettre les pendules à l'heure.

Après  les printemps de couleur, le printemps arabe et le printemps érable, j'espère voir bientôt apparaître un printemps russe de mon vivant. 

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Un (autre) femme de fer aux commandes ?



Un fait indéniable nous saute aux yeux. En plus de les raccommoder entre eux, quand les hommes créent le bordel dans le monde et dans leur pays, c'est presque la norme: on envoie les femmes aux barricades afin qu'elles y brassent la cabane ou bien y fassent le ménage. Voilà ce qui attend la nouvelle Première ministre de la Grande-Bretagne: mettre de l'ordre dans le chaos laissé par le Brexit. 

 Je suis confiante qu'elle réussira. Eurosceptique, Theresa May? Je reste sceptique  là-dessus, moi. Mais, on sait qu'elle est là pour le plus grand intérêt de la Grande-Bretagne sortie ou pas de l'Union européenne. 

 C'est ce que nous allons voir très bientôt en suivant de près sa trajectoire. Évidemment tout dépendra de l'agenda caché à respecter ou non ce dont on l'aura investie. Le nouvel ordre mondial fait certes partie de cet agenda. 
Peu importe son parcours,  c'est cette  dame diabétique de type 1 bien qu'elle se soigne à l'insuline,   qui d'une main de fer et une volonté de faire  sera aux commandes de ce pays orgueilleux de son passé impérial,  et qui n'aime pas vraiment se soumettre à des maîtres qui chercheraient à le dominer.

 À suivre.

***

Une théorie du complot bien ordinaire



Le ciel était électrique à Hong-Kong le week-end du 9 juillet
et à Moscou aussi

Chargé d'électricité et de feux d'artifices, le monde est comme un train à la dérive. Les orages à Hong Kong et à Moscou, le week-end dernier,  ont pris des airs de surréalisme. Bizarre de coïncidence  que ce soit ces deux pays-là qui aient été témoins et/ou victimes d'un tel débordement de la Nature. Du jamais vu de toute l'histoire, disent les uns. De toute une vie, disent d'autres.

Que se passe-t-il donc pour provoquer tant de bruit et de rage? C'est comme si un musicien désespéré se prenait les pieds dans les cordes d'antennes d'une machine diabolique, ou encore dans des bras satellitaires ennemis, ou encore dans les cordes d'une harpe qu'on soupçonne de lui faire  jouer la Symphonie rouge. Mais pourquoi donc tout cet apocalypse? Pour les allumé(es), la plupart connaisse ce qu'est HAARP,  pour les autres, voir ici.

Eh bien, vous  me connaissez mal si vous croyez que je n'ai pas ma petite théorie à ce sujet. Justement  mon autre petit doigt m'a dit que la Chine (Hong Kong) s'apprêtait à  développer un système financier important mais  parallèle à l'autre, qui viendrait aider aux pays émergents à se développer.  
Ma source cite: « Alors, la Chine a déjà pris la tête — devant les États-Unis — dans la course au financement global des infrastructures. Les finances internationales sont en voie de transformation, en dépit de la forte opposition de la puissante tutelle états-unienne. » 
Et on prétend, entre autre, que la Chine aura plus de 100 alliés à son compte d'ici la fin de l'année. C'est un peu court,  ce que je vous dis, mais cela reste une théorie: quelqu'un est contre ça et ce quelqu'un ne veut surtout pas d'une telle entreprise qui viendrait risquer de lui faire perdre son précieux dollar. À tout prix, il cherchera à empêcher cette entreprise.

En outre, et pourquoi ne pas s'en prendre par la même occasion à la Russie (Moscou) qui refuse de se soumettre à la  domination états-unienne,   tout en étant amie de la Chine? Et,  soit dit en passant,  fait un pied-de-nez aux US en se libérant des chaînes avec lesquelles on a voulu l'étouffer.

En terminant, c'est à se demander si ces orages apocalyptiques n'ont pas été utilisés pour créer un climat (le mot dans tous ses sens n'est pas trop fort)  de peur, voire de frayeur et de terreur.  Je vous laisse donc  y réfléchir, mais pas longtemps.  Et,  aux  allumés, eh bien,  gardez l'œil ouvert et votre lanterne bien huilée.

J'ai souvent cité L'Aurore rouge.  Ce plan diabolique détaillé en plusieurs objectifs auquel il est insensé de croire  ...  26. – L’utilisation de l’Électro-Magnétique (HAARP) pour provoquer des « Tremblements de Terre », et pourquoi pas des « orages apocalyptiques »  dans les régions industrielles les plus importantes des États-Nations contribuera à accélérer la « Chute Économique » des États les plus menaçants pour nous; de même qu’à amplifier l’obligation de la mise en place de notre Nouvel Ordre Mondial.

Du grand art, c'est évident.
 

Black Lives Matter : la photo d'une jeune femme noire faisant face à la police enflamme les réseaux sociaux


Laure Gautherin
Auféminin
lun., 11 juil. 2016 18:34 UTC

© Jonathan Bachman / Reuters
A demonstrator protesting the shooting death of Alton Sterling is detained by law enforcement near the headquarters of the Baton Rouge Police Department in Baton Rouge, Louisiana, U.S. July 9, 2016

 
Alors que le mouvement Black Lives Matter dénonçant les violences policières envers la population noire des Etats-Unis ne s'essouffle pas, une photo, prise lors d'une manifestation fait depuis samedi le tour du web pour le message pacifiste qu'elle délivre.

On la compare déjà à une photo légendaire, icône de la lutte pacifiste face à la répression : celle de "Tank Man", prise sur la place Tian'anmen en 1989, sur laquelle on peut voir cet homme, un sac de courses à la main, faire face, au milieu d'une rue, à une colonne de tanks envoyés par le gouvernement chinois en réponse aux manifestations qui avaient réuni étudiants, ouvriers et intellectuels et qui se sont achevés dans un bain de sang.

Cette fois-ci, il s'agit d'une jeune femme qui a courageusement fait face à une horde de policiers en armure en pleine manifestation à Bâton Rouge (Louisiane) contre les violences visant les noirs aux Etats-Unis alors que celles-ci on encore fait une nouvelle victime le 5 juillet dernier.

Commentaire : La Gestapo étasunienne a assassiné plus de 600 citoyens américains au cours de cette année 2016. 

Sa longue robe flottant au vent, elle s'est approchée d'eux, seule, droite et tête haute, les poings croisés comme pour se rendre, tandis que deux agents se précipitent sur elle pour l'appréhender. Une scène symbolique qui n'a duré que quelques secondes à peine, juste le temps pour un photographe de Reuters de la capturer, mais qui se déroule en boucle depuis sur la Toile où elle a été massivement partagée.   
 
Elle s'appelle Leshia Evans et elle ne s'attendait certainement pas à ce que son geste fasse ainsi le tour de la planète mais il aura grandement servi sa cause. Comme des milliers de citoyens américains, cette infirmière de 28 ans a voulu dénoncer le racisme des forces de l'ordres et les trop nombreux assassinats de citoyens noirs. Elle s'est donc rendue à Bâton Rouge, où a été abattu Alton Sterling, un homme de 37 ans, après un banal contrôle, pour se joindre au mouvement Black Lives Matter ("les vies noires importent"). Alors que les tensions entre la police et la population ont donné déjà à de nombreuses manifestations, mais aussi à des affrontements et arrestations, une nouvelle marche pacifique était organisée ce samedi 9 juillet et c'est donc ce cliché qui en est ressorti.

"Ça s'est passé très vite mais je pouvais dire qu'elle n'allait pas bouger, et c'était comme si elle voulait faire passer un message, confie Jonathan Bachman, le photographe, à The Atlantic. Et je pensais juste que c'était le bon endroit pour me mettre en position et faire une image, simplement parce qu'elle était là dans sa robe et que vous aviez deux policiers dans leur attirail anti-émeute." Il précise que son arrestation s'est passée sans violence, qu'elle n'a pas résisté et que les policiers ne l'ont pas traînée. Selon l'agence Reuters, elle a été mise en garde à vue plusieurs heures puis relâchée le lendemain.

"Elle est allée là-bas parce qu'elle veut un monde meilleur pour son fils de 5 ans", a expliqué une amie de Leshia Evans au Daily Mail. Légèrement surprise par sa soudaine notoriété, cette jeune New-yorkaise a rendu privés ses profils sur les réseaux sociaux et demandé à ses proches de ne plus accorder d'interviews aux médias car elle veut parler pour elle.
 
Source: Sott.net

Daesh et les homosexuels

J'ai beaucoup hésité avant de mettre en ligne ce long texte de Thierry Meyssan, écrit sur son site le 20 juin dernier.  Si cette information est exacte, Thierry Meyssan habite en couple à Damas, capitale de la Syrie.  Bonne lecture.

L’élection de « Monsieur Gay Syrie » 2016 a été organisée par Subhi Nahas au mois de mai à Istanbul et non pas à Deir ez-Zor. Un visa Schengen a été refusé au lauréat qui ne pourra donc pas concourir à l’élection de « Monsieur Gay Monde » à Malte.
© Bradley Secker / Daily Mail

Thierry Meyssan

Revenant sur la tuerie d’Orlando, Thierry Meyssan rappelle que le conflit entre Daesh et la République arabe syrienne est d’abord une lutte entre deux formes de sociétés, dominée par les hommes pour la première, égalitaire en droits pour la seconde. C’est aussi l’occasion pour lui de souligner que la civilisation syrienne a une longue histoire méconnue d’intégration des homosexuels que Daesh tente de détruire.


Tom MacMaster

En 2011, alors que la guerre commence en Syrie, un blog apparait sous le nom de « Gay Girl in Damascus » (une fille gay à Damas). L’auteure raconte à la fois sa vie de femme libre dans la capitale syrienne et critique le « régime de Bachar ». En décembre, un message est posté sur le blog par un de ses cousins affirmant que la jeune fille vient d’être arrêtée par les « mukhabarat » (Renseignements généraux). Les associations gays occidentales —qui ignorent tout de la Syrie— se mobilisent contre la « dictature ». On apprendra plus tard que la jeune fille n’a jamais existé. Le blog était en réalité tenu à des fins de propagande par Tom MacMaster depuis l’université d’Edinbourg, probablement pour le compte du MI6.
La tuerie d’Orlando a poussé sous le feu des projecteurs le traitement des homosexuels par Daesh. Pourtant, l’assassin qui se réclamait du groupe terroriste était lui-même un client de la discothèque gay et avait eu des relations sexuelles avec au moins un autre client. Il semble donc qu’il avait ciblé une discothèque et non pas une discothèque gay.

Quoi qu’il en soit, le massacre des homosexuels n’est pas l’apanage de Daesh, c’est une pratique de nombreux groupes sectaires se réclamant de diverses religions, et plus particulièrement des groupes islamistes. C’était le cas par exemple de l’Armée de résistance du Seigneur en Ouganda dans les années 90 —qui se réclamait de Jésus— ou aujourd’hui des jihadistes —qui se réclament de Mahomet—. D’une manière plus générale, une grande partie des juifs, des chrétiens et des musulmans considèrent la sexualité entre personnes de même sexe comme un « péché », tout en admettant que l’on ne choisit pas de qui on « tombe » amoureux.

D’un point de vue ethnologique, la condamnation de l’homosexualité au nom de ces religions est concomitante d’une vision de la société où les hommes dominent les femmes. Elle n’existe pas dans les sociétés où les individus sont égaux en droits.


Mohammed Allouche, négociateur-en-chef de l’opposition modérée
aux négociations de Genève, est parvenu à cette responsabilité
 en jetant lui-même des homosexuels depuis les toits de Douma (Damas).

Daesh et le Baas : deux conceptions de la société

Comme je l’écrivais, il y a un an, « le soutien dont Daesh bénéficie parmi certaines populations n’a rien à voir ni avec le Coran, ni avec la lutte des classes. C’est la révolte d’un mode de vie en train de disparaître, d’une société violente dominée par les hommes, contre un mode de vie respectueux des femmes et contrôlant les naissances » [1]. Dès lors, le massacre des homosexuels est devenu pour les jihadistes un argument pour « conquérir les cœurs et les esprits ».

Le négociateur en chef des « modérés » aux négociations de Genève, Mohamed Allouche, s’est rendu célèbre en précipitant des personnes accusées d’homosexualité des toits de Douma, dans la banlieue de Damas, sans provoquer la moindre protestation de ses sponsors occidentaux. Bien que son groupe, l’Armée de l’islam (Jaysh al-Islam), soit financé par l’Arabie saoudite et encadré par des conseillers militaires britanniques, il était assisté en permanence durant les négociations par le chargé d’affaire français pour la Syrie. Ce diplomate —d’une République laïque— est intervenu pour que l’hôtel suisse qui les hébergeait retire des tableaux et couvre des statues dont la nudité aurait pu choquer ce modèle de « démocrate ». Probablement pensait-il —et il se trouve qu’il vit lui-même en couple gay avec un autre diplomate— que les exactions de Mohammed Allouche étaient moins graves que celles du « régime de Bachar ».

Or, aujourd’hui, dans le monde arabe —qui est minoritaire par rapport aux musulmans du monde entier—, seuls la Syrie, le sultanat d’Oman et certains Émirats arabes unis intègrent les homosexuels.

Il faut ici rappeler que, contrairement à une image qui a été imposée sans être discutée, jamais la République arabe syrienne n’a persécuté qui que ce soit pour des motifs d’ordre privé. Tous les crimes, réels ou plus souvent imaginaires, qu’on lui attribue sont exclusivement liés à la répression des islamistes, que ce soit les Frères musulmans ou plus récemment leurs extensions d’al-Qaïda et de Daesh. En février dernier, le quotidien libanais financé par l’Union européenne, L’Orient-Le Jour, connu pour son parti pris systématiquement anti-syrien, consacrait une série d’articles à une comparaison entre la vie gay au Liban et en Syrie. Alors qu’au Liban, la police arrête des jeunes gens souvent dénoncés par leur famille, fouille leurs téléphones portables à la recherche de photographies compromettantes, convoque leurs amis, fait passer à tous les suspects un examen médical censé déterminer la dilatation de leur anus, et les tabasse jusqu’à ce que l’un d’entre eux accuse les autres, en Syrie observe le journal, « sous le régime de Bachar el-Assad, la communauté gay coulait des jours heureux » [2].

Les Syriens n’envisagent pas la question de l’homosexualité sous l’angle de la tolérance ou de l’intolérance, mais sous celle de la vie privée. Et, des milliers d’années de civilisation leur ont appris qu’ils ne peuvent survivre dans cette région du monde qu’en vivant ensemble, et qu’ils ne peuvent y parvenir qu’en respectant la vie privée de chacun. Il est donc possible de déclarer mépriser les homosexuels en général tout en s’interdisant d’accuser quiconque en particulier d’être gay.

Même si les dispositions du Code pénal de 1949 n’ont pas été abrogées, le parti du président Bachar el-Assad, le Baas, a installé une culture presque unique dans un pays arabe, basée sur le respect des différences. De sorte que L’Orient-Le Jours’étonnait d’entendre un réfugié syrien gay évoquer son service militaire comme les « plus belles années de sa vie », et raconter « les fêtes dans des salles de mariage louées par des couples gays pour célébrer leur union ». Ce n’est qu’à l’arrivée de Daesh qu’il est contraint de « cacher ses pantalons roses et jaunes, et de s’entraîner à marcher d’une façon masculine ».

Bien que les fondateurs du Baas se soient d’abord inspirés de la Révolution française, leur idéologie est surtout le fruit de la culture syrienne. Et contrairement aux autres pays arabes, la Syrie a une longue tradition de respect des différents modes de vie.


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