Québec PQ: de Newton US jusqu'à Orlando en passant par Boston

 

 

 

«QUÉBEC pleure ses valeurs, ses principes et ses victimes», pouvait-on lire sur un pancarte.

Quelle horreur!  Une autre. Nombreux sont ceux et celles qui pleurent cette tragédie survenue à Québec, hier soir, dimanche.  Un geste effroyable qui attriste et laisse la population sous le choc. 

 

S'agirait-il encore d'un faux drapeau pour semer la terreur, là, où on aurait laissé la voie ouverte à ces jeunes déboussolés comme on en a déjà vus au pays,  il n'y a pas si longtemps? Il ne faut jamais perdre de vue que certains d'entre eux pourraient faire partie d'une entité,  qui s'est donné  mission de dominer le monde ...

 

Les fausses bannières ou faux drapeaux ne sont pourtant pas des étendards, ni des symboles nationaux.  Encore moins des chiffons rouges.  Les États-Unis,  plus habitués que nous à ces attentats, savent à quel point ces drames  peuvent déstabiliser tout un peuple.

 

De Newton jusqu'à Orlando, en passant par Boston, sous l'administration précédente,  le nombre de tragédies qui ont eu lieu dans ces années-là depuis, à chaque fois, leur but était le même: entretenir un climat de peur. Eh bien, c'est cela qu'on appelle des opérations sous faux drapeaux. Et inutile de chercher les responsables; ils sont intouchables.   

 

L'Europe en est atteinte jusqu'à l'os, pour utiliser un terme bien de chez-nous.  On croyait bien que  le petit peuple québécois éviterait de passer par là, mais il semble que nous n'y échapperons pas.  Le Canada est beau et grand, mais reste incapable de protéger ses citoyens toutes religions confondues. Mais en a-t-il la volonté suffisante?  Ou est-il obligé de laisser venir ou laisser faire? Ma question est pleine de naiveté, évidemment.

 

Enfin, pourquoi avoir attaqué des musulmans en prière, cette fois-ci?  Quel est donc le message derrière ce mystère? 

 

Le but ultime de la manoeuvre: la destitution d'un président élu

 

Rien que ça. Et rien d'autre. Enfin pour l'instant.

L'Amérique est en train d'être décomposée. Depuis l'assermentation du président élu, Donald Trump, les médias officiels américains refusent obstinément d'expliquer de façon honnête et sérieuse à la population, les tenants et aboutissants des projets portés par les décrets du nouveau président élu apparemment en bonne et due forme.

Une enquête aurait légitimé dernièrement  les résultats de la dernière élection américaine par un énième comptage des votes,  qui aurait découvert un nombre excédent de 830 000 électeurs non-citoyens  américains qui aurait avantagé illégalement Hillary Clinton,  comme on le sait l'adversaire défaite de cette élection.  

Cela dit, suite à cette  défaite inattendue qui a été si foudroyante, que  les médias pro-Clinton,   aveuglés par la rage, agissent en coulisses se cachant derrière un dénigrement extrême. 

 

Pro-Clinton lui-même et incapable d'accepter la défaite de sa pouliche, le  milliardaire George Soros
l'a promis: tout mettre en œuvre pour déloger le président élu actuel de la Maison Blanche. C'est l'œuvre de cet ex-nazi anti-démocratique,  que nous constatons aujourd'hui.

Ce phénomène   a pour effet de conduire  les populations à suivre des mouvements de foules hystériques, manipulées et dirigées par des organisateurs et des mercenaires payés par  ce personnage malfaisant,  qu'on dirait un véritable troupeau de moutons pris de rage à son tour. 

Enfin, jusque là,  la suite de ce drame humain reste écrite dans un quelconque Plan que peu d'entre nous connaissons. Beaucoup voient venir le dénouement de ce plan avec une grande appréhension. Moi, la première.

 

Marion Maréchal-Le Pen, fée Clochette lâchée dans la cage aux cons…

Une Pimprenelle blonde comme les blés qui ridiculise les vestales passablement amorties d’un féminisme remontant au siècle dernier.
 

Nicolas Gauthier
Boulevard Voltaire

L’avortement, sujet douloureux entre tous. Ce n’est pas pour rien que Marine Le Pen évite de le brandir, à quelques semaines de ce qui pourrait bien être un bouleversement électoral hors du commun. Osons l’écrire : la loi Veil fut un moindre mal, puisque tentant de légiférer sur une réalité alors plus que détestable, tricoteuses et faiseuses d’anges et drames sanitaires allant avec n’étant, alors, pas que seule vue de l’esprit.

En ce sens, il n’existe pas de « droit à l’avortement », le meurtre de l’enfant à naître ayant seulement été dépénalisé. Aujourd’hui, un autre crime serait autrement plus grave : celui de « délit d’entrave à l’IVG ». « Crime » consistant juste à proposer, par Internet interposé, un « autre choix » à de jeunes mamans parfois plus précoces que la moyenne. « Pro-choice », dit-on aux USA… Mais que font ces militants associatifs, si ce n’est donner le choix – un autre choix -, parfois, consistant à ne pas forcément condamner un enfant au seul motif que ses parents se seraient livrés à des galipettes inconsidérées ?

Assez logiquement, Marion Maréchal-Le Pen s’est insurgée contre une déclaration de la socialiste Catherine Lemoine, présidente de la commission des affaires sociales : « Serait-il possible de m’éclairer quand vous expliquez qu’un enfant souffre que des parents puissent parler de lui comme d’un accident ? Que suggérez-vous ? Qu’il eût mieux fallu qu’il fût avorté ? » Comme disait Joseph Staline, « plus de témoin, plus de crime… »

La donzelle parle d’or, ce, d’autant plus que sa naissance un brin chaotique demeure encore le meilleur des arguments : « Ne vous en déplaise, et je me permets cette impudeur parce qu’elle est de notoriété publique, vous avez devant vous un accident qui se vit bien ! » Il est vrai que la fée Clochette ne fut pas tout à fait désirée, entre père de passage et mère distraite ; mais néanmoins enfant reconnue, aimée, choyée par sa mère et aussi par celui qui lui donna son nom, un certain Samuel Maréchal, alors patron des jeunes lepénistes.

Il est des actes d’amour qui valent tous les certificats de baptême et de bonne conduite. Sur la question, et ce, malgré les inévitables bisbilles l’opposant parfois à sa célèbre tante, elle aussi dotée d’un tempérament impétueux, on rappellera aussi que les jumeaux de Marine Le Pen furent conçus alors que cette dernière était en plein divorce ; eux aussi étaient peut-être des « accidents ». Mais ils sont là, et plutôt heureux de l’être.

Pour ses opposants du Parlement, le problème posé par Marion Maréchal-Le Pen est qu’elle est une fille de son époque, contrairement à d’autres rombières. Ce qui l’amène à affirmer, dans un premier temps : « Personne, aujourd’hui dans le spectre politique, ne menace la légalité de l’avortement ou son libre accès. » Pour ensuite railler, en un second, les « féministes ringardes » et autres « dinosaures politiques d’un temps soixante-huitard révolu ».

Ah, que la vie peut se montrer cruelle, parfois. Injustes sont encore les années coulant dans le sablier… Une Pimprenelle blonde comme les blés qui ridiculise les vestales passablement amorties d’un féminisme remontant au siècle dernier. C’est qu’elles étaient girondes, ces gargouilles sortant d’un tableau de Jérôme Bosch, leurs buissons sous les aisselles et les soutiens-gorge qu’elles jetaient au bûcher… Aujourd’hui rattrapées par cet actuel néo-féminisme, celui d’Eugénie Bastié ou de Gabrielle Cluzel, alors que leurs corsages le sont aussi aux lois de la pesanteur.

Encore plus mimi, la sortie de l’adorable chipie : « Vous êtes la honte du combat des femmes, obsédée par la couleur du cartable, le sexisme de la grammaire, le jouet rose des Kinder, la répartition du temps de vaisselle dans le couple ! »/em>»

Cerise sur une tarte aux poils grisonnants, ce tweet hallucinogène de Caroline Fourest : « Sans ces “féministes ringardes”, Marion M. Le Pen serait au foyer, à enseigner que les dinosaures n’ont pas existé… » Merci, chère Caroline : sans votre petite note finale, cette fête de l’esprit aurait eu comme un goût d’inachevé.

PS : l’auteur de ces lignes, lui aussi une sorte « d’accident », certes moins giron que la petite Marion, se porte au mieux. Et, accessoirement, emmerde fâcheuses et fâcheux.

La novlangue des pédophiles

Ce n'est pas parce qu'on habite à St-Creux-des-Égarés, ou à St-Ben-Loin de-Nulle-Part, ou à St-Éloignés-des Roches-Plates, qu'on ne peut pas faire d'une pierre deux coups. C'est justement ce que je vais essayer de faire en mettant en parallèle deux histoires qui se ressemblent à certains égards., mais ne se rejoindront jamais.

 

Jusqu'à tout dernièrement, je ne connaissais guère cet individu  qu'on aurait mis à l'écart pour cause de possession de matériel pornographique juvénile.  

On peut parler ici sans trop se tromper d'un pédophile professionnel. Bref, Jonathan Bettez de Trois-Rivières a dû prendre le chemin de la prison en août dernier. Aurait-il d'autres casseroles enfouies dans son placard? Pour l'instant, on n'en sait rien.

 

Cependant ce qui m'a  interpelée dans cette histoire, c'est de réaliser  que  les pédophiles utilisent entre eux un  subterfuge  afin de parvenir à leurs fins.  Dans le cas qui nous occupe,  on se rend bien compte  qu'il s'agit d'un système  de codes secrets qu'on pourrait presque qualifier de novlangue.   Or certains systèmes sont évidemment  plus ou moins élaborés  ou sophistiqués que d'autres.

Selon des documents de cour relevés d’une ordonnance de non-publication, mais toujours lourdement caviardés, les traces de plus d’une centaine de fichiers de pornographie juvénile auraient été retrouvées dans son ordinateur portable saisi dans sa chambre à coucher utilisé par Jonathan Bettez le 29 août dernier. Ces fichiers sont présentement en cours de reconstitution et d’analyse par les experts de la police.

Celui qu'avait adopté Jonathan Bettez se lit sans plus  comme suit: Les  titres étaient évocateurs de pornographie juvénile, avec des mots anglophones comme «teen» (ado), «PTHC» (pour pre-teen Hardcore, ce qui veut dire sexualité explicite avec des préadolescents), un groupe d’âge populaire auprès des pédophiles, enfin  «Lolita» ou encore «girl» (fille).  Assez ordinaire, me dira-t-on.  Et avec raison.

 

***

Le champion des codes 

John Podesta montre ici ses mains ouvertes.
Le nombre 14 et un poisson est dessiné dans sa main gauche.
Certains y voient des symboles occultes.

                                                       « Le monde de la pédophilie a son propre langage » VIDEO ci-jointe plus loin. 

Par la teneur de ses emails dévoilés la veille des élections, en novembre dernier, par Wikileaks, John Podesta, ex-directeur de la campagne électorale de Hillary Clinton, a beaucoup profité de ces codes, qu'on peut presque lui attribuer le titre de champion ainsi que celui qui a indirectement,  et sans le chercher,  mis au monde publiquement (par Internet évidemment)  le fameux scandale du PizzaGate.

 

 

Bien sûr, il s'agissait juste d'y penser. C'est donc à partir d'un restaurant de pizza situé à Washington,  qu'un immense  réseau pédophile se serait formé et développé au fil du temps et des dernière années.  

 Je n'ai pas l'intention de m'attarder davantage sur le sujet, Internet regorge suffisamment d'informations pour lesquelles il faut tout de même se garder une petite gêne. 

Sauf qu'il est bon de  savoir que les médias traditionnels ou officiels qui refusent d'en parler, vont plutôt  traiter le sujet de "rumeur". Conclusion: à chacun et chacune de faire son idée. 

Ce qui nous intéresse ici se limitera simplement à la découverte de   la novlangue adoptée dans les circonstances.    Une trouvaille pour le moins fascinante, voire même géniale! Voici donc quelques exemples du code Podesta:

 

 

 

 

Cheese Pizza = CP = Children Pornography / pornographie infantile
Domino = Domination / BDSM
Pizza = Fille
Hot-Dog = Garçon
Cheese = Petite fille
Pasta = Petit garçon

 

                     Ici monsieur Podesta utilise ce code spécifique  afin de communiquer

                        les différentes activités offertes aux membres du réseau et ami(es).

 

 

 

 

 

Les beaux ciels de tous les hivers

Photo: MétéoMédia

Plus grands que nature

 

Voilà que Victor-Lévy Beaulieu récidive à sa manière, c'est-à-dire magistralement   à présenter des personnages historiques illustres de l'histoire de notre Occident décadent. 

Mark Twain, le visionnaire, a été peut-être quelque peu oublié  dans le tintamarre du présent siècle, tant il avait compris l'essence même de l'âme anglo-saxonne et américaine (si est permis de parler d'âme dans ce cas-là). 

De l'Europe où il a vécu une dizaine d'années, Mark Twain  savait parfaitement ce qu'il adviendrait  de l'avenir de ce continent.  Comme si ce dernier avait été l'un des protagonistes visionnaires de l'Aurore rouge,  on  ne s'y tromperait pas,  tellement ce qu'il a écrit en son siècle, correspond exactement à ce que nous vivons  aujourd'hui.   Il est frappant de constater avec quelle justesse d'esprit, l'écrivain américain, Mark Twain,  a pondu  cette vision incroyable:

« Voilà un peu plus d'un siècle, nous avons donné à l'Europe les premières notions de liberté qu'elle ait jamais possédées, contribuer à provoquer la Révolution française, ce qui nous permet de revendiquer en partie ses résultats bénéfiques. Nous avons depuis lors donné plus d'une leçon à l'Europe. On peut penser que, sans nous,  jamais l'Europe n'aurait l'interviewer; jamais certains États européens n'auraient goûté aux bienfaits des impôts exorbitants; jamais le Trust alimentaire n'aurait appris à maîtriser l'art d'empoisonner le monde pour gagner ses gros sous; jamais les compagnies d'assurances européennes n'auraient découvert la meilleure façon de profiter du labeur de la veuve et de l'orphelin; la résurrection trop longtemps différée du journalisme européen de bas étage aurait risqué d'être remise aux calendes grecques. De façon régulière, continue, persistante, nous américanisons l'Europe et, en temps voulu, nous mènerons à bien cette tâche.»  p. 121

Cependant, n'a-t-il pas tenté de s'amender pour cette humiliante "diatribe"  à l'endroit de ses interlocuteurs européens en écrivant toutefois,  que si c'était à eux, les Américains, qu'il incombait  d'éduquer  l'Europe à ce moment-là,  et tant qu'à faire pourquoi pas le monde occidental en entier, c'était en remerciements de ces leçons et de bien d'autres qu'ils avaient reçues d'elle. 

 

Cela dit, c'est parce que c'est VLB qui en est l'auteur, que j'ai décidé de lire cette biographie d'un écrivain qui n'a pas manqué de marquer son siècle.  Et le nôtre ... cela va de soi.

 

Pourquoi écrire sur Mark Twain, s'est demandé VLB? D'abord parce qu'il en a fait la promesse à  son ami et poète Roger Des Roches, mais aussi parce que c'est en lisant Mark Twain alors qu'il était un tout jeune journaliste, qu'il a trouvé sa voie comme écrivain, chroniqueur et pamphlétaire.

 

Et quoi encore? Parce que l'Autobiographie de Mark Twain, rien de moins que 5000 pages, qui fut publiée selon sa volonté qu'en 2010, soit cent ans après sa mort, constitue un chef-d'oeuvre de toutes les littératures ...

 

C'est aussi parce que son ami dramaturge et historien Jean-Claude Germain lui a fait connaître la grande influence que Mark Twain a eue sur la littérature québécoise, ce dont il rend magnifiquement compte dans la préface qu'il signe en guise d'ouverture d'À douze pieds de Mark Twain.  

 

Enfin, tout simplement parce que VLB aime Mark Twain.

 

Et quant à moi, c'est encore une fois avec le plus grand des plaisirs que je lis VLB, notre plus grand écrivain national qui sait toujours nous faire  connaître  brillamment des auteurs, entre autres l'Irlandais, James Joyce,  l'Allemand, Friederich Nietzche, et là,  bien sûr, l'Américain Mark Twain.

Enfin, ce que j'aime chez VLB, c'est ce talent rare qu'il a de fondre des pans de sa propre vie dans celles d'auteurs plus grands que nature. Selon moi, cela ne fait que le grandir encore davantage à son tour.

 

Merci à celle qui m'a offert ce si précieux cadeau,  à l'occasion de Noël 2016.  

Le bonheur... !  

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Europe, dis-moi ton nom

«S’il n’y avait pas Internet et les médias alternatifs, nous ne saurions absolument rien de ce qui se passe et nous continuerions à vaquer à nos occupations, sans soupçonner ce qui se trame derrière notre dos : tout simplement notre propre disparition.» 
 

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Autre bonheur: Le violon, compagnon d'infortune

Dans la culture qui a vu grandir Marc Chagall, le violoniste est aussi connu sous le nom de « klezmer », terme yiddish signifiant « instrument de chanson ». Itinérants aux conditions de vie souvent précaires, les musiciens klezmers ont participé aux mouvements migratoires des Juifs d’Europe. Leur violon sous le bras — fragile bagage facile à emporter —, ils s’en servaient comme passeur et témoin, modulation et glissando aidant. « Chez les musiciens itinérants qui jouaient pour les cérémonies hassidiques, cet instrument expressif, tantôt rieur tantôt plaintif, occupait la place centrale, plus que la clarinette ou la grosse caisse… Il permettait une ascension sociale et des débouchés professionnels pour échapper au shtetl [quartier juif]. Attribut de l’exil, le violon, facilement transportable, accompagnait le peuple juif dans ses errances », rappelle Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef du MBAM. » À compter du 28 janvier.

Source: Le Devoir 

Magnifiques colonnes lumineuses aperçues dans le ciel

Science et techno

Le photographe Timothy Joseph Elzinga s’est récemment fait réveiller à 1h30 du matin par son fils de 2 ans, Gibson, lorsque ce dernier a aperçu de magnifiques lumières colorées dansant dans le ciel en Ontario, au Canada. Timothy a rapidement attrapé son appareil photo et a pris de magnifiques photos d’un phénomène naturel appelé « colonne lumineuse ».

« Je croyais que c’était une aurore boréale puisque j’habite au Canada », a affirmé Elzinga. « Il faisait très clair dehors cette nuit-là. Les lumières traversaient le ciel sur plusieurs dizaines de mètres, et elles scintillaient et bougeaient. »

Une colonne lumineuse consiste en une traînée de lumière blanche qui peut être observée à la verticale au-dessus et au-dessous du Soleil ou de la Lune. L’apparition de ce phénomène est causée par la réflexion vers l’observateur de la lumière par des cristaux de glace ayant des faces alignées horizontalement dans l’atmosphère.

Source : BoredPanda

  

Ontario, Canada

Russie



Alaska



Norvège



Russie



Finlande



Finlande



Russie



Jaksonville, Wyoming

 

Finlande
 



Charlotte, Michigan

Via source: Stopmensonges.com 

Estas Tonne: Incroyable performance avec une guitare à dix cordes

Cette guitare a été conçue spécialement pour lui

Source: Stopmensonges.com

La France va-t-elle devenir la fille aînée de l'islam?

Réveillée,  alors que la nuit n'avait pas encore terminé son long périple dans l'obscurité totale, je me suis mise à lire les dernières pages du dernier chapitre de mon livre.

« Il fut un temps où le monde prit le large à partir de Paris, la ville de sapience. On copiait la France et ses beautés. C'était au siècle de Saint Louis.

L'art ogival qui donne naissance à ce qu'on appelle encore aujourd'hui, "l'ouvrage français", fit ainsi le tour de l'Europe, depuis la cathédrale de Cologne, copie insolente d'Amiens*, jusqu'à celle de Tolède dont la nef est une réplique de Bourges », p. 296

Si je cite ce passage du bouquin de Philippe de Villiers, c'est parce que je regrette de ne pas avoir visité plus de cathédrales, en France, que j'aurais dû. On avait plutôt concentré notre temps à visiter les cimetières ... Encore beau qu'on n'aie pas visité les catacombes de Paris! Pourtant, on (nos amies françaises d'Amiens et de Bretagne) nous avaient tellement recommandé la visite de la cathédrale Saint Denis, que je m'en veux depuis d'avoir éclipsé ce monument historique et cette œuvre d'art éternelle  de notre agenda de voyage en France, il y a huit ans.  Force est de constater aujourd'hui,  qu'à cause des divers mouvements migratoires durant les années précédentes, les choses ont changé depuis, à Saint-Denis.

Enfin, une bizarrerie de notre part que m'a soulevée ma sœur Lolo, qui, elle, n'y voyait là qu'un mortel ennui et, bien sûr, une mortelle perte de temps, alors qu'il y avait tant de choses plus intéressantes et agréables  à voir, comme des casinos, les Champs-Élysées, Le Bal du Moulin Rouge, l'Arc de Triomphe, etc.

Chacun ses goûts, surtout lorsque le temps nous est compté.

Voilà le pape qui s'en mêle

Mais mettons le tourisme de côté pour revenir à la réalité. Or dans cette réalité du temps présent, la France souffre. Elle a mal à son histoire, à son passé, à son présent, mais surtout à son identité. Ce n'est pas pour rien que dans les grandes épreuves, elle retourne à son enfance. C'est alors que les cloches se mettent à sonner pour le pays tout entier.

« Le glas a sonné pour les policiers de Magnanville, il avait sonné le 16 novembre pour les victimes du Bataclan et même pour Charlie Hebdo qui préfère pourtant la satire au bedeau. » p. 294

Aucune famille n'aurait protesté (à date) contre les volées de cloches.

Parlant de cloches, le pape François s’en est pris le mois dernier à la « désinformation » et aurait comparé la presse à scandales à la coprophilie, ses lecteurs étant assimilés à des mangeurs d’excréments.

« La désinformation est probablement le plus grand mal qu’un média puisse infliger, parce qu’elle oriente l’opinion dans une seule direction, en omettant une partie de la vérité », a alors déclaré le pape.

Si le pape le dit ...

La preuve

Enfin, un dernier mot concernant une saga qui mènera le monde on ne sait trop où ... J'ai peine à croire que cela, c'est-à-dire l'affaire de l'influence russe,  dont les preuves sont toujours manquantes, dans le déroulement des dernières élections américaines, va se terminer par le déclenchement pur et dur de la Troisième Guerre Mondiale. Si c'est pour effacer l'ardoise de la corruption et des crimes perpétrés par ceux qui gouvernent le monde, eh bien, on aura la preuve que ces derniers ne font pas partie de notre humanité.

Ainsi parlait Zarathoustra.

Bonne Année 2017!