La novlangue des pédophiles

Ce n'est pas parce qu'on habite à St-Creux-des-Égarés, ou à St-Ben-Loin de-Nulle-Part, ou à St-Éloignés-des Roches-Plates, qu'on ne peut pas faire d'une pierre deux coups. C'est justement ce que je vais essayer de faire en mettant en parallèle deux histoires qui se ressemblent à certains égards., mais ne se rejoindront jamais.

 

Jusqu'à tout dernièrement, je ne connaissais guère cet individu  qu'on aurait mis à l'écart pour cause de possession de matériel pornographique juvénile.  

On peut parler ici sans trop se tromper d'un pédophile professionnel. Bref, Jonathan Bettez de Trois-Rivières a dû prendre le chemin de la prison en août dernier. Aurait-il d'autres casseroles enfouies dans son placard? Pour l'instant, on n'en sait rien.

 

Cependant ce qui m'a  interpelée dans cette histoire, c'est de réaliser  que  les pédophiles utilisent entre eux un  subterfuge  afin de parvenir à leurs fins.  Dans le cas qui nous occupe,  on se rend bien compte  qu'il s'agit d'un système  de codes secrets qu'on pourrait presque qualifier de novlangue.   Or certains systèmes sont évidemment  plus ou moins élaborés  ou sophistiqués que d'autres.

Selon des documents de cour relevés d’une ordonnance de non-publication, mais toujours lourdement caviardés, les traces de plus d’une centaine de fichiers de pornographie juvénile auraient été retrouvées dans son ordinateur portable saisi dans sa chambre à coucher utilisé par Jonathan Bettez le 29 août dernier. Ces fichiers sont présentement en cours de reconstitution et d’analyse par les experts de la police.

Celui qu'avait adopté Jonathan Bettez se lit sans plus  comme suit: Les  titres étaient évocateurs de pornographie juvénile, avec des mots anglophones comme «teen» (ado), «PTHC» (pour pre-teen Hardcore, ce qui veut dire sexualité explicite avec des préadolescents), un groupe d’âge populaire auprès des pédophiles, enfin  «Lolita» ou encore «girl» (fille).  Assez ordinaire, me dira-t-on.  Et avec raison.

 

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Le champion des codes 

John Podesta montre ici ses mains ouvertes.
Le nombre 14 et un poisson est dessiné dans sa main gauche.
Certains y voient des symboles occultes.

                                                       « Le monde de la pédophilie a son propre langage » VIDEO ci-jointe plus loin. 

Par la teneur de ses emails dévoilés la veille des élections, en novembre dernier, par Wikileaks, John Podesta, ex-directeur de la campagne électorale de Hillary Clinton, a beaucoup profité de ces codes, qu'on peut presque lui attribuer le titre de champion ainsi que celui qui a indirectement,  et sans le chercher,  mis au monde publiquement (par Internet évidemment)  le fameux scandale du PizzaGate.

 

 

Bien sûr, il s'agissait juste d'y penser. C'est donc à partir d'un restaurant de pizza situé à Washington,  qu'un immense  réseau pédophile se serait formé et développé au fil du temps et des dernière années.  

 Je n'ai pas l'intention de m'attarder davantage sur le sujet, Internet regorge suffisamment d'informations pour lesquelles il faut tout de même se garder une petite gêne. 

Sauf qu'il est bon de  savoir que les médias traditionnels ou officiels qui refusent d'en parler, vont plutôt  traiter le sujet de "rumeur". Conclusion: à chacun et chacune de faire son idée. 

Ce qui nous intéresse ici se limitera simplement à la découverte de   la novlangue adoptée dans les circonstances.    Une trouvaille pour le moins fascinante, voire même géniale! Voici donc quelques exemples du code Podesta:

 

 

 

 

Cheese Pizza = CP = Children Pornography / pornographie infantile
Domino = Domination / BDSM
Pizza = Fille
Hot-Dog = Garçon
Cheese = Petite fille
Pasta = Petit garçon

 

                     Ici monsieur Podesta utilise ce code spécifique  afin de communiquer

                        les différentes activités offertes aux membres du réseau et ami(es).