La Formule de Dieu: L'abeille et l'araignée

Anyway!
Nous sommes tous des univers.

J'abeille à cette vérité. Joli, hein, ce nouveau verbe que je viens tout juste de créer grâce à mes neurones. Naturellement.  Un nouveau verbe à verbaliser avec précaution. Car les guêpes et les scorpions diaboliques de ce monde ne sont jamais loin. Leurs dards venimeux sont toujours sur le qui-vive mourra. 

D'ex-chroniqueuse à critiqueuse en devenir, je m'applique infiniment à tisser des toiles de maîtres avec de la soie d'araignée que je colle méticuleusement avec de la cire d'abeille.  Biologique.

Voilà où l'on en est dans ce micro-univers qu'est la littérature, aussi glamour, soit-elle. J'ai beaucoup aimé parce que j'ai beaucoup appris. D'abord que l'intelligence est un outil utile qu'il faut manier avec humilité.  L'échelle des grandeurs va de format P à format 3 X et +.  Dans mon cas à moi, c'est la mémoire qui performe le mieux. Mais exactement dans le sens contraire de la même échelle. Tout un défi d'avoir frôlé le danger (de me perdre à tout instant) ...  jusqu'à la page 575.

Cela dit, je ferme avec regret un grand roman scientifique et historique que j'ai mis un mois à lire.  Un sujet  qui  effraie par sa complexité. Qui dérange par ses repères avec la réalité dans laquelle nous baignons actuellement.   L'univers, c'est comme notre économie. Comment croît une économie et pourquoi elle s'effondre]. Si quelque chose ne peut pas durer éternellement, elle ne durera pas. 

Mais qui rassure aussi, car toutes les données sont vraies et toutes les théories sont reconnues par des physiciens et des mathématiciens émérites qui s'entendent pour le commencement (le Big Bang), mais pas sur la fin  (le Big Freeze ou le Big Crunch). 

L'univers, c'est comme l'économie mondiale actuelle. Comment cela croît et pourquoi cela s'effondre. En plus clair,  si quelque chose ne peut pas durer éternellement, elle ne durera pas.   De fait, s'il y a eu un commencement à l'univers,  il y aura inexorablement une fin. Et que le même processus se reproduira de façon cyclique. 

Mais qui a bien pu allumer la mèche pour la 1ère fois?  Est-ce toujours les mêmes doigts de la même main? De la même entité? Oups! De la même intelligence? Avec toujours la même intention? Et cela à l'infini? Y compris pour l'éternité? 

Finira-t-on par savoir?  

***

  « Lady Gaga prend des bains de sang ».

Lady Gaga a donné des frissons au personnel d'un hôtel londonien, qui a découvert des traces bizarres dans sa chambre après le passage de la star.   

Ma théorie du complot: Des menstruations abondantes peuvent affecter la santé physique ainsi que la santé physique que la santé mentale d'une femme. 

Source:    Lady Gaga

Merci Lolo

La Formule de Dieu: Le Dieu de nos neurones

 

L'univers est le hardware
par lequel passe 
le programme de Dieu.  

***

 "Sommes-nous pour l'univers ce que nos neurones sont pour nous? "

Cette vaste enquête qu'on dit "à couper le souffle" m'aura-t-elle permis en dépit de mes anémiques connaissances en mathématique avancée et en science physique de me montrer à la hauteur de la situation?  

Une chance que l'intérêt m'a tenu en haleine. N'empêche qu'on est éblouis devant la  superbe intelligence des savants qui cherchent à comprendre pourquoi  il est nécessaire d'enfermer Dieu dans une formule. Si obscure, soit-elle. 

 "Sommes-nous le Dieu de nos cellules et nous les cellules de Dieu ...?"

C'est en lisant des histoires aussi percutantes que celle-là qu'on réalise à quel point, il tombe sous le sens de donner son corps à la science.  Puisque nous sommes des "ordinateurs très sophistiqués", c'est  comme de donner son vieil ordinateur (enfin la partie considérée comme le hardware) à des organismes ou entreprises de recyclage.  Cela fait partie de la logique des choses.

Mais, entre-temps, faire en sorte de ne jamais gaspiller ses neurones en s'inventant des chimères. Comme de perdre son temps à chercher un sens à ... mes paroles.

***


Tout ça c'est bien beau,  mais pour en revenir à notre microscopique univers existentiel, dans mes vies antérieures, j'ai déjà été chroniqueuse. Là, je ne le suis plus depuis longtemps.  

En revanche,  je ne le suis pas encore, mais je me sens pousser des ailes de ... critiqueuse. C'est pas ça qu'on est, quand on critique des livres ...?  Par exemple.

Critiquer pour critiquer, c'est pas comme de s'opposer pour s'opposer?  

Je pense aux Oppositions officielles dans les Assemblées nationales.  

***

Pas fâchée de voir que le froid venu soudainement de la stratosphère qui se réchauffe (cherchez l'erreur ...!), est en train de relâcher son étreinte. 

À suivre

La Formule de Dieu: La Création, selon les calculs d'Einstein

Einstein a décidé de partir du principe
des six jours de la Création 
décrits dans la Bible ...


Captivant!

Ah! Le brillant boudhiste expliquait tellement bien la Création révélée dans la Bible, mais suivant les calculs savants qu'en avait faits Einstein au moment où ils travaillaient ensemble à Princeton, que c'est comme si j'étais assise avec eux, Tenzig, Tomàs et Ariana, sur la pelouse du monastère!

Hallucinant!

Commençons par la question que s'est posée Einstein: combien de temps, à l'échelle temporelle de l'univers, correspond à un jour sur terre? 

Maintenant, allons-y! 

Le premier jour biblique dura 8000 millions d'années. 

Le deuxième jour dura 4000 millions d'années. 

Le troisième jour dura 2000 millions d'années, le quatrième dura 1000 millions d'années, le cinquième dura 500 millions d'années et le sixième dura 250 millions d'années. 

Bref, la Création dura 15 000 millions d'années.
En fait, ce serait l'âge de l'Univers. 

Là-dessus, les scientifiques toutes disciplines confondues s'entendent sur ce laps de temps.

Et la Bible est formelle.  

Au sixième jour, Dieu a dit: « Faisons l'homme à notre image ... !»

Hélas! ce n'est certes pas pour sa plus grande gloire qu'Il a mis 250 millions d'années à créer un être humain, de sexe mâle,  aussi imparfait soit-il (enfin celui que nous connaissons) depuis la nuit des temps. En plus, qu'Il ait failli d'oublier de lui fabriquer une conjointe par manque de temps. Impardonnable!

***

C'est pas parce que j'ai envie de dormir plutôt que faire de l’insomnie et, au lieu d’avoir un manque d’appétit, ai le goût de manger beaucoup de sucré, faudrait pas qu'on pense que  je fais une déprime hivernale genre blues de l'hiver.  

À suivre

La Formule de Dieu: La théorie du chaos, selon le monarque

Mille ans sont comme
un jour qui passe

Autant que je sache,  le froid tenace qui nous varlope le cerveau direction depuis quelques jours, sera présent presque jusqu'à la mi-février.  On dit qu'il est causé par un  réchauffement stratosphérique soudain qui reviendrait nous visiter de façon cyclique. Toutes les théories sont sur la table ... des multiplications. 

Cela dit, dans mon histoire,  tous les scientifiques, qu'ils soient portugais, iraniens, juifs ou tibétains, sont tous penchés sur une autre question jusqu'en avoir mal aux reins.   Mine de rien, ils s'entendent comme des larrons en foire pour dire que la théorie du chaos la plus assumée dans le milieu (scientifique), est celle du papillon.

« Le battement d'ailes d'un papillon, mettons, dans ma cour arrière, influence l'état du temps à l'autre bout de la planète. »

Je veux bien y adhérer, même si c'est beaucoup me demander. Le papillon étant le seul monarque libre de ses faits et gestes,  il a bien le droit d'être ailleurs, si le coeur lui en dit. Quitte à nous propulser avec le battement de ses ailes dans une nouvelle ère de glace. 

Quoique bien plus terre-à-terre, au Tibet, les mets chinois sont très prisés par les Occidentaux. Faut le faire, ils s'accordent pour dire que l'invasion chinoise est une bénédiction, avec ses innombrables restaurants du Sichouan, tellement la cuisine tibétaine est infecte.  Je ne peux pas les contredire pour la cuisine tibétaine;  j'appuie depuis trop longtemps leur cause. Politiquement parlant. Mais j'ai toujours eu un faible pour les mets chinois. Moi aussi. 

***

Partout aux alentours, toutes nos fenêtres sont couvertes de frimas et de givre.
J'ai pris deux photos. En voici une.

Arabesques et Florilèges

À suivre

La Formule de Dieu: Les jésuites, ça mangent quoi en hiver?

Quand les atomes

 chantent à l'unisson, 

dites-moi au rythme 

de quelle céleste symphonie

 danse dans son beau Cosmos Dôme

                            la déesse Shiva



***

Par quelle chance ai-je pu me rendre aujourd'hui à la bibliothèque en voiture, la laisser dans le stationnement, puis de marcher environ une trentaine de minutes aux alentours, avant d'y entrer et de me mettre à lire. 

Depuis quelque temps on s'intéresse tellement aux jésuites, Lolo et moi, qu'on en mange et on en rêve la nuit.  Les jésuites par ci, les jésuites par là. On finira par en faire des ulcères là où l'on n'en pas besoin, si cela continue. 

C'est bien pour dire. Je ne m'attendais pas à ça une seconde, quand à la page 388 la jésuiterie, c'est comme le hasard. Ça vous tombe dessus comme un cheveu dans la soupe. 

        

         Après plusieurs aventures, Tomàs se trouvait  à Shigastse, au Tibet, avec Ariane.

Ils espéraient rencontrer puis s'entretenir avec le Tibétain, Tenzing Thubten qui semblait connaître de longue date le professeur Augusto Siza, ex-assistant du grand Albert Einstein, à l'université de Princeton, dans les années 1950. Mais étrangement, depuis quelques semaines,  Augusto Siza avait disparu dans d'obscures circonstances.  

- C'est un plaisir de vous rencontrer. 

Tenzing s'adressa à Tomàs.

- Vous êtes de Lisbonne?

- Oui. 

- Vous êtes portugais? 

- Tout à fait. 

-  Hum, murmura-t-il. Les Portugais furent les premiers Occidentaux à atteindre le coeur du Tibet. 

- Pardon? s'étonna Tomàs. 

- Ce furent deux prêtres jésuites, dit Tenzing. Ils se déguisèrent en pèlerins hindous, traversèrent l'Inde et arrivèrent à Tasparang, et ils bâtirent une église et établirent le premier contact entre l'Occident et le Tibet.

- À quelle époque? 

- En 1624.

Puis en  entendant prononcer le nom d'Augusto Siza, Tenzing Thubten s'exclama:

- Le jésuite!   Augusto n'aimait pas ça. Je l'appelais "le jésuite" en hommage à ces ancêtres qui voilà quatre siècles sont venus ici. C'était une plaisanterie, liée au travail que nous menions en commun.

Ils se déguisèrent en pèlerins hindous ...

À titre d'information,

jésuite, nom masculin

Sens 1 Membre de la Compagnie de Jésus  Sens 2 Personne hypocrite

À suivre.

La Formule de Dieu: Des ordinateurs, nous?

Mathématicien, athée et père de notre héros, Manuel Noronha est atteint d'un cancer dont il ne pourra guère échapper. Il réfléchit et s'adresse à son fils en lui parlant de son avenir ... À moyen terme.

Apparemment, selon lui, nous serions des ordinateurs très sophistiqués.  Notre conscience et nos émotions, enfin tout ce que nous sentons serait le résultat de notre structure. 

Et quand nous mourons, les puces de notre mémoire et de notre intelligence disparaissent et nous nous éteignons.

 Et l'âme dans tout ça? 

« L'âme, mon cher fils, n'est qu'une invention, une merveilleuse illusion créée par notre ardent désir d'échapper à la mort.»

Je ne voyais pas ça du tout de même, moi.  Jusque là, bien naïvement sans doute, je croyais dur comme fer que l'âme, peu importe de quel matériau elle a été fabriquée, restait la seule chose vivante  de nous. 

Et cela pour l'éternité.

L'âme, un illusion? Un invention?

Et l'Énergie qui nous anime, qu'en faites-vous, M. Noronha? 

Merde!  


***

C'était le gailonla  en France

Ce dernier week-end certains Français fouettés, entre autres,  par leurs princes de l'Église s'étaient endimanchés pour manifester leur opposition au « mariage pour tous». Une façon hypocrite d'y fourrer là dedans le mariage gai, auquel ils sont hyper-allergiques. 

Bref, pour faire une histoire courte, on peut résumer la logique de cette manifestation à ceci:  « pour récuser l’idée du mariage homosexuel, l’Église invoque en effet une “anthropologie” que son “expertise en humanité” lui donne titre à adresser à tous les hommes, et non à ses seuls fidèles […] l’Église défend en réalité un modèle de la famille qu’elle a elle-même produit (mariage triste ...?!) […] en combattant le modèle romain de la famille ». Pour mieux le remplacer par un modèle « assignant l’union à la procréation et préservant le principe de la soumission de la femme à l’homme ». 

En clair cela signifierait que l'Église, dans cette affaire, outrepasserait son expertise. Elle  aurait donc intérêt à se mêler de ses affaires.   On a le droit d'être contre le mariage tout court (gai ou triste), mais pas pour les raisons qu'impose l'Église à ses fidèles. 

La Formule de Dieu : un cadeau du Ciel*

 La croyance en Dieu modifierait une partie de notre cerveau

Des neurologues de l'université de Toronto ont découvert que l'activité du cerveau humain était liée aux croyances religieuses des individus.

Pour démontrer cela, les scientifiques ont fait passer des tests à différentes personnes divisées en deux catégories : les croyants et les athées. Toutes ont été placées dans des scanners afin de mesurer l'activité de leur cerveau durant les tests. L'épreuve consistait en une série de questions dont il fallait anticiper la réponse. Les candidats prenaient ensuite connaissance de cette dernière.

Les chercheurs ont remarqué que chez les athées, une zone du cerveau appelée cortex cingulaire antérieur était beaucoup plus fortement stimulée que chez les croyants. Le cortex cingulaire antérieur régule des fonctions comme la pression artérielle, le rythme cardiaque et certaines fonctions cognitives comme les émotions, la prise de décision, l'empathie mais surtout elle est la zone qui nous permet d'anticiper l'avenir.

Selon les conclusions des auteurs de l'étude, parues dans la revue Psychological Science, quand un croyant s'attendant à avoir la bonne réponse se rend compte du contraire, cette aire du cerveau s'active beaucoup moins car il réagit plus faiblement à l'imprévu que le cerveau d'une personne athée. En effet, chez les croyants, tout évènement peut être reconsidéré de manière à rendre Dieu acteur de celui-ci. S'il vous arrive quelque chose de totalement inattendu et que vous croyez en Dieu, le scénario peut-être remanié car Dieu « a voulu que cela arrive ». Il n'y a alors pas de question à se poser, d'où une activation moindre de cette région du cortex. 

Source: Sott.net

***

Si j'ai pris la peine de copier/coller cette information, c'est qu'elle apporte de l'eau au moulin  de ma  lecture de « La Formule de Dieu ».  Selon Manuel Noronha, mathématicien, athée,  et père de notre héros, on ne connaît aucune preuve de l'existence de Dieu. Par contre, sachant ce que l'on sait de l'univers, on peut aussi ne pas avoir la certitude qu'Il n'existe pas.  Alors donc, Dieu pourrait n'être qu'une création humaine qui nous rassure et comble les lacunes de notre connaissance. 

Qu'on puisse mieux comprendre la dynamique de notre cerveau est un pas de plus dans la connaissance de nous-mêmes face à Dieu.  Le cortex, lui, ne badine pas avec la désinformation.  À moins que Dieu ait voulu que cela arrive ...

À suivre

* P.S. J'ai reçu ce bouquin en cadeau  pour Noël. 

Le boson de Higgs

Joyce: un méchant malade ...


Pas surprenant que VLB ait pris un coup de vieux sur la fin de sa longue odyssée à travers les âges de la verte Irlande. 

Mal lui en prit. 

C'est que son Joycestick est toujours là pour lui rappeler l'éternelle adolescence de tous les superhéros de l'histoire contemporaine. En particulier, les J.J. déguisés en Mario Bros. ...

Et ce péché contre la chair, un si court plaisir solitaire, dont les jésuites prétendaient que l'abus (pour les autres, mais jamais pour eux-mêmes, évidemment ...) rendait  sourd, aveugle et muet.

De fait, Joyce s'est donc toujours comporté en petit garçon, en état total de dépendance, d'où sa prédilection (ou fascination, c'est selon) pour les excréments, et pour tout ce qui pouvait entrer et sortir d'un trou du cul. 

Un méchant malade ...? 

D'où, comme Swift et Carroll, le désir qu'il éprouvait pour les fillettes et plus particulièrement pour sa propre fille.  Pour Joyce, le péché originel ne fut pas celui d'avoir voulu attenter à la connaissance, mais d'avoir cédé à celui de l'inceste. 

L'humanité (faite de nature humaine pure laine et tricotée serrée) serait-elle donc le fait d'un primal inceste, ayant tous, que nous sommes,  vu le jour par unions consanguines?  Sainte Thrombose! «À choisir entre deux maux, autant choisir celui que je n'ai pas encore essayé.», aurait dit encore aujourd'hui,  la très grande Mae West.  Ne cherchons pas d'où vient la pédophilie. C'est peine perdue.


Enfin, toujours selon James Joyce, un autre misogyne, en tout cas dans son oeuvre, les femmes sont toutes un brin idiotes (poules sans tête rien que bonnes à couver leurs oeufs qui ne sont jamais ceux de la connaissance). Hystériques, dépendantes de leurs émotions, elles ne sont là que parce que l'homme a besoin de leurs matrices pour proliférer.  


Bref, tout ça pour dire que je ne crois pas que je vais lire l'Ulysse de James Joyce tout de suite après avoir lu la brique verte de notre auteur national.  Sans le savoir,  VLB s'est chargé de me faire comprendre qu'il est superflu d'en lire davantage sur le célèbre écrivain  irlandais. Je rebrousse donc chemin. Faisant.  Pour l'instant. 

Passerai alors à autre chose.

***

Si mystérieux est le boson de Higgs, qu'il en a fallu deux pour mettre du bonheur dans la tête des CERNistes.   La mécanique quantique n'a pas besoin de Dieu pour mesurer ce qui est sans mesure.


À suivre

***

Puis  le monde étant ce qu'il est ... 

«Je vais vous dire quelque chose de très clair; ne vous inquiétez pas de la pression américaine sur Israël, nous, le peuple juif, contrôlons l'Amérique, et les Américains le savent.»

- Ariel Sharon

Depuis 64 ans,  avec le support des grandes puissances,  Israël s'est  fait un cadeau empoisonné:   le colonialisme

En effet, durant 64 ans, Israël avait intérêt à la guerre et espérait à chaque fois grignoter un peu de territoire. Désormais, Tel-Aviv doit éviter d'entrer en conflit à tout prix, car il n'y survivrait pas. Parce que là comme ailleurs, les choses changent ...

Comment allons-nous survivre au carnage de Newtown, si on oublie Gaza?  Gaz à. Rien. 

On verra bien ce que l'année 2013 nous réserve.   

Bienvenue dans le monde du miroir.  

Et vice versa.