Livres: Les nuits de Fred Vargas

 

La romancière parcourt la route à idées qui a fait naître «Quand sort la recluse»


29 juin 2017 | Danielle Laurin - Collaboratrice à Paris | Livres
 
 
 
 
Une histoire de vengeance meurtrière. On pourrait résumer ainsi le nouveau roman déjà best-seller de celle qu’on se plaît à appeler « la reine du polar français », traduite dans une quarantaine de langues. Mais ce serait réducteur. Et pour cause.
 
« Je me fous de l’histoire », balance Fred Vargas après avoir commandé un Coca-Cola zéro glace. « Ce qui m’intéresse, c’est de trouver une histoire, n’importe laquelle, qui me permette de manipuler les mots, la langue, le verbe », avance-t-elle.
 
Avec Quand sort la recluse, cette médiéviste âgée de tout juste 60 ans, qui exerçait jusqu’à il y a une quinzaine d’années la profession d’archéologue-zoologue, nous offre un autre de ses polars atypiques, insolites, décalés, à saveur poétique et onirique, classifiés métaphysiques. Tout à fait à l’image de son commissaire vedette Adamsberg, pelleteur de nuages qui voit dans les brumes, qui fonctionne par associations d’images, de mots.
 
Ce qui n’empêche pas ce directeur de la Brigade criminelle de Paris, dans le 13e arrondissement, de résoudre avec brio ses enquêtes. Même quand il semble s’égarer, se perdre en fausses pistes, son intuition finit par lui donner raison.
 
Le voici qui doit éclaircir la mort de trois vieillards, victimes semble-t-il d’une morsure d’araignée. Cette araignée, dite la recluse, « se cache au fond d’un trou, elle a peur. D’où son nom. Elle se cloître ».
 
De l’araignée cloîtrée aux femmes cloîtrées du Moyen Âge, dites les recluses, il n’y a qu’un pas que franchira allègrement Adamsberg. Ce qui le conduira à devoir éclaircir des histoires de viol. Mais jamais il ne perdra vraiment le fil, finalement.
 
On serait tenté de dire la même chose de Fred Vargas. N’essayez pas de l’interrompre avant qu’elle ait terminé de dérouler son idée, qui elle-même se déroule en plusieurs parcelles d’idées complémentaires. Ça peut prendre un certain temps, en tenant compte du fait que toutes sortes de considérations hors propos peuvent se glisser.
 
« Je bavarde, je bavarde, je bavarde », s’excuse-t-elle. La pollution à Paris, les stationnements intérieurs avec piliers de béton qui rendent la conduite difficile, les parents irresponsables qui laissent leur tout petit enfant traverser seul la rue pendant qu’ils sirotent tranquillement leur apéro à la terrasse du café parisien où elle m’a donné rendez-vous… Elle multiplie les digressions, mais finit chaque fois par reprendre le fil de son idée.
 
« Dans le livre aussi je bavarde, vous avez remarqué ? laisse-t-elle tomber. Je m’amuse à faire des parenthèses. Un petit tour par-ci, un petit tour par-là… mais on revient sur l’allée. »

Désespérance: Cet homme « qui ne lit pas, pas même les mémos de ses collaborateurs avant de prendre une décision»

Historiquement anormal

Oui, en effet, cette situation est historiquement anormale pour l'Amérique comme pour la Planète.  La cour arrière est pleine et déborde des défauts, des quolibets et des insultes qu'une Planète entière trouve à dire sur le Président américain,  élu en bonne et due forme, depuis novembre dernier.  Est-il si vrai que ça que cet homme qu'on dit bourru, vulgaire et arrogant  ne soit pas intelligent au point de ne pas lire, pas même les mémos de ses collaborateurs?  Racontars? Ou faits réels? On y reviendra plus loin.
 
C'est que la stratégie planifiée de longue date  fonctionne à plein régime grâce à la haine anti-Trump que répand le superpuissant État profond (CIA), invisible pour des milliards d'aveugles. Or, ou soit cet État continue d'imposer sa volonté de gagner son pari en réalisant  son monstrueux rêve, appelé gouvernement mondial, ou soit frappe encore et toujours en désespoir de cause devant l'échec annoncé de son plan satanique.
 
Après tous ces mois de désespérance devant ces gens pris de folie furieuse,  qui refusent de façon historiquement anormale l'élection de ce président, et visent, cette fois de façon hystériquement anomale,  ou sa destitution, ou son impeachment, voire jusqu'à son assassinat, s'il le faut, il ne manquait plus que  cette adaptation de la pièce de Shakespeare au goût du jour de la gauche américaine qui est un véritable appel au  meurtre d'un Président en poste,  et qui se joue chaque soir  à Central Parks, à New York.   Ô, miracle, on apprend dernièrement que des Patriotes se sont pointés certains soirs afin de manifester contre cette abomination.



Et bien sûr, autre abomination, cette humoriste, Kathy Griffin, mais pas drôle du tout si vous voulez mon avis, qui s'est affichée publiquement,  en tenant la tête (en cire) ressemblant sans s'y méprendre à un certain Donald Trump. Bref, assez sinistre pour que cela n'ait pas fait rire beaucoup de monde.  En commençant par l'humoriste elle-même qui essuie ses larmes depuis ce triste événement. 

Comme de raison, « Les mots sont impuissants à décrire la réalité d’une situation qui devrait révolter. Mais pour cela, il faudrait tout d’abord que cette réalité soit connue. »  William Goldnadel, avocat, s'est insurgé, lui,  contre cette impunité .   

« Être exposé chaque matin aux tweets de Donald Trump »

Photo: Fabien Deglise Le DevoirRussell Banks: «Il est difficile de justifier la fermeture des portes pour ne plus laisser passer les gens qui ont besoin d’un endroit pour vivre.» 
«Être exposé chaque matin aux tweets de Donald Trump est quelque chose qui me déprime. Depuis novembre dernier, comme beaucoup d’Américains, je dois trouver une façon de sortir de cette colère permanente et de ce cynisme dans lesquels il nous plonge chaque jour, par ses gestes, ses déclarations, ses décisions. »  Le Devoir, 20.06.2017  



Lire ces phrases  venant d'un auteur américain reconnu,  qui se plaint des tweets de son président, parce que cela le déprime, on aurait presque envie de conseiller à ce bobo d'écrivain,  de tout simplement  passer son chemin ...   
 
Non seulement ça, mais en tant qu'écrivain et surtout intelligent, ne s'est-il jamais posé la question à savoir si son président avait le choix d'écrire des tweets tous les matins? C'est peut-être parce que les médias officiels de son pays refusent obstinément, depuis qu'il est élu,  de rapporter ce qu'il pourrait avoir accompli de juste ou bon pour son pays et son peuple, mais, au contraire,   ces médias-là semblent ne s'intéresser qu'à en dire  à son sujet,  que des fake news...  

De plus, au lieu de se mettre en colère contre les tweets d'un Président qu'on empêche de faire correctement son travail de président, élu, je me répète, en bonne et due forme, cet écrivain, sans doute démocrate,  devrait regarder autour de lui afin de considérer avec quelle impunité tout ce qui ressort de  criminel de la part du parti démocrate.  Elle devrait être là, la colère.   C'était mon humble point de vue, parce que c'est là, que le bât blesse le plus. 

Pour en revenir aux tweets, c'est à moi de me mettre en colère. Mais pas pour les mêmes raisons que pour monsieur Russel Banks.  Lorsque j'ai pris connaissance de ce qu'aurait écrit Donald Trump pour sa défense, suite à ses démêlés  avec James Comey, ex-Directeur du FBI, on se rend vite compte que cet homme qui «ne lit pas, pas même ses mémos », sait à tout le moins écrire et exprimer sa pensée.

***

La tempête des messages tweetés par Donald Trump résume assez bien comment se déroule la lutte du pouvoir à Washington, DC. Voici ce qu'a écrit Donald Trump, il y a peu:

« Vous assistez à la plus grande chasse aux sorcières de l'histoire politique américaine - menée par certaines personnes les plus malveillantes et les plus controversées.

Ils ont établi un lien imaginaire avec l'histoire des Russes, n'ont trouvé aucune preuve, donc, maintenant ils essaient la piste de l'obstruction à la justice à propos de l'histoire imaginaire.

Celui qui mène l'enquête sur moi parce que j'ai limogé le Directeur du FBI est celui qui m'a conseillé de le limoger. C'est la chasse aux sorcières.

Pourquoi n'enquête-t-on pas sur les magouilles de la famille d'Hillary Clinton et des Démocrates avec la Russie alors qu'on enquête sur des choses que je n'ai pas faites.

La Procureure Générale, Loretta Lynch, a pris des décisions de justice pour des raisons politiques, en accordant à Hillary Clinton toute latitude et  protection. En tout illégalité! »

Rapporté par Benjamin Fulford dans Devenons tous journalistes.

Enfin,  faites-moi signe si vous trouvez à lire ces informations dans vos médias officiels.
 

Le djihadiste était armé d’une Kalachnikov


Pas surprenant, la Kalachnikov, c'est l'arme parfaite.

 

 

À  Trois-Rivières, ce dernier week-end, je visitais  une amie qu'une amie partage avec moi. Gentillesse oblige. Au souper, nous avons fait  des blagues sur tout et surtout sur rien.  Comment le mot  « Kalachnikov», s'est-il retrouvé dans notre conversation et bien sûr, a fait rire si longtemps notre bouillonnante hôtesse?  Toujours est-il que cette dernière a tellement ri qu'elle n'en finissait plus de nous servir ce mot à toutes les sauces ...

Réponse: Attentat aux Champs-Élysées,   le djihadiste était armé d’une Kalachnikov. Cela se passait le 19/06/2017.  Donc,  le jour même d'aujourd'hui.  En tout cas, à l'heure de Paris.  Eh bien, cette heure-là nous rappelle le grand dessein de notre existence.  Et je me demande si ce que je suis en train de faire à ce moment précis participe à ce grand dessein.  C'est mon pourvoyeur d'horoscope qui m'y a fait penser. 

On peut bien rire et s'en amuser, mais à l'autre bout de soi-même, il y a un océan qui nous sépare de la peur, de la tragédie, de l'impuissance, de l'insouciance, de la folie de vivre en oubliant le revers de cette folie.  La menace,  pourtant bien réelle, a déjà fait connaître son sinistre message.
 
À  huit pays dont le nôtre, l'assassin, le meurtrier, le terroriste, le djihadiste, peu importe,  a bel et bien promis l'attentat au camion se ruant à pleine vitesse dans la foule,   à la Kalachnikov (tiens, tiens!), à la bombe, à l'incendie criminel et puis au couteau avec lequel il égorgera et décapitera sans pitié.   

Qui donc a besoin d'autant de sang pour se construire un monde à son image (compendre ici l'avènement du  nouvel ordre mondial), selon ses rêves depuis toujours?  Qui donc, à part un Être maléfique,  inhumain et assoiffé de sang?  Evidemment,  jamais repu depuis des siècles.
 
***
 
Une oeuvre d'art, un bijou. Et pourquoi pas un poème?
 


Mikhaïl Kalachnikov, inventeur du AK-47, est mort en 2013 à l'âge de 91 ans.  Oliver Rohe,  lui avait consacré un roman magnifique dans lequel il nous parle de ce drôle de cadeau laissé au monde. 
Un grand homme, en somme? 
Pas tout à fait; il  dépassait à peine  cinq pieds de hauteur !  

 
« Elle était magnifique dans ses lignes et ses proportions parce qu’elle était en tout point conforme à ce qu’il avait imaginé, à ses croquis et à ses travaux préparatoires ». Le personnage de Kalachnikov compose des poèmes et même s’il s’agit de poèmes stupides, « célébrant la splendeur des tourelles et la perfection géométrique des obus », ceux-ci demeurent l’indice d’une volonté créatrice qui résiste à la mort et mobilise des affects vivants.   
 
L’AK-47 est l’œuvre maîtresse de Kalachnikov, l’œuvre de toute sa vie et Oliver Rohe s’amuse à la présenter comme une espèce d’œuvre pop connaissant un destin comparable à celui des tableaux de Warhol : le drapeau « jaune vif » du parti de Dieu libanais « exhibe en son centre une Kalachnikov couleur vert bouteille ». L’AK-47 est au fond caractérisée par cette ambivalence, à la fois expression de la mort et de la vie qui la défie.  Extrait Médiapart, Portrait de l'artiste.  

58 % d’abstention : fais ton truc, Macron, mais ce sera sans nous !


La bulle Macron est là, gonflée à bloc, à l’Élysée, à l’Assemblée. Toujours pas éclatée certes. Mais énorme et visible de loin.
 
Le chiffre est historique. Du jamais vu à des élections législatives, non seulement depuis 1958, mais depuis que la France organise des élections législatives au suffrage universel direct, en 1848. C’était attendu et une raison a été dite et redite : la lassitude après tant de votes et une campagne interminable de plus d’un an et demi. Soit.
Mais on oublie de dire que le phénomène Macron y est aussi pour beaucoup. C’est une chose de « tuer le match » à son profit, d’éclater et de démobiliser toutes les oppositions éventuelles. Cela donne un Président élu à 66 %, et 400 députés. Carton plein. Gagné.
Mais c’en est une autre de ne parvenir à mobiliser que 42 % de l’électorat. Ce n’est pas ce qu’on appelle une adhésion massive et inconditionnelle à la personne et au programme du nouveau Président… 58 % des Français n’ont pas daigné entrer dans ce jeu, son jeu. Distance, indifférence, scepticisme, méfiance aussi peut-être. Comme une façon de dire : si tu te plantes – et il y a quelque risque -, je n’y serai pour rien. Et alors, je pourrai te présenter sèchement l’addition.
Le grand vide qui apparaît en ce 18 juin caniculaire, ce n’est pas seulement celui de l’opposition, mais aussi celui de la majorité Macron, énorme, mais légère. On avait fini par croire que Macron n’était pas une bulle. La preuve, il est à l’Élysée.
Eh bien si, la bulle Macron est là, gonflée à bloc, à l’Élysée, à l’Assemblée. Toujours pas éclatée, certes. Mais énorme et visible de loin. Et peut-être dangereuse quand elle éclatera.
En tout cas, 58 % des Français ont jugé bon de se tenir à l’écart.
Source: Boulevard Voltaire


 

Photo des Premières Dames à Bruxelles avec Monsieur-Madame Gauthier Destenay, le gay compagnon du premier ministre du Luxembourg !

 
Lors du sommet de l’Otan à Bruxelles le 25 mai dernier qui coïncidait avec la première visite du nouveau président des États-Unis Donald Trump en Europe, la photographie traditionnelle des « Premières dames » reçues au Palais Royal par la reine Mathilde de Belgique est passée un peu inaperçue.
Pourtant elle montre toutes les dérives de notre société actuelle et ses contradictions frappantes. Derrière une sévère Madame Ergogan, l’épouse du président de la Turquie, voilée et couverte de la tête aux pieds comme le veut la charia musulmane, on peut apercevoir Gauthier Destenay, le Monsieur-Madame du Premier ministre du Luxembourg Xavier Bettel. Tout sourire, ce compagnon gay de Bettel avec qui il est soi-disant « marié » à la faveur d’une loi luxembourgeoise de dénaturation du mariage, a pris la pose très Première Dame pour la photographie de groupe. Il a même participé à toutes les activités proposées à l’ensemble des First Ladies en marge du sommet officiel de l’Otan.
Cette photographie, qui représente un message fort pour la communauté Lgbt, n’a pas du plaire à l’actuelle administration de la Maison Blanche puisque sur son compte Facebook officiel la légende de la photo « oubliait » de mentionner Gauthier Destenay. Erreur vite corrigée face aux multiples critiques et accusations d’homophobie qui n’ont pas manqué…
L’homosexuellement correct est vraiment partout.

Francesca de Villasmundo
Média-Presses.Info 

Qui sont les complotistes? Ceux qui le disent. Point final!

Source: inconnue ?
Révélation

« Notre complot sera révélé. Les nations se retourneront contre nous avec esprit de revanche et notre domination sur elles ne sera jamais réalisée. »    Albert Pike, et le plan luciférien de gouvernement mondial

À remarquer que ce sont EUX qui le disent. Or,  cette déclaration de leur part m'amène à  souhaiter  dans mes rêves les plus fous, la nuit  et  dans mes pires cauchemars, le jour, la fin de ce plan luciférien.

Heureusement,  cela ne m'empêche que rarement de mal dormir à cause  de leur complot. J'ai bien dit: leur complot! Pas le nôtre.   Car l'espoir est au bout du tunnel, peu importe l'option choisie par le bon côté de l'Univers.
 
Cela dit, dernièrement, j'ai lu un  commentaire qui a cogité dans la tête d'un commentateur-penseur : « Il y a belle lurette que je ne suis plus l'avis des médias de mon pays (ici, en l'occurrence, la France). Faites-en pareil et vous verrez que le monde n'est pas celui qu'ils veulent nous faire voir. »

Eh bien, cher commentateur-penseur, figurez-vous que je suis un peu comme vous ayant suivi votre exemple depuis belle lurette, moi aussi. Je ne peux faire autrement que de me rendre compte qu'il existe au moins,  deux mondes différents dans notre présent.   
 
D'abord, celui bien réel de notre humanité dotée de conscience, de forces et de faiblesses, voire même capable d'amour. Puis un autre qu'on ignore, ou bien qu'on re-doute  mais dont on ne comprend pas toujours l'existence, tellement il est invisible, malveillant, obscur même parce que satanique, enfin terriblement efficace tant sa domination sur nous depuis des siècles, peut être cruelle et totalement dépourvue de conscience.  Et là, je suis très généreuse dans mon propos à leur sujet.

George Orwell: 1984
 
Qui a dénoncé leur complot tout en laissant croire qu'il s'agissait d'une banale fiction?

Qui a compris leur langue, la novlangue, qui fait dire que la paix, c'est la guerre et la guerre, c'est la paix? Que le bien, c'est le mal. Que le mal, c'est le bien.

Qui a révélé que l'humanité était un troupeau de bétail fiché,  tout aussi bien qu'une populace d'esclaves  qu'on aura abrutie et pucée (codée),   pour mieux l'exploiter et la contrôler?

Qui a prédit que cet avenir ne serait pas cette fiction-là,  mais bien plutôt une réalité en voie d'être vécue désormais par notre humanité?
 
La confusion
 
Quand la confusion, tout comme la peur,  devient une arme de déstabilisation massive semant des vents contraires et continus en guise d'arguments,  il n'y a plus rien qui tienne dans le discours ambiant. 
 
On y perd son latin. C'est voulu et planifié.
 
Alors la novlangue,  qui est utilisée à toutes les sauces autant par vous et moi que par un président d'un pays quelconque,  qui aurait intérêt à le faire peu importe ses raisons,   jette par terre toute objectivité et laisse  le chaos s'installer.
 
Que ce soit d'un côté comme de l'autre des différentes Administrations fédérales, américaines ou européennes et mondiales, qu'il s'agisse de celle du président Trump ou des médias traditionnels peu importe de quels pays, et pourquoi pas dits aussi alternatifs (d'autant plus qu'ils sont toujours accusés de fausses informations par leurs interlocuteurs). Bref,  la confusion généralisée est un mal qui répand d'abord l'ignorance, puis la noirceur.  En tout cas, rarement la lumière.    

Qui va croire qu'Hillary Clinton aurait fait assassiner des personnes (10) qui voulaient dénoncer ses agissements?  Bien peu de gens vont vous croire, n'est-ce-pas.  Le meurtre de Seth Rich,  vous dit-il quelque chose?*

Et le FBI,  le savait-il  si elle avait  trempé dans des affaires de pédophilie? OUI!

En outre,  qui croira qu'elle ait été arrêtée dernièrement pour d'autres agissements ? CNN en a-t-il parlé?  Je l'ignore. 

Pourquoi a-t-on caché ces faits et combien d'autres casseroles aux Américains depuis des années?

Réponse: Beaucoup pensent qu'on a cherché simplement,  mais désespérément à la protéger. 

Mais allez savoir.

Pour ne pas dire, allez vous faire foutre.

Et j'assume les mots.

 
La théorie du papillon et la tempête parfaite



Photo: AFP via Le Journal de Montréal
Moscou 29 mai 2017
 
Si j'ai choisi l'image d'un papillon, c'est parce que dans  La Formule de Dieu  que j'ai lu,  il y a  quelques années,  j'ai retenu un fait qui m'a profondément marquée à l'époque. On y rapportait que le vol d'un papillon, supposons à Barcelone, ou à Montréal ou à Tokio,  peut se répercuter jusqu'à l'autre bout de la planète.  Mathématiquement parlant,  je ne saurais pas l'expliquer.

Mais si c'est le cas, cette  théorie du chaos aurait-elle pu servir à  provoquer la fameuse tempête qui a récemment fait d'énormes dommages,  à Moscou, lundi le 29 mai dernier?  De un,  le timing d'abord: Poutine jette beaucoup d'ombre ici et là sur la planète depuis une couple d'années.  Et de deux: ses petits sourires en coin dérangent énormément  le top 10 des agents de la mafia des Rothschild (lire Khazars).  Et de trois: le président Poutine n'aurait-il pas le contrôle absolu de ses propres médias à l'étranger, notamment  Sputniknews.com et R(ussia)T(oday)?  Et combien d'autres causes comme celles-ci qui font que l'esprit du mal finit par avoir ses raisons pour se mettre en colère.
 
De là,  la théorie du vol du papillon  révélerait-elle quelque part une vérité incontournable? C'est ce que croient ceux qui pensent que, ce n'est pas un  hasard  qui fait que  l'objet de leurs pensées se répercute jusqu'au bout de la planète. Et quand cela leur arrive,  c'est que c'est vrai.

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*  Claudia Kash,   la petite amie de Seth Rich, a écrit ceci en juillet 2016:

Hillary a mis en place des bureaux de scrutin en double, a recueilli un deuxième nombre de votes qui ne s'est jamais présenté au bureau de vote légitime, puis a renversé les informations d'identification des électeurs aux bureaux de vote légitimes et l'a échangé avec des votes.  

De ses bureaux de vote exclusivement sur des bulletins légitimes où les gens ont voté pour Bernie Sanders. Elle devrait être méga corrompue et puissante pour le faire, et le DNC devrait être pourri au noyau, mais c'est probablement ainsi lorsque la machine de mort de Clinton n'est jamais forcée de donner des réponses. Cela signifie qu'il y a une grave corruption et une puissance sombre profondément enracinée. Seth Rich a découvert, n'en savait rien, puis est mort.

Hillary a sans doute fait cela à Trump également, par l'intermédiaire de personnes plantées à la clé, des bureaux de scrutin entièrement compromis. Cela expliquerait parfaitement pourquoi il y avait une «faible participation» même si cette était probablement l'élection la plus chaude de l'histoire américaine, et cela explique aussi pourquoi Hillary a gagné dans un si petit nombre d'endroits, mais a presque pris les élections.

Source: http://82.221.129.208/baaasepageu3.html


Note: Désolée pour la mauvaise qualité de ce site.
 

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