Au coeur des gens honnêtes dépouvus de conscience

« autres temps, autres moeurs » ...?!


Un premier élu prendra le chemin de la prison, apprenait-on dernièrement.   Robert Poirier, ex-maire de Boisbriand, écope de 18 mois. Devant le déni obsessionnel, ce dernier ne faisait que suivre les bêlements des «moutons blancs», cette cohorte dépourvues de conscience pour qui les méfaits de corruption, de collusion, de fraude, de complot pour fraude, d'abus de confiance et d’aide à l’abus de confiance (concernant l’attribution ici de contrats municipaux), ont amené la justice à le condamner pour ses méfaits.   

Quant aux «moutons noirs»,  ce sont les autres. Enfin ceux et celles qui ont le «bon» réflexe de s'indigner devant de tels comportements.  Mais combattent de plus en plus de démons intérieurs qui les exhortent à fermer les yeux,  et en dernier ressort à accepter bien malgré eux ce mal-être autour d'eux, bien que leur silence les rende complices de cette situation. Bref,   les voilà bien malpris de se mettre à gérer un  problème intérieur dépassant leur grandeur nature ...

J'ai été fort impressionnée par un commentaire d'un abonné du  Devoir, un commentaire qui touche droit au cœur des gens honnêtes.  Le voici:
 
« Ah! l'élasticité que l'être... 
humain est capable de donner à sa conscience! Foi d'ex-bagnard. Cette foi-là, je souris, c'est la mienne. Quant à l'ex-bagnard, je ne souris pas. Des gens en ont souffert. Des gens en souffrent encore. S'il est exact que monsieur Poirier ne manifestait pas de remords, je le comprends. Je suis passé par cette très désolante et plus période de négation. Je souhaite à monsieur Poirier des intervenants en milieux carcéraux et externes de la qualité de celles et ceux qui ont su me remettre à ma place. Je suis de celles et ceux chanceux d'avoir été emprisonnés. »

Sans prétention,
Gaston Bourdages.
Saint-Mathieu-de-Rioux, Qc.

Et puis ...

***

Un petit plaisir matinal


Au temps de l'écrivain français, Gustave Flaubert (1821-1880), donc hier comme aujourd'hui,  tous ces méfaits de l'humain dépourvu de conscience n'étaient pas rares. Et, l'on peut dire sans trop se tromper que l'auteur français ci-haut mentionné a goûté à la médecine d'une vengeance maçonnique bien organisée.  Flaubert aurait-il rencontré le diable?

« Gustave Flaubert et le Grand Orient de France » ... m'est un petit plaisir matinal que je lis souvent à haute voix pour m'entendre assimiler  enfin,  ce qu'est cette machination diabolique qui existe depuis plus de deux siècles.

 « ...cependant, j'en sais assez de l'histoire de la franc-maçonnerie pour être convaincu que c'est au fond de vos Loges que sont émanés, d'abord dans l'ombre, puis dans le demi-jour, et enfin en pleine lumière, les sentiments qui ont fini par faire la sublime explosion dont nous avons été témoins en 1789 ...»,  citait en son temps Lamartine (1790-1869). De là, on peut presque dire que le grand poète romantique est un fils légitime de cette révolution qui a certes marqué sa vie entière. Et bien sûr, celle de tout son peuple.

Ceux qui pensent encore et toujours que la Franc-maçonnerie n'est qu'une pure invention de l'esprit ou encore pire une conspiration dévote et pieuse, demeurent  d'aveugles borgnes heureux à mes yeux. L'idéal pour la majorité de ces gens est évidemment de passer outre leur chemin et d'ignorer la réalité.  Qui leur en voudra?

Sauf que depuis longtemps, dans ma cérébralité aussi curieuse que maniaque,  j'ai cherché à savoir ce que cachait le miroir (et son derrière ...) de cette réalité.  Qui m'en voudra? Le problème toutefois réside dans ma propre mémoire qui rétrécit de jour en jour et,  fait que je ne puisse exprimer correctement ce que ma tête reçoit d'informations.  Mais qu'à cela ne tienne, l'important reste le vif plaisir de savoir enfin ce que j'ai toujours voulu connaître.

Et, c'est suite à l'histoire de la Révolution française que j'ai eu ce goût vibrant, voire ce besoin  pressant, l'âge avançant dans mon cas,  d'approfondir cette période majeure de l'humanité dans laquelle la Chose monstrueuse,  sous des dessous vertueux,   a rampé jusqu'à nous  à travers ses projets maléfiques.  Or,  c'est par l'histoire de son destin incroyable, que  Gustave Flaubert a vécu et combattu le bras de fer qui l'a ruiné jusqu'à ce que la  poussière de l'oubli s'ensuive, même dans ses œuvres, que j'en suis rendue à la page 162 ... de ce livre dont j'achèverai bientôt la lecture palpitante. 

À suivre. Peut-être mais pas certain.

L’auteur de Harry Potter soutient la venue de Trump en Angleterre


La baguette magique de Joanne portera-t-elle bonheur au Donald ?

Hildegard von
Hessen am Rheim
Boulevard Voltaire

 
Sans emploi, Joanne Rowling était au bout du rouleau lorsqu’elle entreprit l’écriture de Harry Potter sur une table de bistrot en bas de chez elle. Nous connaissons le reste de sa magnifique carrière. Elle est traduite dans le monde entier et Hollywood s’est emparé de son personnage. Les foules font la queue devant les librairies du monde occidental lorsqu’un épisode est annoncé. Elle a redonné l’envie de lire à des jeunes plus attirés par l’image. Même les adultes s’y sont mis !

Pourtant, son livre fut refusé par une bonne douzaine d’éditeurs britanniques. Elle dut son succès à un petit éditeur, Bloomsbury, qui soumit le premier chapitre à sa fille de huit ans, Alice. Après avoir terminé ce premier chapitre, la petite fille demanda le reste du livre. Bloomsbury n’était pas convaincu d’avoir un best-seller dans ses mains. L’éditeur, Barry Cunningham, l’avertit tout de même se trouver un job car, estimait-il, elle ne pourrait jamais gagner sa vie en écrivant des livres pour enfants.

Bloomsbury fut tout de même assez « smart » pour publier Harry Potter mais, rétrospectivement, il reconnaît que la manière dont il s’y est pris était stupide. Pensant que le livre ne se vendrait pas, le comité de lecture recommanda à Rowling de ne pas publier sous son vrai nom, Joanne Rowling, estimant que des garçons ne liraient pas un livre de cette sorte écrit par une femme. Un point de vue sexiste qui n’accorde pas beaucoup de crédit aux garçons… Rowling, empressée de rencontrer le succès, accepta d’écrire sous le nom de J.K. Rowling. Le J étant sa première initiale, pour Joanne. Comme elle ne possède pas de second nom, elle inscrivit le K en hommage à sa grand mère Kathleen. Nous connaissons le reste de son histoire.

Aujourd’hui anoblie, multimillionnaire, la voilà qui donne de la voix en faveur de Donald Trump, même si, dit-elle, sans être en accord avec tout ce qu’il dit, elle estime que sa manière « d’être bigot » lui donne le droit de l’être aussi à son égard. Quelle classe, J.K. ! Dans le fond, sans le dire, elle sait que le peuple américain souffre dans sa grande majorité, comme elle auparavant. Elle sait que l’Amérique est le pays des rêves. Et elle, Joanne Rowlings, a une fois rêvé, sans emploi, sur une table de bistrot, son destin devenu extraordinaire, par un coup de baguette magique de son personnage Harry Potter. J.K. Rowling est assurément un soutien de poids à Tsunami Trump, même si elle tempère.

La baguette magique de Joanne portera-t-elle bonheur au Donald ?

Bons baisers de Cuba


L'oeil d'Horus grandeur nature nous contemple
Hola!

Revenue de vacances ce dernier mercredi, on m'avait pourtant prévenue qu'à Cuba, il n'y avait rien à acheter. Comme de fait, je n'ai rapporté qu'une superbe casquette rouge pompier brodé sur le devant: « Y'love  CUBA».  Avec derrière la tête,  une petite pensée pour le golf à venir pour bientôt.  

Mais aussi,  j'ai surtout rapporté un terrible coup de soleil qui tarde à attiédir la peau de mon dos. Seule consolation: j'ai certes atteint mon quota de vitamine D pour le reste de l'année.

Cela dit, j'ai dû dépenser une petite fortune (en pesos)  rien qu'en pourboires. Et cela partout où l'on me tendait la main: les bagagistes, les conducteurs d'autocar, le guide Victor lors du voyage à la Havane, les serveuses  au buffet, les femmes de ménage, les garçons de table, le soir, au bar ouvert, et j'en oublie.  

Enfin,  à mon retour, j'ai perdu mais,  dès le lendemain,  retrouvé mon petit porte-monnaie signé Paris en bleu, blanc et rouge.  Des chauffeurs de taxi honnêtes, ça existe encore.

***

De : Martin Michaud
Éditeur : Les Éditions Coup d'œil
Date de parution : 2014-10-15 (en format de poche)

Une jeune femme s’éveille après vingt-quatre heures dans le coma et se lance à la recherche d’un homme qui ne semble pas exister. Un meurtrier sans merci décide que chacun doit payer pour ses fautes et applique sa propre justice. Des crimes commis à une journée d’intervalle déroutent les membres de la police de Montréal… dont le sergent-détective Victor Lessard. L’enquêteur vivra des rebondissements troublants pour élucider cette affaire sordide parsemée de revirements inattendus.

À Cuba, j'ai lu un (autre) polar de Martin Michaud. Comme d'habitude, en remontant la filière dans le sens inverse, je n'étais pas sans savoir que ce bouquin-là était son tout premier, ayant déjà lu les suivants. Avant. 

Parfaitement ficelé ce polar m'a tenue en haleine jusqu’à la dernière page. Sauf qu'au tout début du roman, j'ai dû le mettre de côté pendant quelque temps parce qu'il m'a foutu la trouille; j'y ai vu monter comme un trop plein de frayeur, alors ...

Toujours est-il qu'une fois bien installée à l'ombre dans un transat, au bord de la piscine, je n'ai eu de cesse de gober les pages, les unes après les autres, à une vitesse quasi vertigineuse.

Même qu'une nuit, sous l'œil d'Horus, j'ai passé quelques heures à lire assise sur le bord de mon lit, en attendant que s'apaise le brasier dans mon dos. C'est à dire qu'il ne s'éteigne à petit feu. Très lentement.

***

Les chemtrails: une légende urbaine?

Il y a longtemps de ça, une amie m'avait informée qu'il ne fallait pas monter à bord d'avions civils pilotés par des pilotes cubains. «De vrais cowboys! », m'avait-elle dit. Or, c'est après avoir visionné une petite vidéo sur Météo Média intitulée: « La science derrière les traînées de condensation », commentée par monsieur Patrick de Bellefeuille, que ce vague souvenir des pilotes cubains m'est tout à coup remonté à la surface de la mémoire.

Je ne crois pas que ce soient des pilotes d'avions civils cubains qui ont tracé ces lignes blanches dans le ciel, un certain matin, à Veradero. Toutefois, à ma grande surprise, j'ai aperçu quelques timides traînées par la fenêtre de notre chambre. Mettons que cela, m'a laissée songeuse.  
 
Un certain matin,  à Veradero, Cuba

Cependant, je trouve aberrant et honteux, que Météo Média en vienne à amalgamer aussi cavalièrement, le phénomène des chemtrails avec celui des contrails, deux phénomènes totalement différents, et mondialement connus de millions de personnes et d'experts.

C'est donc à cause de ce culot qui frise le ridicule dans toute sa splendeur, pour ne pas dire son horreur qu'on est en droit de se demander pour qui ces gens-là travaillent-ils et surtout, pour qui nous prennent-ils?

Au seul mot «chemtrail», il existe à ce jour suffisamment d'informations sur Internet pour arriver à se faire une idée, ne serait-elle que vague et questionnable. On n'exige pas de tout croire pour tout savoir, mais ce culot va loin dans la désinformation des gens qui ne s'intéressent pas de près ou de loin à la chose, n'ayant pas l'idée, ou la force, ou la curiosité, c'est selon, de lever la tête vers le ciel pour y voir qu'il y a quelque chose d'anormal. La plus simple de ces choses, serait d'y voir au moins une différence entre les traînées d'avions civils et celles d'avions dits modifiés ou non identifiés. 
 
Un chemtrail [kemtrel] serait une traînée blanche dans le ciel ressemblant à une traînée de condensation mais constituée de produits chimiques ou aérosols et non de la vapeur d'eau laissée par les réacteurs des avions civils. Le nom lui-même est un néologisme construit par la contraction de l'anglais « chemical trail », soit « trainée de produits chimiques », sur le modèle de, et par opposition à, « contrail », contraction de « condensation trail ». 
 
Je ne suis pas experte en la matière, et n'irai pas plus loin sur ce chemin obscur, mais Internet avec son million et demi de liens sur le sujet a de quoi pour meubler la cervelle évidée de ses diseurs de n'importe quoi, à commencer par leurs mensonges.

Enfin, n'est-il pas suspect que ce site qui se veut crédible en invitant des milliers de personnes à le visiter quotidiennement, de montrer à l'aide d'une nanovidéo amateure, d'une minute quarante seconde (1:40), que le phénomène des chemtrails n'existe(rait) tout simplement pas ... Hola! messieurs, les météorologues de Météo Média! Les chemtrails, une légende urbaine? Faut-il faire exprès pour être ignares à ce point?

Que sont donc ces fils d'araignées, ou cheveux d'ange ou de la Vierge qui collent à nos bâtons de golf, en été, dans l'herbe haute ou autre buisson de côté de l'allée de n'importe quel parcours de golf près de chez vous?  

Un cadeau ringard mais quand même toujours d'actualité


Que lit-on au Québec ? Des livres de recettes. Beaucoup de livres de recettes. Des romans très grand public. Des guides de l'auto. Des guides pratiques, essentiellement sur la santé ou le contrôle du poids. Dans mon cas, non par esprit de contradiction mais quand je lis des recettes, c'est la plupart du temps sur Internet.

Cela dit, on n'a pas voulu me l'offrir pour ma fête. En tout cas, on a beaucoup hésité. Pouah! Un cadeau bien trop ringard pour parler comme le font les Français! Sauf que ce livre d'histoire n'est pas un livre ordinaire. C'est plus qu'un livre, il est aussi la réunion de plusieurs outils audio-visuels, un DVD, une chaine Youtube, un site internet et un texte.  Bref, de quoi épater la galerie.

Mais pourquoi donc cette persistance à vouloir lire cette histoire sur un auteur français dont on a tout fait pour jeter dans l'oubli, en commençant par son nom? Or il s'avère que j'espère trouver la réponse à ma question, une fois que j'aurai lu ce livre écrit par Olivier Roney sur l'écrivain du XIXè siècle, Gustave Flaubert, auteur que personnellement,   je ne connaissais que de nom. Et qui par sa naissance, son milieu social et son amitié pour Maxime Du Camp, a été au cœur de cette toile d'araignée qui n'a jamais cessé de pousser ses tentacules jusqu'à aujourd'hui. 
 
On ne sait pas, si Gustave Flaubert a été le seul de son temps à avoir goûté à la médecine amère des Francs-Maçons de la très célèbre République des Frères, mais lorsque ces gens-là ont dans la tête de censurer l'œuvre d'un auteur qui a osé  les défier,   ou les critiquer et mettre à jour leurs manigances, ils n'y allaient pas par quatre chemins. D'abord,  pour l'auteur de «Madame Bovary», on l'a ruiné  pour le faire taire et ensuite on a  rasé sa maison de Croisset pour, pensaient-ils, à l'époque rayer son œuvre des mémoires des futures générations.  Aujourd'hui, leur stratégie,  bien  que les moyens et les méthodes  diffèrent,  n'a pas vraiment changé. 

Enfin, que vient faire le Grand Orient de France dirigé par le Duc d'Orléans et qui a soutenu  la révolution française, à la fin du XVIIIè siècle?   Me restera  donc à le découvrir  et dans quel but.   Toutefois, entre temps, j'ai appris que les francs-maçons avaient le don de mélanger (ou  amalgamer, c'est selon ...!), sans trop de souci, les mythes de l'Antiquité, les fondements de la chrétienté, l'imagerie des Templiers et de la chevalerie moyenâgeuse, l'ésotérisme de la Renaissance, les traditions des bâtisseurs, l'esprit des Lumières, le positivisme scientifique, la foi laïque et républicaine. Un cocktail potentiellement explosif... mais qui semble toujours solide!

Un cocktail potentiellement explosif, dit-on? Ce que je crois,  « il faut être forcément pas normal pour s’auto-emmurer dans des convictions et croyances qui ne sont pas dans les manuels scolaires!»   Or depuis belle lurette jusqu'à aujourd'hui,  la franc-maçonnerie,  tantôt tenant la main des Illuminati,  fait en sorte qu'après toutes ces révolutions, toutes ces éliminations, toutes ces invasions,  cette caste qui n'a de cesse de s'enrichir aux dépends de ses semblables,  préfère l'ombre à la lumière.

De telle sorte qu'elle puisse grenouiller aussi bien que magouiller dans le plus grand secret. Il paraît qu'ils sont 50 000 juste en France à ne faire que ça: confondre notre  bien avec leur mal (de vivre ou quoi?). Donc, rien n'a donc changé depuis avant, pendant et après le passage de Gustave Flaubert dans sa vie durant.

Pour l'instant, monsieur Gustave, votre nom est toujours là en ce XXIè siècle, en dépit de tout ce qu'ils ont fait contre vous à l'époque de leur émergence pour vous voir disparaître. Rien n'a changé, mais leur but est le même. Soumettre l'humanité à leur cupidité.
 
Pour en finir avec la réponse à ma question

« qu'augure donc le sens des manifestations  actuelles qui s'étendent de jour en jour, et aussi de nuit en nuit sur tout le territoire français, alors que l'inquiétude est toujours grande face à l'émergence d'une crise sociale, économique et politique sans précédent qui se profile depuis maintenant plusieurs mois? ». 
 
Si les Français en ont long et large à dire sur les manifestions actuelles, place de la République à Paris, leurs rejetons, eux, se sont chargé de discuter, discuter, discuter dans la nuit jusqu'au petit jour. Et cela pour ne pas changer nécessairement le monde, ça c'est impossible, mais la Constitution, elle, aurait peut-être avantage à remodeler un tantinet son apparence. Qui sait.

« On dirait une sorte de Woodstock propre, sans la musique ni les foules », écrivait Christian Rioux, chroniqueur au Devoir, à Paris, dans l'une de ses récentes chroniques.   Les manifestations, en France, c'est comme les grèves, c'est non-stop depuis avant et après Mai 68, comme dirait l'autre. Non. La Révolution française 2, ce n'est pas pour demain. On peut dormir sur nos deux oreilles, mais aussi, si on n'y prête attention,  s'endormir  debout. À suivre.

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Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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