L'existence de Petreanu s'était simplifiée depuis qu'il avait confié la gestion de sa vie amoureuse à sa secrétaire.
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ci-dessous.
***
Un maître et son harem
Cette dernière avait organisé un système où chacune de ses maîtresses était de garde une journée par semaine: cette journée-là, les femmes devaient être disponibles sans préavis.
Les autres jours, elles avaient droit à un préavis de vingt-quatre heures. Sauf pendant les vacances: chacune avait alors droit à un mois de congé.
C'était également sa secrétaire qui négociait les primes de séparation et qui s'occupait des arrangements pour l'installation des nouvelles (recrues).
Petreanu n'avait jamais regretté cette décision: qui mieux qu'une lesbienne peut comprendre les femmes, connaître leurs besoins et savoir comment traiter avec elles pendant les moments délicats de la rupture?
L'auteur ne dit pas dans quels bras généreux certaines de ces rejetées du maître finissaient par atterrir ... Mais malgré ce silence sur un sujet aussi tabou, je suis encore tout à fait ébahie devant la sublime caricature d'une saine gestion, ici, à son infinie limite, d'une vie amoureuse sereine et heureuse.
Certes au moment où je termine la lecture de cette fabuleuse fiction, mon seul regret c'est de ne pas y avoir appris d'honnêtes et d'éthiques notions d'une nouvelle façon de gérer notre minable pactole de classe moyenne. Et surtout de retraités.
Par contre et à l'évidence, je n'ai rien trouvé d'autre qu'un petit clin d'oeil à ceux qui savent depuis longtemps comment s'y prendre pour farfouiller dans les poches des contribuables.
À cet égard, on dira souvent que l'argent ne fait pas le bonheur mais ..., dans ce cas-ci, j'ai y vu toutefois un excellent scénario pour une prochaine pub de Lolo-Québec.
***
J'ai le tendon d'Achille ...
Mais à la mauvaise place. Mettons, que j'ai de plus en plus d'inquiétude concernant mes vilaines épaules rongées par la calcification tendignitaire. Et j'avoue que les exercices d'hier, hum ... n'ont pas aidé le problème.
D'abord, j'ai passé une nuit exécrable à chercher la manière idéale d'endormir le mal apparu soudainement dans la soirée. Finalement, à l'aide d'un oreiller je me suis fait un lit spécial pour y reposer mon épaule droite endolorie. J'ai tellement brassé d'air autour de moi toute la nuit que mes trois oreillers se sont retrouvés par terre, ce matin.
Comme de raison, j'étais un-peu-pas-mal déprimée ayant dû prendre un quart de pro zopiclone au milieu de la nuit. Bref, l'avenir à court, moyen et long terme ne s'annonce pas rose du tout.
Mais n'en restons pas là! Je me suis heureusement souvenu d'une vidéo que j'ai reçue cette semaine. Or en pensant que si je ne peux plus rien faire de bon à mes cours d'exercices les mercredis, eh bien, je pourrai toujours m'inscrire au programme de mise en forme expliqué dans la vidéo suivante:
En plein ce qu'il me faut par les temps qui courent.
Musique, s.v.p.
Vos épaules sont usées, fatiguées. Elles commencent à rouiller, à grincer au moindre mouvement? N’hésitez plus, mettez-les à l'épreuve tout en douceur grâce à des cours d’aérobie avec vos amis, Banjo, Fritz, Harley, Monsieur Freckles, Pumkin et Tom, où elles pourront s’exercer en musique, faire fondre le calcaire avec le coup droit sur des sacs de frappe mous, remettre en santé leurs articulations ... Bref, une belle remise en forme sans trop de douleur! Un brin d'exercices n’a jamais fait de mal à personne.
Merci Lolo
Fin de mon Journal pour aujourd'hui.
ci-dessous.
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Un maître et son harem
Cette dernière avait organisé un système où chacune de ses maîtresses était de garde une journée par semaine: cette journée-là, les femmes devaient être disponibles sans préavis.
Les autres jours, elles avaient droit à un préavis de vingt-quatre heures. Sauf pendant les vacances: chacune avait alors droit à un mois de congé.
C'était également sa secrétaire qui négociait les primes de séparation et qui s'occupait des arrangements pour l'installation des nouvelles (recrues).
Petreanu n'avait jamais regretté cette décision: qui mieux qu'une lesbienne peut comprendre les femmes, connaître leurs besoins et savoir comment traiter avec elles pendant les moments délicats de la rupture?
L'auteur ne dit pas dans quels bras généreux certaines de ces rejetées du maître finissaient par atterrir ... Mais malgré ce silence sur un sujet aussi tabou, je suis encore tout à fait ébahie devant la sublime caricature d'une saine gestion, ici, à son infinie limite, d'une vie amoureuse sereine et heureuse.
Certes au moment où je termine la lecture de cette fabuleuse fiction, mon seul regret c'est de ne pas y avoir appris d'honnêtes et d'éthiques notions d'une nouvelle façon de gérer notre minable pactole de classe moyenne. Et surtout de retraités.
Par contre et à l'évidence, je n'ai rien trouvé d'autre qu'un petit clin d'oeil à ceux qui savent depuis longtemps comment s'y prendre pour farfouiller dans les poches des contribuables.
À cet égard, on dira souvent que l'argent ne fait pas le bonheur mais ..., dans ce cas-ci, j'ai y vu toutefois un excellent scénario pour une prochaine pub de Lolo-Québec.
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J'ai le tendon d'Achille ...
Mais à la mauvaise place. Mettons, que j'ai de plus en plus d'inquiétude concernant mes vilaines épaules rongées par la calcification tendignitaire. Et j'avoue que les exercices d'hier, hum ... n'ont pas aidé le problème.
D'abord, j'ai passé une nuit exécrable à chercher la manière idéale d'endormir le mal apparu soudainement dans la soirée. Finalement, à l'aide d'un oreiller je me suis fait un lit spécial pour y reposer mon épaule droite endolorie. J'ai tellement brassé d'air autour de moi toute la nuit que mes trois oreillers se sont retrouvés par terre, ce matin.
Comme de raison, j'étais un-peu-pas-mal déprimée ayant dû prendre un quart de pro zopiclone au milieu de la nuit. Bref, l'avenir à court, moyen et long terme ne s'annonce pas rose du tout.
Mais n'en restons pas là! Je me suis heureusement souvenu d'une vidéo que j'ai reçue cette semaine. Or en pensant que si je ne peux plus rien faire de bon à mes cours d'exercices les mercredis, eh bien, je pourrai toujours m'inscrire au programme de mise en forme expliqué dans la vidéo suivante:
En plein ce qu'il me faut par les temps qui courent.
Musique, s.v.p.
Vos épaules sont usées, fatiguées. Elles commencent à rouiller, à grincer au moindre mouvement? N’hésitez plus, mettez-les à l'épreuve tout en douceur grâce à des cours d’aérobie avec vos amis, Banjo, Fritz, Harley, Monsieur Freckles, Pumkin et Tom, où elles pourront s’exercer en musique, faire fondre le calcaire avec le coup droit sur des sacs de frappe mous, remettre en santé leurs articulations ... Bref, une belle remise en forme sans trop de douleur! Un brin d'exercices n’a jamais fait de mal à personne.
Merci Lolo
Fin de mon Journal pour aujourd'hui.
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