Un petit volume qui m'est tombé (quel heureux hasard ...!) sous la main en attendant d'autres lectures, mettons, moins arides ... Une lecture de transition, quoi.
En dépit de cette aridité, voilà ce que j'ai toutefois appris au bout d'une trentaine de pages:
Le terme « tiers-monde » se voulait au départ symbole de fierté; Jawaharial Nehru (ancien PM hindou) le forgea pour désigner des pays qui revendiquent leur indépendance, rejetant toute alliance avec l'Occident ou l'Union soviétique.
Parlant d'indépendance et de pays, j'ignore pour quelle raison depuis quelque temps, peut-être bien une fois par semaine, nous passent au-dessus de la tête, donc à très basse altitude, les vibrants F-15, -16, - 17 ou - 18 de l'Armée canadienne.
Cela dure environ que le temps d'y faire attention. En tout cas, beaucoup moins d'une minute.
À chaque fois que cela arrive, le ciel se remplit du bruit d'enfer que font ces bolides qui font trembler les murs de nos maisons.
Cela dure environ que le temps d'y faire attention. En tout cas, beaucoup moins d'une minute.
À chaque fois que cela arrive, le ciel se remplit du bruit d'enfer que font ces bolides qui font trembler les murs de nos maisons.
C'est quoi la raison de cela, M. Harper?
Raison 1. Pour s'exercer à partir en guerre aux côtés de nos voisins du sud quand ces derniers le décideront?
Raison 2. Pour montrer qu'à Ottawa, on s'occupe avec un zèle rare du terrorisme partout à la grandeur du territoire canadien?
Raison 3. Ou pour bien faire comprendre au petit peuple québécois qu'il fait mieux de ne pas trop y penser, à l'indépendance?
Simple comme bonjour, M. Harper!
La réponse est la même pour toutes ces raisons.
Semer la peur.
Raison 2. Pour montrer qu'à Ottawa, on s'occupe avec un zèle rare du terrorisme partout à la grandeur du territoire canadien?
Raison 3. Ou pour bien faire comprendre au petit peuple québécois qu'il fait mieux de ne pas trop y penser, à l'indépendance?
Simple comme bonjour, M. Harper!
La réponse est la même pour toutes ces raisons.
Semer la peur.
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Lise Payette: plus que jamais
« Il y a longtemps que je ne me sens plus Canadienne et il m’arrive de penser que je ne l’ai jamais été. » Lise Payette
Toujours parlant d'indépendance et de pays, sur les entrefaites, ce matin, dans Le Devoir, on a eu le très grand plaisir de voir réapparaître la chronique de madame Lise Payette, dont la chronique hebdomadaire du vendredi nous avait beaucoup manquée ces derniers mois.
Eh bien, si on ignorait quelles étaient les raisons de son absence si prolongée, elle nous a tout raconté dans le menu détail de quel enfer elle a ressurgi ...
Un peu long, mais ça vaut tellement la peine de lire ça.
J'en ai eu les larmes aux yeux.
Un peu long, mais ça vaut tellement la peine de lire ça.
J'en ai eu les larmes aux yeux.
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(FDMJPA) Fin de mon journal pour aujourd'hui.
(FDMJPA) Fin de mon journal pour aujourd'hui.
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