À contre courant: les Bonnie & Clyde de la politique américaine




Rép., la juge Jeanine, sur Fox News, s'exprimait ainsi, il y a peu de temps: « Bill et Hillary Clinton sont les Bonnie & Clyde de la politique américaine. » Ici  (1:15 - 1:19)
 

Pourtant, tout le monde le savait  qu'elle était menteuse et plus encore.  On en a peu parlé au Québec. Enfin jusqu'à aujourd'hui, 5 septembre 2016,  dans La Presse québécoise sous ce titre :  « Scandale des courriels: difficile de croire Hillary Clinton », on sent qu'on ose lever un tout petit bout du voile. 
 
D'abord, il faut reconnaître que Fox News n'est pas dans le champ autant qu'on le pense,   étant le seul média américain, (à ma connaissance),  à dire les «vraies choses», et cela depuis plus d'une semaine, concernant cet aspect extrêmement délicat, voire litigieux de la campagne électorale d'Hillary Clinton et de son parti.
 
Sans oublier un autre sujet qui fait voler bas les intimes secrets de cette candidate qui aspire aux plus hautes sphères politiques de la planète et dont les fonctions lui permettront de diriger et gérer, en bien comme en mal, non pas seulement l'armée la plus (ou moins) puissante du monde, mais surtout nos vies,  à nous, les citoyens du monde actuel.  
Et je pense ici à son extraordinaire fondation qu'elle administre avec son époux,  Bill. Grâce à leur fille Chelsea qui s'est jointe à eux,  cette fondation peut se vanter (ou se disculper) en faisant valoir le volet humanitaire de cette  machine à faire du fric qui fonctionne comme une horloge suisse ou encore une espèce de loterie à bar ouvert. 
« Les médias n'ont pas démontré que Clinton avait accordé des traitements de faveur aux donateurs de la fondation, mais les adversaires de la démocrate ne se gênent pas pour le faire. » La Presse (aux ordres) - 5 septembre

Néanmoins, si vous êtes un gouvernement milliardaire à l'infini, vous pouvez donner comme bon vous semble,  et vous aurez en récompense des privilèges (du gouvernement américain évidemment) de diverses formes, exemple des faveurs au plan militaire ou autre comme cela a pu sans doute se produire avec l'Arabie Saoudite. 
Imaginons un instant si ses adversaires n'étaient pas là,  personne ne s'y intéresserait. Cela dit, je ne m'éterniserai pas trop sur le sujet de cette fondation ombrageuse, car j'ai bien confiance que notre mainstream médiatique n'aura bientôt plus le choix de révéler la vérité, toute la vérité sur certaines manœuvres bafouant diverses lois et  amendements constitutionnels de son pays (voir 2è amendement *), d'ici les prochaines élections.  Et quoi d'autres surprises auxquelles personne n'avait pensé.
Et cela de manière à ce que le peuple  soit dûment informé de la gestion questionnable de leur ex-Secrétaire d'État alors qu'elle était en poste.  À mon avis, il serait malhonnête et extrêmement fâcheux que le peuple américain ne soit pas informé (à temps) de ces choses qu'on lui cache par un silence médiatique quasi total,  depuis des mois.

Rappelons-nous que madame Clinton n'a pas donné aucune conférences de presse, donc n'a pas rencontré de journalistes  depuis plus de 275 jours ... ! Ah! peut-être bien qu'elle a dit quelques mots dans un grand rire hystérique  à des charmantes journalistes alors qu'elle a manifesté un étrange  comportement.  
Par contre, toujours à mon avis,  seront complices ceux-là même qui voteront malgré tout pour la candidate démocrate quand bien même qu'on les aura bien informés. 
« Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait.»   - George H.W. Bush, 1992
Et j'ajouterais:  À tout le moins,  ce Peuple ne devrait pas voter pour vous, madame Clinton. - May West, 2016
 * Donald Trump a prévenu mardi (le 9 août dernier) ses partisans lors d'une réunion publique à Wilmington (Caroline du Nord) que si Hillary Clinton était élue présidente en novembre, elle pourrait nommer les prochains juges à la Cour suprême dans le but, selon lui, d'abolir le deuxième amendement de la Constitution, qui concerne le droit de posséder des armes.

Certes, même si j'étais américaine, je ne voterais ni pour l'un ni pour l'autre des deux candidats à la présidence américaine. 

Selon moi, les deux candidats actuels sont aussi dangereux l'un que l'autre. D'abord, la plus populaire, Hillary Clinton,  pour son va-t-en-guerre encore  plus agressif que celui de son précédent. Et, bien sûr,  pour sa soumission  à ses maîtres qui savent qu'elle agira exactement suivant leurs volontés guidée par l'expérience de son mari et son appétit pour le pouvoir, tout devrait bien aller.  

Puis, tout aussi dangereux, peut être Donald Trump, pour si mal se connaître, tout imbu qu'il est de lui-même,  ignorant son ignorance en politique croyant tout résoudre par la simple  magie du  bon sens.

Toutefois, on doutait toutefois des capacités de Ronald Reagan, acteur républicain,  alors qu'il s'en serait tiré  pas si mal après tout. Mais était-il aussi aveugle sur la profondeur de son manque de savoir faire politique? Du moment que son épouse, Nancy, était là pour le guider dans ses nombreuses décisions à prendre, tout allait bien ...    

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

Horoscope poétique

Horoscope poétique
De Rob Brezsny