(3) Inferno: La Charia, les affaires et le mur des lamentations







Au-dessus de l'entrée de la grotte, des stalactiques pendaient  tels des dards. Les parois grouillaient de formes humaines sortant de la pierre, de silhouettes tordues comme si elles naissaient de la roche en fusion. Elle (Sienna) repensa aux suppliciés de La Carte de l'Enfer de Botticelli.   Chapitre 27, p. 157





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Actualités

Quel toupet ...! (Au propre et au figuré) 



Hassanal Bolkiah, sultan du Brunei et l'un des hommes les plus riches du monde, a annoncé mardi (hier) la mise en place dans le code pénal de la charia (loi islamique), qui prévoit notamment la lapidation en cas d’adultère, rapporte l’AFP. *    

Toutefois rien ne dit dans cette loi si la question de l'adultère concernera  les hommes autant que les femmes et vice versa. C'est étonnant quand même qu'un si petit homme ... (voir ci-dessous).  M'enfin. 


Hassanal Bolkiah, sultan du Brunei
en présence du couple Obama


La Chose 

Cela me donne froid dans le dos rien que de penser qu'il s'en est fallu de peu pour que, appuyée par le brillant multiculturaliste, Charles Taylor, la province voisine (Ontario.) ne se laisse convaincre (disons aussi amadouer)  par ses immigrants intégristes, pour mettre en place la Charia  en parallèle à son système de Justice. 

Ici, je ne fais que poser la question: qui nous dit que le premier ministre du Canada, Stephen Harper, n'aurait pas incité les autres provinces à faire de même? 

Avouons qu'on l'a échappé belle. 

Puis un beau jour, un brave homme se présenta devant ses compatriotes québécois en brandissant le code de vie qu’il avait concocté à l’intention des gens de son village, Hérouxville.  

En fait, ce que tout un chacun prit pour de pures élucubrations, à l'époque, n’avait sans doute pas d’autre but que de protéger son village  de l’avènement plus ou moins éventuel, pour ne pas dire virtuel, d‘une chose plutôt bizarre qui s’appelait Charia.

Or puisque que beaucoup de gens ne savaient même pas que cette chose existait, et que bien peu de gens savait exactement de quoi elle se nourrissait, fallait-il aussi qu’il les mette en garde. Au cas où.  Chose certaine, André Drouin a bien fait rire de lui. On l’a même méprisé pour nous avoir pris pour des caves ... Même si ce n'était pas son intention.   

Marois: «Seigneur, éloignez de moi cette coupe ... »   

Puis, quelques années plus tard, le petit peuple québécois se sent de jour en jour, et de plus en plus, envahi par des ciels voilés qu'ont poussés au-dessus de sa tête des vents venus de nulle part.  

Mais, parlons affaires. Jusqu'à aujourd'hui, j'ignorais que l'industrie conforme à la Charia était en pleine croissance au Québec. Dans le milieu, on s'inquiète même,  et avec raison, à savoir si  madame Marois fera reculer les investissements islamiques au Québec  en promouvant sa Charte des valeurs. C'est peu dire. 


Bien qu'on l'ait échappé belle une première fois,  cela ne veut pas dire que ça n'arrivera plus jamais. Or si  on n'y regarde pas de près,  le merveilleux Monde des Affaires québécois frappera-t-il bêtement  le mur des lamentations (en nous y entraînant tous et toutes), espérant profiter de la manne financière islamique? Personne n'est dupe, car chacun sait que ce monde-là est bien capable de laisser s'islamiser le Québec en entier pour faire une cenne.  

En tout cas, j'y vois là une raison de plus de se méfier de notre Arabe québécois, Philippe Couillard qui, mine de rien et cachant sous le tapis la montée de l'intégrisme, semble comprendre mieux que quiconque la dynamique chariatique de faire des affaires, au Canada, s'entend. 
 Expérience personnelle Philippe Couillard a cité l’exemple d’une publicité d’un hôpital ontarien, qui sera publiée lundi dans le journal étudiant de l’Université McGill. L’annonce montre une professionnelle de la santé coiffée d’un hidjab avec le message suivant : « We don’t care what’s on your head, we care what’s in it. » (On ne se soucie pas de ce qui est sur votre tête, mais de ce qui est dans votre tête.)
 « Ce genre de pensées, ce genre de raisonnements, malheureusement, est négatif pour le Québec », estime le chef libéral.     ICI

Si seulement le ton n'était pas si paternaliste ... 


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