Charte: Collision frontale
Robert Laplante, sociologue et directeur de la revue L’Action nationale.
Extraits d'une entrevue qu'il a donnée à Mathieu Bock-Côté sur son blogue. ICI
(Bref) si on ne tient pas compte de cette évidence historique à ce moment précis des débats sur le projet de Charte, on est foutus. C'est la seule vérité qu'il nous reste pour nous aider à rester debout. Et aussi nous permettre de garder la tête froide (dans la rationalité), et non dans l'émotivité qui, elle, finira par nous donner froid dans le dos quand viendra le temps de faire face à la réalité.
Robert Laplante, sociologue et directeur de la revue L’Action nationale.
Extraits d'une entrevue qu'il a donnée à Mathieu Bock-Côté sur son blogue. ICI
« Un bon nombre des adversaires du projet de Charte québécoise ont réagi devant lui comme devant une obscénité. Parce qu’il entre en collision frontale avec le multiculturalisme canadien, ce projet met fondamentalement en cause le rapport du Québec au Canada. Il ne faut jamais l’oublier, le multiculturalisme, comme doctrine d’État, a été adopté pour empêcher la construction du projet national québécois.
Il y a tout de même des limites à faire du pathos sur les foulards islamiques alors que les pays à majorité musulmane en quête de laïcité l’interdisent chez eux.»
(Bref) si on ne tient pas compte de cette évidence historique à ce moment précis des débats sur le projet de Charte, on est foutus. C'est la seule vérité qu'il nous reste pour nous aider à rester debout. Et aussi nous permettre de garder la tête froide (dans la rationalité), et non dans l'émotivité qui, elle, finira par nous donner froid dans le dos quand viendra le temps de faire face à la réalité.
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