Conspiracy: Des nids-de-poules aux sinkholes







Qui a bien pu avoir intérêt à se débarrasser de JFK? 

1. Son successeur, Lyndon B.  Johnson?
2. La CIA?  
3. La Mafia? 
5. Les communistes? 
6. Les conspirationnistes?
7. Sa femme, Jacqueline Kennedy?
8. Fidel Castro?
9. Oswald Parent? 
10. Aucune de ces réponses. 



M'est avis que la piste de l'économie ne devrait pas être négligée.  Comme, par exemple, les grands pétroliers qui avaient peur de perdre de l'argent à cause d'une modification qu'avait faite Kennedy dans les lois sur les taxes pétrolières. 

Mais aussi (et surtout) la banque centrale américaine qui s'inquiétait d'un projet de Kennedy visant à autoriser le gouvernement à créer de la monnaie à hauteur des stocks d'argent de la Réserve fédérale.  Abraham Lincoln avait fait quelque chose du genre et on sait ce qu'il lui est arrivé.   

Bref, si JFK  avait été là encore aujourd'hui, mon petit doigt me dit qu'il aurait été assassiné une seconde fois. 

***

L'affaire n'est pas mince

J'achève. Mais la lecture de Conspiracy continue de me tenir  en  haleine plus longtemps que prévu.  Je me demande même si je ne vais  pas être obligée de le ranger dans mes bagages.  L'affaire n'est pas mince. Au prix que coûte le surplus de poids de bagages sur Air Transat, il est bon d'y aller mollo avec le dos de la cuiller.


Aujourd'hui à l'Aéroport de Montréal 


Parlant de choses et d'autres, on parle beaucoup de nids-de-poules ce printemps. Tous les printemps, c'est la même histoire.  En tout cas, celui qui s'est affaissé dans le stationnement P11, à l'Aéroport de Montréal, aujourd'hui, avait plutôt l'air d'un sinkhole (trou d'évier).  En espérant qu'il n'en poussera pas d'autres ailleurs. Sur les pistes par exemple ...  



***


La conspiration court après l'«Aniaise»

Agnès Maltais, vous connaissez?  Oui, oui, la ministre péquiste de  l’Emploi et de la Solidarité sociale. Bref, celle qui s'occupe des BS, entre autres et par les temps qui courent.  

Eh bien, je suis peut-être la seule à m'insurger, mais on dirait qu'une certaine partie de la population québécoise a une dent (longue) contre elle.  Je m'explique en faisant le plus court possible. 

Depuis l'affaire de l'Auditorium de Québec, avant les élections du 4 septembre dernier,  qu'on s'en prend à elle. On la critique beaucoup. Trop peut-être. En tout cas davantage que tous les autres ministres péquistes actuels. Quand on haï une personne, évidemment tous les moyens sont bons pour la dénigrer.  C'est normal. 

Aujourd'hui, j'ai lu entre autre commentaire qu'elle fera perdre les prochaines élections au P.Q. si elle en faisait encore partie. On sent presque le mépris dans certains propos. Certains déchirent leur chemise. Et ne se gênent pas  pour lui jeter tout le fiel possible au visage.

Coudonc, sa réforme a été mal expliquée, mal comprise, ou quoi?  Même la Protectrice du citoyen l'a sévèrement critiquée. 

Les commentateurs s'emballent. Vous comprenez, une femme, péquiste, et de surcroît lesbienne, ça ne passe pas inaperçue. 

Agnès Maltais passera-t-elle par le bûcher de l'inquisition populaire et/ou machiste, et/ou fédéraliste,  ou et/ou homophobe  avant longtemps?  

Pour l'instant, une dame  est venue à sa rescousse: 
«Où est le 195$ ? 

Faut le faire! La Protectrice a réussi à écrire une lettre de 8 pages en ne mentionnant pas une seule fois que le supplément de 129$ dont il est question peut être maintenu et augmenté à 195$ si on s'engage dans un parcours personnalisé d'accompagnement à l'emploi. (Et les personnes inaptes au travail ne sont pas pénalisées.) Même l'article n'en parle pas.  
           Ça change tout.   Désolant cette information partielle (ou partiale). »  

Désolant, cette information partielle (ou partiale) écrite par Marie-Andrée Chouinard dans Le Devoir, ce matin?  

J'y reviendrai. Peut-être.    

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