La fin du monde (12)

Au commencement du XXè siècle, l'Irlande n'avait pas grand-chose à offrir.

En 1904, quarante mille Irlandais, des artistes et des écrivains pour la plupart,  avaient fait comme Joyce, fuyant un pays pauvre et résigné à ne jamais devenir historique.

En fait, selon VLB, l'exil et l'écriture, ce n'était pas ce que Joyce avait imaginé.

C'est pas moi qui le dis.

Mais ne dirai pas dans quelles pages se trouvent  les fameuses missives-épiphanies (dixit:VLB) à Nora, la mère de ses enfants. Ai jamais rien lu de pareil à ce jour. D'aussi cru. Chose certaine, on est loin du Cantique des Cantiques ... C'est le moins qu'on puisse dire.

Une sexualité exacerbée qui confirme que l'Irlande devait être libre, sans compromis ni compromissions. Après des siècles et des siècles de r'tiens ben.

J'imagine.



Mais ai adoré: Quand on est sujet sujet britannique (comme les Irlandais le sont et les Québécois aussi), on ne traite pas la reine Victoria (à l'époque de Joyce), de foutue vieille salope.

Ne réveillons pas le chat Harper qui dort!

Enfin quelle différence entre la fin du monde et la fin d'une mère reptilienne ... ? Aucune. Les deux ne sont que du bluff.


Prière de ne pas agrandir


Un rendez-vous manqué

Ce dernier week-end. 
Un petite escapade à deux. 
Ni les oies blanches ni les belles Sorelloises n'étaient au rendez-vous. 
Zut, alors!

À suivre

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