«Tu lis trop et tu écris trop. C'est pour ça que tu as mal dans le dos.» Eh ben non, madame la-mère-reptilienne. Vous êtes tout faux. Si j'ai mal dans le dos ces temps-ci de novembre avancé, c'est à cause de l'ARTHRITE.
Maudite arthrite!
VLB. Qu'importe,
mais entre la fiction et la réalité, la place que tient (non pas l'arthrite) mais la poliomyélite
dans la vie de son personnage, Abel, est, à mes yeux, suspecte.
Car comme le dit son ami qui a connu le Deuxième Guerre mondiale, un libraire italien, quand on a résisté à la contagion mussolinienne, on n'a pas peur d'un petit virus comme celui de la poliomyélite. Qui vous rend à coup sûr infirme pour le reste de vos jours. Soit dit en passant.
Tout comme la maladie mussolinienne. D'ailleurs. La mère de toutes les maladies vénériennes des temps modernes. Corruption. Collusion. Construction. Commission. Désinformation. Etc.
Car comme le dit son ami qui a connu le Deuxième Guerre mondiale, un libraire italien, quand on a résisté à la contagion mussolinienne, on n'a pas peur d'un petit virus comme celui de la poliomyélite. Qui vous rend à coup sûr infirme pour le reste de vos jours. Soit dit en passant.
Tout comme la maladie mussolinienne. D'ailleurs. La mère de toutes les maladies vénériennes des temps modernes. Corruption. Collusion. Construction. Commission. Désinformation. Etc.
Bon. Difficile de
dire si VLB invente son histoire au fur et à mesure qu'il frictionne de
potion magique la fiction pure et simple de son roman; ou si c'est sa
vraie vie qu'il raconte, à savoir s'il écrit ce même roman pour s'y
autobiographier. Tout simplement.
VLB a la réponse. Toute faite. «Un gros livre finit (toujours) par vous habiter.! Et voilà où j'en suis. Je suis habitée par ce gros livre vert.
Vers demain. Au mitan de ce volumineux volume.
À suivre
***
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