Les Juifs hassidiques : Pour eux, seuls les commandements de Dieu ont force de loi sur la planète Terre.






 Les Bibles sont les mots de Dieu


« Les lois sont des mots prononcés  par des juges qui disent qui peut vivre libre et qui ne peut pas. Les Bibles ... Les Bibles sont les mots de Dieu qui disent: faites toutes les choses vraiment horribles que vous vous voulez faire, et vous serez pardonnés de toute façon. On en revient toujours aux mots. » 

***


@Le Devoir
Des hors-la-loi, ou quoi, les Juifs hassidiques dans leurs écoles parallèles?  Le ministre Yves Bolduc s'y cassera les dents,  tout comme avant lui  Marie Malavoy (PQ), Line Beauchamp (PLQ), Michelle Courchesne (PLQ).  Et ainsi de suite. 

Bref ci-dessous un commentaire dans Le Devoir qui a retenu mon attention, cette semaine. Inutile de dire que je suis tout à fait d'accord  avec l'auteur que j'appellerai ici Anonyme.  

« Le ministre Bolduc n'aura pas fort à faire, car il ne fera rien!
Même une boule de cristal achetée au magasin à 1$ ne pourrait s'y méprendre. M. Bolduc se pliera au caucus de la solidarité ministérielle et de parti : ils ne feront absolument rien, car un puissant lobby va leur en donner l’ordre.
Les Juifs hassidiques ne savent lire que dans leur propre bréviaire. Ce n’est pas l’État israélien et encore moins l’État québécois qui va leur montrer à respecter des lois qu’ils ne reconnaissent pas. Pour eux, seuls les commandements de Dieu ont force de loi sur la planète terre.  
Nous les mécréants, les impies, les Intouchables, ne pesons pas lourd dans l’estime divine. Eux sont ces possesseurs tranquilles de LA Vérité avec qui il est impossible de dialoguer : " Ces gens sont comme prisonniers d'une cage de verre, étanche et transparente: de l'extérieur, ils ont l'air d'être comme tout le monde, mais quand on leur parle, notre voix ne leur parvient pas." (SIRIM : Société Internationale de Recherche Interdisciplinaire sur la Maladie) 
Inutile d’ajouter qu’ils n’ont pas le monopole de l’intégrisme. Tout au cours de l’histoire guerrière de l’homme, chrétiens, musulmans et tous les autres ont pris un malin plaisir au nom de LEUR Dieu à massacrer leurs infidèles. Les pires charniers de l’histoire ont très souvent été édifiés au nom de Dieu.  
Un État religieux est un passeport garanti vers le trouble social et le totalitarisme. Absolument inutile donc d’essayer de faire entendre raison aux détenteurs de la vérité suprême. De toutes manières, ce n’est pas cet infidèle de Bolduc qui va leur dicter leur conduite. Ils n’ont de devoir qu’envers LEUR Dieu. Tenons-nous le pour dit, une fois pour toutes! »  
Nous,  les apostats, les cathares, les hérétiques, les impies, les infidèles, les laïques, les mécréants, et j'en passe, faisons-nous aussi partie du plan de Dieu?   Nous qui n'avons pas été élus par Lui? 

***


Des manifestants réclament une enquête fédérale sur la disparition de dizaines
de femmes autochtones  au pays au cours des dernières années
 (archives).
  Photo :  Frederic Pepin
Le gouvernement conservateur a refusé, jeudi, de céder aux appels répétés pour la tenue d'une enquête publique sur les meurtres ou les disparitions de femmes et de filles autochtones en dépit d'un reportage laissant entendre qu'il pourrait y avoir beaucoup plus de cas que ce qui avait été estimé.

Le ministre de la Sécurité publique, Steven Blaney, a de nouveau été pressé de déclencher une enquête après que le Réseau de télévision des peuples autochtones (APTN) eut rapporté qu'il existait peut-être plus de 1000 cas de femmes autochtones assassinées ou portées disparues au Canada. La réponse de M. Blaney peut se résumer à un seul mot : non.  

Dès qu'il est question de femmes autochtones traitées injustement par la justice, le gouvernement canadien et sa police fédérale, cela me met en rogne.  À chaque fois, je ressasse en boucle la façon inhumaine dont la GRC, le bras policier de ce gouvernement anglo-saxon dominateur,   avait ignoré pendant  des années le sort des victimes en majorité autochtones du tueur en série, Robert Pickton. 

Alors qu'aujourd'hui, dans l'affaire qui nous préoccupe, il s'agit probablement d'un tueur si proche près de chez-vous ... 

À suivre. 

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