À l'aube du Nouvel Ordre mondial: les Jésuites




Chapeau, VLB!


Wagner, l'inventeur de la musique de l'avenir,  
ce va-nu-pied célèbre par ses échecs,
l'ennemi de Mendelssohn et d'Istraël!

La coupe d'insultes déborde quand les Jésuites,
qui aiment bien s'occuper de politique,
envoient leurs ambassadeurs auprès de Wagner à Munich.
Que veulent-ils?

« Les Jésuites souhaitent utiliser Wagner pour obtenir
l'appui du roi Louis II en faveur d'un royaume rhénan
et  westphalien qui engloberait une partie de la Belgique.

Les Jésuites sont financés par une banque (Rosthchild ...?) de
crédit agricole dont l'activité s'étend jusqu'en Autriche.

Le diplomate chargé de conduire les pourparlers
est un intime de Franz Lizst! »  p. 383

Franz Lizst était  le père de Cosima. Et cette dernière, la femme de Wagner ...

La Jésuiterie à l'oeuvre

Je me doutais bien que  l'anguille sous roche  cachée derrière le titre de l'ouvrage colossal de Victor-Lévy Beaulieu,  allait sortir de sa cache d'un moment à l'autre. 
 
Il a bien fallu que ces Jésuites-là, soit dit en passant  nos futurs Maîtres du Monde,  grenouillent terriblement à l'époque de Nietzsche et de ses amis, dont Richard Wagner et combien d'autres, et manient avec art, ruse et cruauté   toute leur  panoplie de tractations et de coups tordus, sataniquement planifiés,  ayant pour but d'y implanter leur projet éventuel de domination mondiale.  
 
Tout le monde connaît aujourd'hui l'expression Nouvel Ordre mondial, cet organisme plus ou moins occulte  qui contrôle notre existence de A à Z depuis des générations.   Bref, il est bien normal que cela ait commencé quelque part sous la férule des Jésuites qui depuis le 16è siècle en menaient bien large en Europe.
 
Mais où est, non pas Charlie, mais Nietzsche dans tout ce fatras ?  À sa chère Samm, l'auteur s'excuse de faire si long sur le grand musicien, car c'est en lisant  sur Richard Wagner que VLB a compris pourquoi Nietzsche en a fait son Père,  et pourquoi il l'a tué pour ne pas avoir à se suicider.
 
C'est là,  que sous des détours relatant à n'en plus finir sa propre vie mouvementée,  VLB nous mène en bateau, pour ne pas dire en enfer  à la façon d'un véritable polar.  En fait, exactement comme je les aime.
 
À suivre.

Comptez sur moi!

***




Et pour ça aussi, à suivre. 
 

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