L'Argent du monde : Ce monde s'appelle la richesse








«Sans le savoir, les chrétiens avaient raison, 
songea Brochet avec un sourire. 
Il existe un autre monde où on peut mener 
une existence de rêve, à l'abri des tracas 
et des vicissitudes de la vie quotidienne. 
Ce monde s'appelle la richesse.» 






Mon nouveau livre m'est tombé dans l'oeil depuis un bon moment.  M'a été  suggéré par un auteur précédent dont je ne me souviens pas du nom.

L'Argent du monde écrit par Jean-Jacques Pelletier, un thrillerman québécois a été publié en 2001 dans une première édition.   Un ouvrage qu'on a qualifié  à l'époque   d'anticipation.  Mais puisqu'il faut  remettre les pendules à l'heure,  on peut dire que ce qui a été anticipé en 2001 s'est transformé depuis en réalité profonde aujourd'hui, en 2013.

Je suis convaincue que je vais tout simplement adorer.  Sauf qu'il faut que je me grouille. Je n'ai que trois semaines pour le lire ... Dans un premier temps, s'entend.

***

8 avril 2013: un lundi noir  

Entre l'évasion fiscale à échelle mondiale et Margaret Thatcher, il n'y a pas vraiment de différence. Le néo-libéralisme lie les deux entités comme deux gouttes d'eau qui se mélangent, se mêlent et s'entre-mêlent.

« Je ne connais pas le citoyen, je ne connais que le consommateur. »
Margaret Thatcher 



De la Terre au Paradis: la Dame de fer
Lundi soir dernier, j'ai été quelque peu déconcertée de voir que deux des  animatrices de télévision, Anne-Marie Dussault et Céline Galipeau,  étaient toutes deux vêtues de noir. Il aura donc  fallu que Radio-Canada reçoive l'ordre venu d'en haut, du bureau du PM canadien, Stephen Harper, par exemple, pour que le personnel attitré aux  informations télévisées soit  invité à porter le deuil du décès de la Dame de fer.


Bien  que ces relents du syndrome du colonialisme britannique soient terriblement agaçants à la longue, il faut tout de même reconnaître qu’en son temps, la Dame de fer aurait reconnu un Québec indépendant.   Qui l'eût cru de mon vivant!

***

San Francisco, quelle vue ...!

De retour de Cuba dans la nuit de dimanche à lundi, cette semaine, ce n'est pas à bord d'un Airbus A-380 qu'on a atterri à l'Aéroport de Montréal.

Mais j'avoue que, malgré le fait que notre atterrissage s'est superbement bien passé,  j'aurais aimé être à bord de ce géant des airs de la Lufthensa atterrissant à San Francisco.

Frissons garantis.

Est-ce un peu cela le monde de la richesse ...?

Merci Lora



À suivre

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