L'Argent du monde : Downton Abbey, le dessert de nos beaux samedis soirs












Il devenait urgent de se renseigner davantage
sur ce mystérieux Consortium.   
S'il était aussi implanté qu'il le paraissait 
dans le trafic d'armes, le commerce de la drogue 
et le blanchiment d'argent, la prudence la plus élémentaire exigeait de les avoir à l'oeil. 




Ô,  Fantasmes qui nous égarent ... !

Ou bien nous délivrent du mal que l'on se fait à soi-même.  C'est selon.  Quoi qu'il en soit, le terme fantasme peut signifier en psychologie une vision illusoire ou situation imaginaire; et en sexualité, une situation imaginaire érotique ou sexuelle. 

Claude Brochet avait donc trouvé un endroit où garer sa BMW. 

Je savais que longtemps considérés comme tabous voire honteux, les fantasmes sont aujourd'hui bien mieux assumés par les femmes.  Mais  qu'est-ce qui peut bien pousser un homme à se rendre dans un endroit où sans un mot, on l'amènera dans une petite pièce où il n'y aura qu'une chaise de métal pour tout mobilier.  

Où, là, bien assis on lui attachera les poignets aux bras de la chaise. Puis, lui enroulera  une corde autour du torse afin de bien l'immobiliser contre le dossier et enfin lui  fixera les jambes aux pattes de la chaise. 

- Même chose que d'habitude, Monsieur? lui demandera-t-on. 

- Oui. 

Au bout d'une demi-heure,  le bourreau aura fait tellement du bon travail que dès le troisième coup reçu, Brochet sentira la pleine force de son érection.  Et dès le septième coup,  il sera incapable de se contenir. Sa jouissance  sera telle qu'elle explosera dans une brève série d'éjaculations qui lui feront presque perdre conscience. . 

Brochet avait imaginé au début de cet étrange rituel qu'une équipe de footballeurs se ruait sur lui.  Tous les goûts (pour les fantasmes) sont dans la nature, faut-il croire.   

***

Un cliché maudit



Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir
La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy
C'est à la fois la réplique de la semaine passée doublée d'un mot d'esprit et de la déconstruction instantanée d'un cliché maudit. 

Mercredi dernier, en chambre, Nathalie Roy, de la Coalition avenir Québec, questionnait la ministre de l'Éducation Marie Malavoy: «La ministre ne devrait pas permettre aux commissions scolaires de taxer davantage les contribuables. Il est encore possible d'éviter aux Québécois une hausse de taxe scolaire. Alors, quand la ministre va-t-elle mettre ses culottes et cesser de sous-traiter aux commissions scolaires des augmentations de taxes?»


Réponse de Mme Malavoy : «M. le Président, je ne suis pas obligée de mettre mes culottes, je suis capable de prendre des décisions avec une robe

Joli, non?

Source: Antoine Robitaille, Le Devoir 

***

Une lady à Tout le monde en parle, hier soir 




On commençait à l'aimer dans son rôle de lady,  mais, là, on l'adore tout bonnement dans son rôle d'actrice internationale. Elle est venue à Montréal un ou deux jours expressément pour passer à TLMP. C'est vêtu de façon contemporaine que Laura Carmichael, l'interprète de Lady Edith Crawley dans la série britannique Downton Abbey, nous rend visite. 
La jeune actrice qui, à part quelques petits rôles, a dû occuper divers emplois pour survivre après sa sortie de l'école de théâtre, parle de la chance inouïe qu'elle a eue d'être sélectionnée pour jouer dans une série de cette envergure. Véritable phénomène de la télévision anglaise, Downton Abbey est diffusée dans plus de 200 pays, dont le Canada. 
Une série qui nous prend à son piège tissé de rôles plus touchants les uns que les autres et d'intrigues de château  qu'on ne veut pas manquer pour tout l'or du monde. 



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