Jésus: Un fou incurable


Eh bien, récapitulons.  

Jésus n'a pas fondé le christianisme.  Loin de là. Il n'était même  pas chrétien. P. 308 On dit dans les Évangiles qu'il avait tendance à être plutôt juif pur et dur.   On l'appelle le Christ. Sauf qu'on ne sait pas pourquoi. Christ était un nom courant, à l'époque.  Cela n'a rien à voir avec la vérité. Mais allez savoir.

J'irais  encore plus loin,   il était aussi juif apocalyptique,  c'est à dire qu'il prétendait  que Dieu descendrait  sur terre le Jour du Jugement dernier.

Dans son esprit dérangé, (je ne vois comment on pourrait le dire autrement,  même dans sa famille, on le croyait fou ...) ce jour-là aurait pu être  demain. Et pourquoi pas hier?  

  Qui ne sait recevoir en paix les châtiments divins, est un fou incurable. dicocitations.lemonde.fr/
 
 Alors, il ne faut pas en faire un plat ni prétendre le contraire. Même le grain de sel qui pourrait nous empêcher de croire ces allégations refuse net,  ici,  de germer quoi que ce soit de logique et de sensé dans nos cerveaux.   
 
Cela dit, je n'en reviens pas de voir à quel point  l'achalandage, pour ne pas dire  la  curiosité,  pour  mon petit blog précédent   sur le thème de ce super homme.  Moi, qui le croyais un  saint homme.  
 
L'éditeur avait bien raison de nous mettre en garde dans sa présentation sur la Quatrième page.   Il fallait s'y attendre car, certes, on y perd plus que son  latin dans cette histoire, et  en revanche nos certitudes en prennent un coup. 

Alors  pourquoi donc nous avoir nourris pendant des décennies, voire des centaines d'années,  à l'aulne de pareille désinformation?  
 
Enfin, le héros de cette saga, historien du Nouveau Testament de sa profession,  ne s'appelle pas Tomas pour rien. Personne y a peut-être songé,  mais Saint-Thomas lui aura certes   insuffler un bol de scepticisme, que cela ne me surprendrait pas. 

À suivre.
 
*** 

L'insaisissable  femme


Hillary Clinton

 Ce n'est pas un secret pour personne, mais les Américains, en plus d'avoir fait la guerre à de nombreux pays étrangers qui ne leur avaient rien fait de mal,  se font aussi et cela depuis toujours, la guerre entre eux-mêmes:  démocrates contre républicains et vice versa. Comme de fait, c'est précisément là où l'on en est aujourd'hui,  aussi bien dans la fiction que dans la réalité. 

Or, si cette femme  qu'on protège avec tellement de zèle et de dévotion depuis des années (ici on ne peut s'empêcher de penser  à un certain au mémorandum...),  ne va pas finir ses jours en prison pour ses innombrables crimes et la corruption qu'elle cultive avec grand art,  ma foi, il est juste  de concevoir  que ce pourrait être l'un de ses clones qui iraient en prison  à sa place. 

 On la dit «teflon» car  rien ne l'atteint et  rien ne l'arrête.

**

Bizarre, non,  qu'à la page 373 de mon bouquin,   le professeur Arpad Arkan dont le Centre de recherche moléculaire avancée, situé à Nazareth,  en Israël,  a beaucoup de projets et d'expériences en cours sur des  d'animaux y compris  préhistoriques.      

D'ailleurs, c'est ainsi que ce dernier  en arrive à dévoiler aux  enquêteurs d'une affaire présumée criminelle  qui les occupe en ce moment, et qui ont fait  à ce jour trois  victimes à avoir été égorgées,   l'un de ses secrets scientifiques les mieux gardés, dont celui de cloner des humains.        

Quelle drôle de coïncidence!

Mais, soyons réaliste. Pour en revenir à notre brebis galeuse (lire ici une personne pernicieuse et corruptrice),   cette dernière aurait dit:   "Si nous perdons les élections,  nous serons tous pendus".  N'est-ce pas, là, des paroles qui confirment  la preuve de sa culpabilité?  

Mais, ne l'oublions pas, cela reste toujours dans le domaine de la fiction.

À suivre. Et fin.
 

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