Jésus: Un humain inhabituel

Éditions Hervé Chopin, Paris, 2013

Jésus de la Bible était un humain inhabituel avec une mission de vie très importante, et avait trois âmes: Sananda, El Morya et St. Germain.

Obama a l'âme de Sananda.

Trump a l'âme de Saint-Germain.

Qu'en est-il de l'ultime secret du Christ? Du calme. Nous n'en sommes pas encore là. 

« Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne 
et que ta volonté soit faite.» p. 290 

Néanmoins l'auteur nous met en garde. Il nous invite à faire attention au sens des mots. «Notre Père qui es aux cieux? Il n'est donc pas sur terre? Dans ce cas qui s'y trouve? Le diable, bien sûr.»

N'est-ce pas troublant? Or, à l'instar de Valentina, je n'y avais jamais porté attention plus qu'il ne faut. Mais, il m'arrive en ce moment de lucidité de réaliser et de comprendre enfin ce que Jésus a voulu dire.

Le «Notre Père», prière centrale du christianisme, serait-il  une prière apocalyptique? se demande l'auteur? Celle des juifs implorant Dieu de descendre sur terre afin d'imposer «Sa volonté» qui ne règne pas encore sur terre, puisque le monde depuis des millénaires,  ne l'oublions pas, est entre les mains de Belzébuth.

Et qui d'autre que ce Belzébuth contrôle et gouverne depuis toujours, encore aujourd'hui,  notre monde et notre planète Terre? Eh bien, je crois que nous y sommes si l'on compare Belzébuth  à nul autre que notre Satan si populaire, par les temps qui courent.  

«Mais délivre-nous du mal!»

Ces mots, combien de fois, ces derniers mois, ainsi qu'un mantra, les ai-je répétés dans ma tête,  lors de chacune de mes petites marches  à pied quotidiennes,  ne sachant pas trop à quoi cela rimait vraiment. 

Eh bien,  il arrive qu'en ce moment,   sans trop le réaliser et sans trop s'en rendre compte,  on a vaguement l'impression que l'Humanité est en train de se secouer les puces.

À suivre. Évidemment

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Avertissement de l'auteur: Toutes les données historiques et scientifiques (dans ce bouquin)  sont vraies.

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Le PQ a choisi son camp : « le progressisme et l’indépendantisme »

« Il faut avoir des rêves assez grands

 pour ne pas les perdre de vue

pendant qu’on les poursuit »

Véronique Hivon 

Après des années de « culpabilisation de l’identité québécoise », le Parti québécois promet d’ériger « un État fort aux services des gens, un État fort pour réussir l’indépendance [entre 2022 et 2026] », a martelé le chef péquiste, Jean-François Lisée, au cours du week-end. 

La remise en forme de l’État québécois est une condition sine qua non à la concrétisation du projet de pays, selon lui. « Depuis 15 ans, les libéraux ont fragilisé notre État. Ils ont fragilisé notre système de santé. Ils ont fragilisé notre système d’éducation. Ils ont fragilisé notre système de justice. […] Ils ont fragilisé notre identité. Alors, c’est difficile de demander à un peuple, qui a été fragilisé, de se sentir assez solide pour faire un pas aussi grand que celui de l’indépendance », a-t-il averti samedi.

 

« Il faut avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu’on les poursuit », a renchéri la vice-chef péquiste, Véronique Hivon, dimanche.

Source: Le Devoir