@L'Observateur |
Moi aussi, je
suis en colère contre tous ces
gouvernements fantoches et serviles, qui à l'instar de celui de la
France, sont venus instrumentaliser cet événement hyper tragique afin de politiser et d'occidentaliser cette
marche pacifique.
Quant aux Français,
une opinion traumatisée (Le Devoir), on leur a
volé leur émotion et on a tué leur recueillement. On a aussi pulvérisé un élan pacifique et commun
comme ils en avaient plus vu depuis une décennie pour en faire un ralliement de
laquais, prêts à tout pour plaire et satisfaire leurs maîtres et leur gouvernement de l'ombre.
@ L'Observateur À noter le regard noir de Netanyahou |
« La grande "marche
républicaine" contre le terrorisme a réuni une rangée extraordinaire de
dirigeants du monde entier, ce 11 janvier, à Paris. Ici, de gauche à droite, le
Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, Nicolas Sarkozy, le président
malien Ibrahim Boubacar Keïta, un policier, François Hollande, la chancelière
allemande Angela Merkel, et le président palestinien Mahmoud Abbas.» L'Observateur
« Je ne crois pas à la théorie du complot, mais je ne
crois pas non plus à la théorie officielle. », disait Roland Dumas.
Néanmoins rien qu'à voir le regard noir que pose vaguement Netanyahou à gauche sur la photo, on ne peut s'empêcher de penser qu'il
pourrait peut-être bien y avoir un lien
entre l'attaque de Charlie Hebdo et la connexion du Mossad. Israël
aurait-il laissé échapper sa colère pour la reconnaissance de l'État de
Palestine par la France? Je vous le laisse en mille.
Moi,
je ne suis ni Charlie, ni Hebdo (c'était qui celui-là ...???). Non mais, je suis plutôt du côté de la
France. La vraie. Et pas du tout européenne pour deux sous. Je suis française de souche, et fière de
l'être. Mes ancêtres étaient des Bretons
et des Normands. Alors pardonnez-moi cette petite exploration dans le catalogue des théories du
complot. Merci d'être indulgents à mon égard.
Un peuple uni, a-t-on entendu réclamer par son président dans les
heures qui ont suivi cette terrible tragédie. Uni peut-être, mais certainement pas pour la
France entière puisqu'un quart des Français aura été exclu de ce grand rassemblement
suggéré par ce président aux abois depuis un bon moment: semblerait que jamais auparavant, un président français n'avait été aussi bas dans les sondages. Or parmi eux, nombreux sont ceux qui voient avec effroi
et désolation leur France se dissoudre lentement
mais sûrement, dans le vaste amalgame européen. Lire: à vitesse grand V.
@L'Observateur - Relaxe, Angela! C'est bientôt fini. Tout est sous (mon) contrôle, |
Unis pour l'Europe à tout prix, bien que pas tous n'en sont convaincus, d'abord à l'instar de ce couple lié par les mêmes craintes et contraintes, sans oublier la lourdeur des mêmes secrets, bien sûr.
Puis ces manifestants rassemblés pour dire leur refus d'un terrorisme télécommandé et commandité par ceux-là même qui veulent leur bien, mais il est interdit d'en parler ... En effet, soudés et solidaires, en France comme partout ailleurs, le sentiment prévalant qui a fait se mobiliser autant de gens de diverses nationalités, était celui de revendiquer de se libérer de la haine, de la violence terroriste, de la guerre. Mais en tête du cortège se trouvaient justement certains des principaux responsables des politiques qui ont conduit à tout cela.
Enfin, on l'a bien vu, tous sont néanmoins bien tristement rentrés chez eux. Mais combien d'entre eux avec en plus la peur (de l'avenir ...!) dans le ventre. Comment y échapper alors que leur président, François Hollande, leur a promis d'autres attentats? Du nouveau, tiens!
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