Sous la surface: Des mystères aux mille pattes



Un thriller d’une puissance et d’une virtuosité exceptionnelles, dans lequel Martin Michaud nous entraîne dans le Massachusetts. La veille du Super Tuesday, jour crucial des élections primaires américaines, l’écrivaine et ancienne top-modèle Leah Hammett débarque à Lowell avec son mari, Patrick Adams, candidat favori à l’investiture démocrate. Vingt-cinq ans après avoir quitté sa ville natale sans jamais y revenir, Leah voit son passé ressurgir avec violence, une violence aussi forte que les espérances qu’il suscite…
Commence alors un jeu de miroir où les apparences tissent une toile complexe qui dissimule une vérité oppressante et noire. Drames, histoires d’amour tragiques et trahisons deviennent l’épicentre d’un ouragan, celui qui dévaste l’existence de chaque personnage et remue, sous la surface, les arcanes du pouvoir, à Washington…  
Un autre suspense comme ceux que j'aime. Washington ...! Le mot me titille les papilles d'excitation. C'est toujours sous les surfaces que se cachent les pires mystères. Des mystères aux mille pattes. Des mystères qui étonnent et qui passionnent.   

Bienvenue Sous la surface

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Échange ou partage? 

Eh bien, commençons par le commencement. Pourquoi le Québec investit-il dans un mégaprojet au coeur de Toronto? 


Une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec a établi un partenariat avec le gouvernement ontarien pour la construction d'une tour de bureaux, d'un nouveau terminus d'autobus et d'un parc au-dessus des voies ferrées au centre-ville de Toronto.

Alors qu'avec notre argent (Caisse de dépôt et placement du Québec) on participera à un méga projet de splendides tours d'affaires, dans le centre-ville de Toronto, ici au  pays des porteurs d'eau,  on pataugera dans la litière des sables bitumineux qu'on veut nous imposer à tout prix.   Est-ce de cette façon qu'on veut faire de nous des Ontariens moyens, une expression lue quelque part dernièrement? 

Mystère aux milliards de pattes, il va sans dire.  

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Les va-t-en-guerre contre les Sarrazins


À moins d'y perdre la tête, cette guerre contre les Sarrazins (EI) dans laquelle Stephen Harper s'engagera au nom de tous les siens, mais pas du nôtre, pourrait bien durer plus longtemps que prévu.   

Mais qu'importe, ce n'est plus un secret (tiens, tiens Pégase n'est pas loin) pour personne. Il est clair que le Templier nouveau espère y trouver, là,  son Graal  lors de la prochaine Grande Élection fédérale, en l'an 2015 après Jésus-Christ. 


Même chose plus au sud où pour Barack Obama aussi, il s'agit d'élections de demi-mandat d'une très grande importance, puisqu'il s'agit impérativement de préserver la majorité démocrate du Sénat américain.  

Le président des États-Unis refuserait d'assumer la responsabilité des images diffusées sur Internet montrant les journalistes américains décapités par des monstres en tenues noires, alors il blâme les autres, notamment la CIA pour avoir sous-estimé la capacité du groupe État islamique.   À suivre. 

De la démocratie au chaos et à la barbarie  

La démocratie qu'on nous vante tant a, apparemment, une faille qui lui est fatale : la crédulité des masses.  Regardons-nous, a observé le très controversé, Michael Ellner 

« Tout est renversé, tout est sens dessus dessous ; les médecins détruisent la santé, les juristes détruisent la justice, les psychiatres détruisent les esprits, les scientifiques détruisent la vérité, les grands médias détruisent l'information, les religions détruisent la spiritualité et les gouvernements détruisent la liberté. »  

Alors, cessons de gober toute cette propagande ! Ressaisissons-nous! Si cela vient des médias occidentaux officiels, la vérité est probablement l'exacte opposée de ce qu'ils disent. N'oublions pas ce principe de base ! 


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La théorie du papillon

Je termine en citant cette réflexion de l'héroïne du suspense, que je lis en ce moment:
« J'ai toujours été fascinée par la théorie de l'effet du papillon, qui est souvent résumée par une question: le simple battement d'ailes d'un papillon peut-il déclencher une tornade à l'autre bout du monde? » p. 175
Un mystère aux mille pattes ou une (vieille) théorie à la mode reprise souvent dans la littérature contemporaine? En ce qui me concerne, c'est en lisant La Formule de Dieu, que j'ai pris connaissance de cette théorie pour la premiere fois. 

Et de m'en servir à mon tour, en écrivant ceci ici : « Il y a mille et une manières d'appréhender l'existence de Dieu. Pour Einstein, c'était dans le battement des ailes du papillon qu'on pouvait ressentir jusqu'à l'autre bout de la planète. »

Enfin, l'autre jour, mon amie Jo et moi marchions sur le parcours d'un petit terrain de golf situé non loin de chez moi.  Il faisait un soleil éblouissant; l'air était d'une douceur infiniment agréable; et il faisait si bon d'avoir encore la chance de jouer au golf, à ce temps-ci de l'année. 

Chemin faisant, d'un trou à l'autre, l'idée de l'effet du papillon m'est soudainement revenue à l'esprit. J'en ai  fait part à mon amie, en lui confiant toute l'énergie qu'il pouvait y avoir dans un battement d'ailes ... de papillon qu'on pouvait même le sentir jusqu'à l'autre bout du monde. 

Étonnée par ma remarque, en fait, sortie de nulle part, j'ai été déçue par son scepticisme. J'aurais aimé qu'elle me croie sur parole car il s'agissait tout simplement pour moi,  d'y voir, là,  une façon parmi mille d'appréhender l'existence de Dieu.   C'est pour dire.  Je n'ai pas osé aller si loin. 

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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