Sous la surface Ebola rôde (again) dans la fraude?




«  L'Amérique  meurt. L'Amérique  est morte quand Oswald a tiré sur Kennedy, Hinckley sur Reagan, quand Chapman a assassiné Lennon, quand les avions ont embouti les tours jumelles, quand les frères Tsarnaev ont fait exploser des cocottes-minute au marathon de Boston, quand Colin Stavanger a été élu président et des milliers d'autres fois encore. 

Et chaque fois qu'elle meurt, elle m'emporte. Mais l'Amérique revit et se relève. Et quand l'Amérique ressuscite, je ressuscite avec elle ... »  p. 345

Moins volumineux que d'autres que j'ai lus avant, Sous la surface est l'un de ces suspenses que j'ai lus à la vitesse grand V. La mienne bien entendu.  Je termine avec presque un brin de tristesse, c'est peu dire. 

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Le cheval de Troie du salafisme






C’est sans doute parce qu’il fait profession de mémoire que l’historien et  enseignant Jean-Charles Jauffret, heurté par la vue d’une de ses étudiantes portant le niqab, lui a lancé – l’imprudent – : « Vous êtes le cheval de Troie du salafisme. » 

À ces mots, l’étudiante, choquée, a quitté l’amphithéâtre, suivie par quelques bonnes âmes solidaires. Il faut dire que la scène se passe à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, une de ces fabriques de l’antiracisme inquisitoire. 

La direction de l’établissement, il va sans dire, n’a pas perdu de temps pour exprimer son soutien à la jeune fille, même si elle n’a pas osé déchoir Monsieur Jauffret de ses droits constitutionnels. Inutile, le pauvre homme s’est condamné lui-même à une forme plus sournoise d’ostracisation.   Lire la suite

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La cour du roi Pétaud   

Si j'avais des chats, c'est certain qu'ils vivraient comme des princes et des princesses. Car avec les chats, on ne peut faire autrement que de les laisser commander ... 

Mais, à part d'en avoir parfois dans la gorge, ce n'est pas de chats qu'il s'agit ici aujourd'hui, mais d'humains en crise avec eux-mêmes et avec leur monde.  Une vraie cour du roi Pétaud! Ce monde-là dans lequel tous les sujets sont maîtres des lieux. 

Rappelons-nous seulement la dernière fois que la Dr. Margaret Chan avait déclaré la grippe H1N1, "pandémie" universelle, qu'il fallait  absolument éradiquer et s'en préserver à coups de vaccins obligatoires actes dûment signés par  contrats ...  La  panique générale, vous vous rappelez? Je m'étais jurée qu'on ne m'y reprendrait plus. 

Eh bien, l'organisation mondiale de la santé, par la voix de son directeur le docteur Margaret Chan, a sonné l'alarme lors d'une conférence de presse le 13 septembre, alertant qu'Ebola devenait hors de contrôle en Afrique de l'ouest.    

« Dans les trois pays les plus touchés, la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone, le nombre de nouveaux patients évolue plus rapidement que les capacités de prise en charge » avait avertit Chan. L'OMS annonça que près de la moitié des 301 personnels soignants ayant pris en charge des malades d'Ebola étaient eux-mêmes décédés ainsi que 2400 personnes sur les 4784 cas déclarés en Afrique. Le 08 Août, Chan avait déclaré la situation africaine liée à Ebola : « urgence de santé publique de portée internationale »

Un problème majeur pour Chan et ses bailleurs de fonds, cependant, c'est que leurs statistiques d'Ebola sont très douteuses.   Pour ceux qui ont la mémoire courte, c'est la même Dr Chan qui s'était rendue coupable d'avoir déclenché une panique mondiale en 2009 dans le but d'écouler des vaccins non testés du virus de la grippe H1N1. 

Elle avait pour cela déclaré l'état de pandémie globale en utilisant des statistiques qui prenaient en compte tous les symptômes de la grippe commune comme étant des cas de H1N1 : le nez qui coule, la toux, les éternuements et les maux de gorge.  Au secours! 

Ce changement dans la définition des symptômes de la grippe H1N1 avaient permis de gonfler les statistiques et de déclencher l'état de pandémie globale. Il s'agissait d'une fraude totale, d'une fraude criminelle, sciemment ou non (elle pourrait simplement être stupide mais l'évidence suggère plutôt l'inverse), pour le compte des cartels pharmaceutiques américains et européens. 

Toutefois, si jamais  Ebola était aussi sérieux que le déclarent les autorités mondiales, en commençant par la Dr Chang, me semble que la moindre des choses serait d'y mettre le paquet (et l'avoir fait depuis longtemps), comme on dit: moins d'argent dans les guerres, plus d'argent dans les moyens médicaux pour sauver des vies de ce fléau. Et par la même occasion enrayer la pauvreté de ces pays qu'on vide de leur sang en les dépossédant de leurs ressources naturelles.   

Mais comme le hasard fait bien les choses, en Amérique, c'est au USA qu'Ebola a décidé de frapper le plus fort ... à la porte du Texas, notamment. Mais est-ce vraiment un hasard?  L'avenir de plus en plus prochain nous le dira.  Mais ne nous inquiétons pas, les drones anti-virus sont près à l'attaque de ce monstrueux virus qui pourrait bien nous submerger. J'ai bien dit "pourrait"...

À suivre. 

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

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