L'Amérique: Qui la sauvera d'elle-même?

 

  L'Amérique en plein désarroi

 

 

Photo: J. Scott Applewhite Associated Press Via Le Devoir

 

 

 Si les Américains rendent les armes,  comme certains êtres malveillants le voudraient, elle sera prise au piège qu'on lui aura tendu. Personne ne pourra la sauver.   

L'énigme est simple. Le problème n'est pas celui qu'on pense.  Il est ailleurs. Et plus profond. D'une façon ou d'une autre, ils ne pourront pas s'en séparer ni se passer des armes.  Parce qu'ils seront vite à la merci des maîtres du Deep State khazarien  qui prend par tous les moyens pour arriver à ses fins  de sorte que son plan diabolique réussisse. Donc, le massacre de masse est particulièrement prisé  par ces êtres sans âme, programmés pour contrôler notre monde jusqu'à la fin des temps.

 

Hélas! de l'extérieur, on a l'impression  que les jeunes et une grande majorité d'adultes ne comprennent pas le terrible dilemme dans lequel ils se débattent.  Par ailleurs, se rendent-ils vraiment compte qu'on se sert d'eux (par attentats ciblés,  terreur et odeur de soufre garantis) pour établir quelque chose qui les dépasse,  et finira par  les emprisonner  dans les griffes de la chape de plomb infernale,    qu'on a créée pour eux.  Savent-ils qu'ils deviendront pour longtemps,  les esclaves de cet ordre mondial dont tout le monde  parle, mais peu connaissent?

 

Bien sûr que l'Amérique est en plein désarroi.

 

Debout  dans la tourmente, le peuple américain découvrira-t-il la meilleure sortie de ce tunnel obscur, dans lequel ils sont empêchés de voir clair,  entre le choix de persévérer une improbable  sérénité ou la paix serait bienvenue, ou encore le sombre avenir d'une division de la nation,  spécifiquement fabriquée,  en perspective d'une prochaine guerre civile? 

 

Ce qui me fait dire qu'il faut aussi rappeler qu'une majorité de Démocrates se sont convertis  à la religion de ces satanés criminels qui consiste, à mon point de vue,  (et je me répète) à détruire l'Amérique.    Doit-on, ici,  les qualifier de traîtres à la nation pour cela ?  Je vous laisse y réfléchir.

Aussi:   

Plus d'armes à feu, moins de crimes      

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Et pour terminer

Parlant de la volonté des Démocrates qui veulent débarrasser le peuple américain de ses armes, mais oubliant qu'il leur faudra, eux aussi,  les remettre ... Anna Von Reitz, juge, Alaska

Mais au lieu de cela, ils veulent nous prendre nos armes et «enfreindre» nos droits de nous protéger et protéger nos familles. 

Personnellement, je pense que tous les démocrates, les progressistes et les communistes en Amérique qui veulent abandonner leurs armes devraient être autorisés à le faire. Et ils devraient être tenus de payer une lourde taxe pour laisser la responsabilité de leur propre protection à notre police et à leurs voisins plus intelligents.

Pensez à quel point ces gens sont stupides et où la logique de ce qu'ils disent est  ...

Mettons hors la loi les scies à chaîne. Pourquoi pas? Elles ont été utilisées pour commettre des meurtres. Beaucoup d'entre eux.

Aussi, pistolets à clous, lance-flammes, bidons d'essence, couteaux de cuisine, pelles, crème à café, pailles, bouteilles de Coca-Cola ... non, mais arrêtez!  TOUS les flacons en verre doivent être interdits, car les criminels les ont utilisés pendant  deux cents ans !!! 

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Une dernière question: Qui veut absolument débarrasser  l'Amérique de ses armes ?


 

Guantanamo Bay n'est pas une chanson



Et les prisonniers?

 
- On ne peut pas emmener en esclavage des sujets du roi divin, répondit Pa-Ramessous. (Ramsès II)

E-n outre, il n'y aurait jamais assez de prison pour tous ces gens; force était donc de les libérer. P. 151

 

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J'espère bien qu'il n'en sera pas de même avec tous ces traîtres à la nation, qui ont apparemment comploté avec l'intention ferme de détruire l'Amérique. Rien de moins. 

 Je ne vous raconterai pas leur histoire ni  leurs méfaits, ni leurs crimes; vous découvrirez bien par vous-mêmes et surtout bien assez tôt,  le sort qui leur est réservé.

 

 Les lois ne sont pas faites seulement pour les pauvres, comprendre ici, les déplorables,   contrairement à ce que déclarait la Reine des traîtres de ce monde,  lors des dernières élections.  

Bref, pour faire une histoire courte, ce n'est pas demain la veille que les lendemains vont se mettre à chanter. Prenons le cas de Hillary Clinton, protégée de ses crimes par le FBI,  qui empile les chefs d'accusation; aux dernières informations, elle en était à 27 !

 À suivre

 

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Bienvenue en NelliganLand

 

Devant chez moi aujourd'hui.

 

Féérique!

 

Ramsès II: Le diable flamboyant

L'excision: une pratique ancestrale qui fait débat encore aujourd'hui    ICI

Le 6 février dernier, c’était la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF).

Fatima Houda-Pépin écrivait ce jour-là:

« C’est en consultant une encyclopédie à la bibliothèque, immédiatement après, que j’ai pris conscience de la souffrance que pouvaient endurer des millions de femmes qui subissent de tels sévices.

Mais c’est surtout en écoutant les témoignages de femmes africaines qui endurent dans leur chair cette violence extrême au Kenya, en Égypte et au Mali que j’ai pris la mesure de leur détresse et du tabou qu’elles portent au fond d’elles-mêmes.

Des pratiques qui remontent à la nuit des temps, en Afrique, en Asie, en Océanie, en Europe et en Amérique.

Leurs origines remontent au temps des pharaons. Elles continuent de prévaloir encore aujourd’hui, dans une quarantaine de pays, principalement en Égypte et dans certains pays du Moyen-Orient, et surtout dans bon nombre de pays d’Afrique au sud du Sahara (28 au total).

Bien que les mutilations génitales féminines se soient ancrées dans plusieurs cultures et traditions, leur géographie coïncide avec celle de certains pays musulmans. Car, pour perpétuer des pratiques aussi atroces, il n’y a que la volonté divine pour « anoblir » un acte aussi barbare et aussi préjudiciable pour l’intégrité physique et psychologique des femmes.

Sauf que rien dans le Coran ne mentionne ni ne justifie ou ne recommande l’excision ou l’infibulation. Il faut remonter à la période préislamique pour en trouver les traces.

Au Royaume-Uni, c’est dans des hôpitaux psychiatriques que ces pratiques avaient cours, comme « antidote » à la masturbation des filles, et jusqu’au 19e siècle, aux États-Unis, une société savante y voyait " l’ablation des organes où siégeait le diable "».

  Source: Vigile.net  via Le Journal de Montréal



 

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Ramsès II l'immortel


Encore une fois, c'est le hasard qui m'amène à lire cette fascinante trilogie  dont le récit captivant nous plonge, entre mythes et intrigues royales, dans l'univers de l'Égypte ancienne à la rencontre du plus illustre des pharaons.

Ramsès II savait depuis son tout jeune âge qu'il deviendrait le grand pharaon de son temps. 

Ramsès II était de race noire. 

Et un jour, peut-être, ce garçon aux cheveux rouges régnerait sur l'empire? P.14 

 «A-t-on aussi l'idée d'être roux!» P. 15

En réalité, il était las de cacher sa rousseur dont il était même fier.  P. 128

En outre,  piquée par la curiosité,  j'ai cherché à savoir si ce grand pharaon, surnommé le diable flamboyant,  permettait cette pratique de l'excision chez les petites filles de son temps, à l'instar de bien d'autres pharaons,  à cette époque. 

Question qui tue: Ses femmes et  ses filles avaient-elles été excisée ... ?

Pour l'instant, j'ignore tout de ce grand mystère qui fait en sorte que,  durant l’Égypte ancienne, l’excision aurait été  liée à la croyance que les hommes naissaient à la fois homme et femme, l'esprit de l’homme étant dans le clitoris de la femme et celui de la femme dans le prépuce de l’homme.

Les deux circoncisions étaient alors nécessaires (celle du prépuce et celle du clitoris) pour devenir complètement homme ou femme. 

À suivre.
 

Jésus Christ et Jules Verne

De Jésus Christ à Jules Verne

Aucune de ces révélations contenue dans ce roman n'est vraiment nouvelle.  Tout dans cette histoire résulte du travail critique des historiens.  Le Jésus historique qui s'est dégagé de ces études s'est révélé très différent de la figure divinisée qu'on nous a présentée dans les catéchismes, à la messe et dans les textes religieux.   

Entre deux tempêtes de neige et de verglas, et les quelques jours dont  j'ai besoin pour remettre  mes muscles et mes os en forme,  et permettre à ma pelle à neige et à mon grattoir de  reprendre leur souffle,  j'ai terminé la lecture de ce bouquin qui m'a tenue en haleine ces dernières semaines.  Merci, à M.C pour ce beau cadeau qu'elle m'a  fait pour  ce dernier Noël.  

Cela m'a permis évidemment de  mieux connaître cette grande religion, la plus pratiquée au monde et qui est le fondement  de la  morale des chrétiens.  Et d'y voir derrière ces  notions du bien et du mal, du correct et de l'incorrect, du juste et de l'injuste, tout cela en ne cherchant pas à heurter ni offenser quelque croyance que ce soit

Pour l'auteur comme pour nous, cette fin de lecture nous amène à nous poser  plusieurs questions, en commençant par celle de savoir qui en était réellement le fondateur? Que prêchait-il? S'agissait-il d'un simple mortel ou d'un véritable dieu? S'il réapparaissait sur terre, serait-il reconnu comme le Messie ou dénoncé comme hérétique? Enfin, que dirait Jésus de la religion pratiquée aujourd'hui?   

Des réponses ont été données au fil des années par de nombreuses analyses historiques du Nouveau Testament. P.490   

P.S  J'aimerais ici rassurer les futurs lecteurs que je n'ai pas dévoilé l'ultime secret du Christ.  

 

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 De Jules Verne à Nous Autres



Yannick Marcoux
 Le Devoir
27 janvier 2018 

Dans mon blog précédent, il était question   d'un  Jésus apocalyptique qui était convaincu que la fin du monde, en l'occurrence,  le Jugement dernier pouvait avoir lieu le jour suivant.  Or, ce jour-là n'est pas encore venu. Mais ... À partir  d'aujourd'hui, cela pourrait arriver n'importe quand.  

 

Fortement inspirée de l’oeuvre de Jules Verne, la proposition de Jean-Michel Riou donne une réponse inspirante au futur apocalyptique qu’annoncent les changements climatiques, si on n’agit pas.   

  Ainsi, 10 000 jours pour l’humanité s’inscrit dans la foulée du film  Demain, qui soulignait l’importance de créer de nouveaux récits pour imaginer un avenir habitable.  À condition toutefois que les rats de ce monde ne nous fassent pas perdre notre âme.   

 Note: Je n'ai pas lu ce bouquin de Jean-Michel Riou, mais  la critique qu'en a faite Yannick Marcoux m'a un peu déçue.  

Jésus: Un fou incurable

Eh bien, récapitulons.  

Jésus n'a pas fondé le christianisme.  Loin de là. Il n'était même  pas chrétien. P. 308 On dit dans les Évangiles qu'il avait tendance à être plutôt juif pur et dur.   On l'appelle le Christ. Sauf qu'on ne sait pas pourquoi. Christ était un nom courant, à l'époque.  Cela n'a rien à voir avec la vérité. Mais allez savoir.

J'irais  encore plus loin,   il était aussi juif apocalyptique,  c'est à dire qu'il prétendait  que Dieu descendrait  sur terre le Jour du Jugement dernier.

Dans son esprit dérangé, (je ne vois comment on pourrait le dire autrement,  même dans sa famille, on le croyait fou ...) ce jour-là aurait pu être  demain. Et pourquoi pas hier?  

  Qui ne sait recevoir en paix les châtiments divins, est un fou incurable. dicocitations.lemonde.fr/
 

 Alors, il ne faut pas en faire un plat ni prétendre le contraire. Même le grain de sel qui pourrait nous empêcher de croire ces allégations refuse net,  ici,  de germer quoi que ce soit de logique et de sensé dans nos cerveaux.   
 

Cela dit, je n'en reviens pas de voir à quel point  l'achalandage, pour ne pas dire  la  curiosité,  pour  mon petit blog précédent   sur le thème de ce super homme.  Moi, qui le croyais un  saint homme.  
 

L'éditeur avait bien raison de nous mettre en garde dans sa présentation sur la Quatrième page.   Il fallait s'y attendre car, certes, on y perd plus que son  latin dans cette histoire, et  en revanche nos certitudes en prennent un coup. 

Alors  pourquoi donc nous avoir nourris pendant des décennies, voire des centaines d'années,  à l'aulne de pareille désinformation?  
 

Enfin, le héros de cette saga, historien du Nouveau Testament de sa profession,  ne s'appelle pas Tomas pour rien. Personne y a peut-être songé,  mais Saint-Thomas lui aura certes   insuffler un bol de scepticisme, que cela ne me surprendrait pas. 

À suivre.

 

*** 

L'insaisissable  femme

Hillary Clinton

 Ce n'est pas un secret pour personne, mais les Américains, en plus d'avoir fait la guerre à de nombreux pays étrangers qui ne leur avaient rien fait de mal,  se font aussi et cela depuis toujours, la guerre entre eux-mêmes:  démocrates contre républicains et vice versa. Comme de fait, c'est précisément là où l'on en est aujourd'hui,  aussi bien dans la fiction que dans la réalité. 

Or, si cette femme  qu'on protège avec tellement de zèle et de dévotion depuis des années (ici on ne peut s'empêcher de penser  à un certain au mémorandum...),  ne va pas finir ses jours en prison pour ses innombrables crimes et la corruption qu'elle cultive avec grand art,  ma foi, il est juste  de concevoir  que ce pourrait être l'un de ses clones qui iraient en prison  à sa place. 

 On la dit «teflon» car  rien ne l'atteint et  rien ne l'arrête.

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Bizarre, non,  qu'à la page 373 de mon bouquin,   le professeur Arpad Arkan dont le Centre de recherche moléculaire avancée, situé à Nazareth,  en Israël,  a beaucoup de projets et d'expériences en cours sur des  d'animaux y compris  préhistoriques.      

D'ailleurs, c'est ainsi que ce dernier  en arrive à dévoiler aux  enquêteurs d'une affaire présumée criminelle  qui les occupe en ce moment, et qui ont fait  à ce jour trois  victimes à avoir été égorgées,   l'un de ses secrets scientifiques les mieux gardés, dont celui de cloner des humains.        

Quelle drôle de coïncidence!

Mais, soyons réaliste. Pour en revenir à notre brebis galeuse (lire ici une personne pernicieuse et corruptrice),   cette dernière aurait dit:   "Si nous perdons les élections,  nous serons tous pendus".  N'est-ce pas, là, des paroles qui confirment  la preuve de sa culpabilité?  

Mais, ne l'oublions pas, cela reste toujours dans le domaine de la fiction.

À suivre. Et fin.