Les élections Américaines vont être annulées et des procès de crimes de guerre se tiendront disent les sources du Pentagone et de la CIA ² |
Ce qu'on a entendu par vidéo ces derniers jours venant de la bouche de Donald Trump au sujet des femmes, il y a 11 ans de cela, était d'une impudeur et d'une vulgarité sans borne. Bref, des propos de taverne, dirait-on dans nos familles ... Grossiers à souhait, je vous l'accorde. J'irais même jusqu'à dire: grivoisement dégueulasses.
Mais pas au point pour que Donald Trump quitte la campagne électorale à ce moment-ci, alors qu'approche à grands pas l'issue de cet événement politique majeur, ce qui mènerait Hillary Clinton à la présidence par défaut bien qu'on lui soupçonne de pires crimes que ceux de son adversaire, malgré toutes les apparences contre ce dernier.
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« Or, une heure et demie avant le deuxième débat, le candidat Trump a tenu une conférence de presse d’à peine plus de trois minutes en compagnie de quatre femmes qui ont dit avoir été maltraitées par l’ancien président et sa femme. « M. Trump a peut-être dit quelques mots terribles, mais Bill Clinton m’a violée et Hillary Clinton m’a menacée. Je ne pense pas que ce soit comparable », a déclaré l’une d’entre elles. » Lu dans Le Devoir.
Par ailleurs, comment se fait-il qu'on cache toujours par tous les moyens possibles et impossibles un «panier»³ de morts suspectes de 114 personnes, (au dernier recensement ! en anglais, hélas! 10:59), qui auraient évolué d'une façon ou d'une autre dans l'entourage des Clinton depuis les années 70-90, jusqu'à aujourd'hui? Bien sûr, cela n'est que fiction ... mais, si épaisse qu'on n'y voit jamais la fin.
Mais comment se fait-il qu'on ne puisse mettre en accusation les personnes responsables et complices, qui auraient fait assassiner, pour n'en nommer qu'une seule, Suzanne Coleman, une jeune femme¹ de 26 ans enceinte de sept mois d'un enfant qui aurait pu, selon la rumeur, appartenir à son violeur en tant que père comme ainsi le veut la nature. (Environ 448 000 résultats) sur Google.
Mais pas au point pour que Donald Trump quitte la campagne électorale à ce moment-ci, alors qu'approche à grands pas l'issue de cet événement politique majeur, ce qui mènerait Hillary Clinton à la présidence par défaut bien qu'on lui soupçonne de pires crimes que ceux de son adversaire, malgré toutes les apparences contre ce dernier.
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« Or, une heure et demie avant le deuxième débat, le candidat Trump a tenu une conférence de presse d’à peine plus de trois minutes en compagnie de quatre femmes qui ont dit avoir été maltraitées par l’ancien président et sa femme. « M. Trump a peut-être dit quelques mots terribles, mais Bill Clinton m’a violée et Hillary Clinton m’a menacée. Je ne pense pas que ce soit comparable », a déclaré l’une d’entre elles. » Lu dans Le Devoir.
Par ailleurs, comment se fait-il qu'on cache toujours par tous les moyens possibles et impossibles un «panier»³ de morts suspectes de 114 personnes, (au dernier recensement ! en anglais, hélas! 10:59), qui auraient évolué d'une façon ou d'une autre dans l'entourage des Clinton depuis les années 70-90, jusqu'à aujourd'hui? Bien sûr, cela n'est que fiction ... mais, si épaisse qu'on n'y voit jamais la fin.
Mais comment se fait-il qu'on ne puisse mettre en accusation les personnes responsables et complices, qui auraient fait assassiner, pour n'en nommer qu'une seule, Suzanne Coleman, une jeune femme¹ de 26 ans enceinte de sept mois d'un enfant qui aurait pu, selon la rumeur, appartenir à son violeur en tant que père comme ainsi le veut la nature. (Environ 448 000 résultats) sur Google.
Ah! llégations, bien sûr ...! Manque de preuves et/ou plutôt 114 disparitions psychopathiques de preuves. Meurtres jamais résolus. Mensonges, etc. Néanmoins il appert que les soupçons sont trop nombreux et récurrents pour s'y noyer dans un scepticisme de bon aloi. Ce que je crois pourrait aussi bien s'appeler indifférence. Mais certes trop gros pour chercher à ne pas voir tout de même.
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Cependant, il est une chose à laquelle je ne peux échapper. Personnellement, je ne voterais pas pour quelqu'un(e) qui traîne derrière lui ou elle une odeur aussi nauséabonde et aussi lourde de soupçon, qui empuantit depuis plus de deux décennies l'air que respire l'Amérique.
Odeur qui rendrait cette personne responsable de crimes en tant que gouverneur d'État et président des États-Unis, pour Bill Clinton, et de complicité et meurtres allégués en tant que Secrétaire d'État, pour Hillary. Anticipons-nous que ces deux psychopathes deviendront des anges (noirs?), une fois élue pour l'épouse de l'un à la présidence de leur pays?
Cela dit, il arrive parfois qu'au moment d'élections, l'on soit obligé de procéder par «choix rationnel», comme ce fut le cas lorsqu'il a fallu aux Canadiens et aux Québécois, choisir Justin Trudeau pour se débarrasser de Stephen Harper qui, lui, n'avait jamais fait tuer personne. En tout cas, à ma connaissance.
Ici, les situations sont différentes, je sais, mais Donald Trump a beau être le pire idiot et avoir tous les défauts de la terre, il reste que la lecture de son programme m'a drôlement ébranlée, et ne cesse de le faire depuis un 18 mars dernier de cette année:
On a beau dire, on a beau faire, les élections présidentielles américaines se corsent au point d'y voir des anges noirs partout et même en plein jour. On a beau lui vouer la pire des haines, Trump joue gros son avenir dans cette vie-ci. Il y a quelques jours, dans une chronique, Pat Buchanan s’est posé ouvertement la question : « Les oligarques vont-ils tuer Trump ? » Mais qu’est-ce qui rend ces « néo-cons » dans cet état de transe mortelle ?
Trump ne fait que confirmer le ras-le-bol d'une majorité d'Américains pour la guerre et d'affirmer d'autres choix pour le peuple, c’est-à-dire :
1) que la guerre en Irak est un désastre historique ;
2) que lui, Trump, sera un intermédiaire honnête entre Israéliens et Palestiniens, comme l’était Jimmy Carter à Camp David ;
3) qu’il veut s’entendre aussi bien avec Poutine que Nixon avec Brejnev et Mao ;
4) qu’il veut refuser d’engager de nouvelles croisades pour la démocratie ;
5) qu’il ne s’opposera pas aux bombardements de la Russie sur Daech ;
6) qu’il va construire ce mur à la frontière avec le Mexique ; ...!!! *
7) qu’il fera supporter à de riches alliés les frais de leur défense.
Mais vont-ils le tuer pour ça? Ou peut-être bien le remplacer pour avoir tenu des propos obscènes? Sans tenir compte de l'élection possible des Démocrates, eh bien, dans un cas comme dans l'autre, le colister de Donald Trump, Mike Pence, serait-il tenu de respecter le programme de son prédécesseur? On jase, là.
*Dans d'autres pays se construisent actuellement des murs pour se protéger des migrants. Exemple à Munich, en Allemagne.
*Dans d'autres pays se construisent actuellement des murs pour se protéger des migrants. Exemple à Munich, en Allemagne.
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Lire aussi sur le sujet: http://www.clintonmemoriallibrary.com/body-count/clinton-casualties/
¹. Le cas de cette femme est, à mon avis, l'un des plus touchant. On n'a même pas procédé à l'autopsie de son corps duquel serait-il encore possible, comme l'a suggéré une commentatrice, le 7 janvier 2016, de vérifier à l'aide de tests d'ADN si l'enfant était bien celui de Bill Clinton. La source (vidéo) de cette information a été bizarrement supprimée au moment même où je la mettais en lien dans la chronique ci-haut placée.
². ICI : un flot touffu d'informations d'un journaliste prolifique, et connu à travers le monde.
³. Réf. au panier des «déplorables» cité par Hillary.
Lire aussi sur le sujet: http://www.clintonmemoriallibrary.com/body-count/clinton-casualties/
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