Élections 2015: un homme, une femme et leur courage


Une question de liberté d'opinion

Photo: Adrian Wyld La Presse canadienne
         Les chefs Gilles Duceppe (Bloc), Stephen Harper (PC), Thomas Mulcair (NPD), Elizabeth May (Parti vert) et Justin Trudeau (PLC) ont croisé le fer jeudi soir.


Je n'attends plus rien d'un gouvernement fédéraliste à Ottawa, peu importe sa couleur.  Sauf un. Et je ne comprends pas l'incohérence politique et la confusion totale de mes concitoyens québécois,  tantôt fédéralistes, tantôt indépendantistes, tantôt vice et tantôt  versa.    Je sais que plusieurs d'entre eux appelleront ça,  la liberté d'opinion ...  !!! 

Hier soir,  mon cher Breszny, nous avons été très choyés par la qualité démocratique du débat en français,  s'il vous plaît!  que nous ont offert les cinq candidats des principaux partis politiques fédéraux canadiens,  y compris le parti souverainiste qu'on appelle le Bloc québécois.
 
J'aimerais  préciser afin que tu comprennes bien, que ce parti-là n'est pas seulement un parti  qui a pour but de faire de l'obstruction  en s'opposant continuellement  aux autres. Non, pas du tout. Au contraire ce parti  a d'autres objectifs dont celui de défendre d'abord et avant tout,  les intérêts du Québec en tant que nation au statut distinct des autres provinces de ce pays. 
 
Pour cela,  il peut agir de façon très efficace simplement en proposant et en débattant des projets de lois qui serviront les Québécois, et tant mieux si par la même occasion ils feront de même pour les Canadiens, qu'importe qu'on dise qu'il jouera encore et encore le jeu des fédéralistes. Hélas, c'est là toute notre impuissance tant et aussi longtemps que le Québec vivra dans cette fédération dont le corps est si mal fait.   
 
Cela dit,  pour l'empêcher d'atteindre  à la réalisation de ce grand rêve, les autres partis vont certes chercher à lui mettre des bâtons dans les roues, ce qui est de bonne guerre à ce que l'on dit,  étant donné qu'ils sont tous contre cet idéal souverain québécois. Propagande et désinformation,  obligent, comme si le Bloc québécois, à l'instar de l'ancien parti  Vers Demain, ne concernait que les gens du fin fond des régions ...

Or, justement hier, on ne l'a pas trop  poussé dans les câbles, et qu'on me corrige si je fais erreur. Cette fois-ci, les candidats fédéraux n'ont pas eu le choix de l'é-cou-ter.  Et c'est là, qu'on a appris que le chef de ce parti, qui avait démissionné après une cuisante défaite aux élections fédérales précédentes, s'est montré tout à fait à la hauteur des attentes de ses commettants.  

En outre, il est important, mon ami, que tu saches que ce parti ne prendra jamais le pouvoir de ce grand pays qu'est le Canada, mais tout aussi important que tu saches que son unique raison d'être se trouve, là, vers où pourrait un jour s'engager le peuple québécois. 
 
Loin d'être experte en la matière, (mais grâce à la touche MUTE de mon téléviseur),  je suis à tout le moins  très satisfaite de ce débat.  Car,  d'entendre l'analyste Michel C. Auger déclarer sur les ondes de RDI, que  le chef souverainiste  qu'on croyait hors course peu avant cette campagne, était mentalement et intellectuellement apte à accomplir la tâche  pour laquelle il pourrait être élu d'abord dans son comté, puis en  entraînant avec lui un certain nombre de  candidats de son parti  afin de représenter notre peuple au parlement d'Ottawa.  Pour tout cela, je salue  le courage de Gilles Duceppe.   

***
 
Enfin, chapeau à madame Elizabeth May. La seule femme du groupe et la chef du Parti Vert canadien, en plus d'avoir fait d'énormes progrès en français depuis les dernières élections, a surtout eu le bon réflexe d'envoyer quelques-uns de ses proches assistants et/ou militants,  aux réunions préparatoires en vue des grandes manœuvres (négociations)  qui se dérouleront cet automne,  au Sommet sur les Changements climatiques,  à Paris, auquel le Canada a encore refusé de participer.

On aura beau dire que vous étiez naturellement mandatée pour ce faire à cause de la couleur de votre  parti, mais cela reste  tout de même à votre honneur.  Et j'ajouterais qu'il n'est pas exagéré de penser et de dire,  que parce que  vous portez le poids du dossier de l'environnement canadien sur vos épaules, vous méritez notre respect et notre admiration, bien que j'aie trouvé drôlement cavalière votre façon de traiter de «faux débat»,  l'enjeu du niqab. 

***



J'entends d'ici le grand philosophe,
Friedrich Nietzsche,  
s'écrier:
« Nous devons inventer
un nouveau terrorisme
 
C'est déjà fait, monsieur.
 
***
 
 
Toutefois,  madame May, votre déclaration sur le sujet de la guerre en Syrie  dans laquelle  Stephen Harper y déploie  présentement son armée pour combattre l'EI, jette une ombre sur votre compréhension de la situation géopolitique au Proche-Orient.  Et je cite: « la crise humanitaire, la guerre civile sont causées par Bachar al-Assad et son bilan meurtrier » qui ont tué « huit fois plus de gens qu’État islamique ».  Aujourd'hui rapporté par Le Devoir

Alors, dites-moi, chère dame, pourquoi Bachar al-Assad mériterait-il,  plus que d'autres dictateurs de son genre, la destruction effroyable de son pays et la fuite par la porte d'en arrière  de milliers de ses compatriotes terrifiés pas les atrocités, non pas de leur président démonisé par nos médias occidentaux, mais de l'État islamique?  

Alors que les sinistres sires saoudiens,  eux, font la pluie et le très mauvais temps qui vient avec, grâce à leurs sombres soutiens alliés qui n'oseraient même pas les déranger de peur d'être décapités, ou démembrés, ou lapidés, ou torturés, ou flagellés, que sais-je encore ...?  

Bien sûr, oublions ce petit désaccord entre nous qui ne m'empêchera pas cependant de vous dire que, si ma fibre fédéraliste était un tantinet plus épaisse ou moins ténue qu'elle ne l'est,  je n'hésiterais pas à voter pour vous.  Sait-on jamais,  mais  peut-être bien dans une autre vie ...

May West
Blogueuse officielle de ce blog
 

Toute la misère du monde

Marianne-France 
@Inconnue

 

Un gouvernement hostile à la France et aux Français  
Pandore, cédant à la curiosité, ouvra la boîte que lui avait confiée Zeus, libérant ainsi tous les maux qui y étaient contenus. Seule y resta enfermée l’espérance, arrêtée sur les bords. Ironie de l’histoire, cette partie de la mythologie grecque se retrouve transposée en plein cœur de l’Europe par une prénommée Angela.
Thibaut Ronet, sur Boulevard Voltaire a écrit:   « Je ne suis pas un politique, pas un artiste, pas un humoriste, juste un citoyen comme vous tous, auquel Boulevard Voltaire ouvre ses colonnes. Ce citoyen se trouve aujourd’hui apeuré. Pas par l’adversité, pas par les menaces, mais par l’inexorable avancée de l’Histoire. La France, ce pays que j’aime tant, est en voie d’extinction. Je refuse de verser dans le catastrophisme mais le tableau est pourtant bien noir. Comment serait-il possible intellectuellement de contester, que cela nous plaise ou non, que des partis comme le Front national ont raison depuis trente ans ? Que les réflexions d’écrivains ou d’intellectuels sont en train de se concrétiser sous nos yeux ?
 
J’ai perdu tant d’amis lorsque je disais que les accords de Schengen étaient criminels. On rigolait des politiques comme Nicolas Dupont-Aignan ou Marine Le Pen lorsque ceux-ci parlaient de contrôles aux frontières. C’était du populisme et irréalisable, et pourtant madame Merkel vient de le faire en moins de 12 heures. Jean Raspail est vu comme un immonde fasciste parce qu’il romançait, en 1973, l’invasion de l’Europe par des immigrés venus par millions par la mer. La sortie de l’euro était irréaliste, et pourtant cette possibilité a été envisagée jusqu’à la dernière seconde pour et par la Grèce.
 
Nos politiques continuent à ne pas vouloir voir ce qui nous saute aux yeux. Nos politiques continuent à nous manipuler avec la photo d’un enfant mort, soigneusement recadrée pour ne pas qu’on y aperçoive deux pêcheurs turcs qui n’en ont strictement rien à faire. Nos politiques refusent de faire savoir que le père de ce garçon était en fait le passeur et que cette mort atroce lui incombe à lui, et à lui seul.
 
Nos politiques ne font absolument rien pour régler le sort de ces clandestins. Ils en sont encore à vouloir « punir » messieurs Poutine et el-Assad alors que ce sont les seuls à vouloir vraiment se débarrasser de l’État islamique. Nos survols en Rafale ne sont là que pour amuser la galerie et faire plaisir aux Américains, qui se délectent de la chute de notre continent.
 
Nos politiques ne cherchent même pas à savoir pourquoi il y a tant d’hommes parmi ces clandestins, tellement nécessiteux qu’ils possèdent des smartphones et se permettent de jeter sur le bord des routes des bouteilles d’eau encore fermées et des repas offerts sous prétexte que ceux-ci ne sont pas halal. Nos politiques ont déjà oublié que Daech a promis d’infiltrer des milliers de terroristes parmi ces « migrants ».
 
Nos politiques ont décidé que coûte que coûte, même contre leur peuple, ils imposeront leur funeste projet. Nos politiques ont oublié que le peuple français est fier et que, dans un sursaut d’orgueil mélangé à un instinct naturel de survie, ce dernier se dressera. Car notre gouvernement, en appliquant de facto la « préférence étrangère » qui consiste à trouver en quelques heures les millions qu’il n’a jamais voulu trouver pour les siens, ne se montre plus seulement incompétent, mais à présent hostile à la France et aux Français.
La boîte de Pandore ayant été ouverte et ses maux étant à présent répandus, il ne reste plus qu’à tordre le cou à un mythe et à saisir l’espérance cette fois-ci. Et l’espérance est en chacun de nous. »
***
 
Mon œil d'hyperboréenne en prend un coup
 
« Tes Cieux font chanter mon cœur comme une flûte.», disait Rabindranath Tagore dans son hymne national du Bangladesh. Or, si je comprends bien, cher Brezsny, tu insistes pour que ces mots m'emplissent d’une douce énergie et m’insufflent une fougue poétique pour chanter les louanges, non pas de mon pays (et que, non!), mais des êtres, des choses et des expériences qui exaltent ma joie et mon ravissement ...

L'automne approche. Le geai bleu se chicane avec ses pairs les restes de l'été qui tombent de sa table de pommier.  Moi aussi, ces temps-ci, je vis  en état de syncope. Mais  heureusement aussi, parfois, en état d'épiphanie qui m'amène à te dire  que le modeste trésor que j'ai accumulé au fil des siècles, pièce par pièce, dans l'espérance que cela  servira un jour à me tirer d'affaire, et servira également à faire de même pour mes proches, s'il y a lieu; voilà qui exalte mon cœur.
 
Cela dit,  je n'oublie pas que je suis une femme vieillissante,  et que comme pour toutes les femmes vieillissantes, l'expansion n'est plus une nécessité, le simple  fait de « ramasser pour ramasser »  étant devenu pour moi  de moins en moins compatible avec aucune de mes valeurs.
 
En lisant les œuvres du philosophe allemand Friedrich Nietzsche, Victor Lévy-Beaulieu aura-t-il  creusé comme personne d'autre l'a fait, l'origine hyperboréenne des Allemands, mettant ainsi   à jour leur caractère réputé austère et discipliné  peu importe le siècle dans lequel ils sont nés. 

Enfin,  bien qu'on dise  qu'en  vrai  Hyperboréen, l'Allemand-e n'avait qu'un seul œil,  si l'on se fie sur la sympathie hypocrite d'Angela Merkel envers les réfugiés en regard des derniers événements en Europe, cet œil-là  a-t-il toujours été le bon? 

« Le Bloc est mort! » Touchons du ROC!



Jamais autant de députés fédéraux du Québec n'ont ignoré les intérêts de leurs propres électeurs. La dernière fois qu'on a subi autant de mépris, c'était lors du rapatriement de la Constitution de 1982.


 





 

LA photo: un montage qui fait du millage


  
Bien sûr  qu'en voyant cette photo pour la première fois qui a fait la Une des médias occidentaux, j'ai sitôt pensé qu'elle pouvait être truquée. À condition d'être authentique, s'entend.  D'ailleurs, cela m'a semblé bizarre qu'à droite on pouvait y voir  des gens qui s'y baignaient.  

« Plus utile mort que vivant », voilà la triste réalité.


Voici l’endroit exact où a été retrouvé le corps d’Aylan, ce petit kurde de Kobané noyé avec son frère et sa mère au large de la Turquie.   Non, la marée ne l’a pas jeté sur le sable, il a été découvert dans des rochers.  

 La mer rejette les cadavres parallèlement aux vagues, jamais perpendiculairement. 

« Le corps a ensuite été déplacé par les photographes turcs dans un endroit plus photogénique et mis dans une position plus dramatique afin de jouer sur l’émotion de l’opinion publique internationale et faire accepter plus facilement au peuple européen, l’idée de l’accueil des réfugiés, qui soit dit en passant sera une future main-d’oeuvre très bon marché pour  le patronat. »  
Si le sujet vous  intéresse: La fausse « crise des réfugiés » 

Ce monde qu'on nous a planifié

 
« Celui dont l'âme brûle d'avoir
fait le tour de toutes les valeurs, 
de toutes les aspirations qui ont
eu cours jusqu'ici, et longé toutes
les côtes de cette  idéale "Méditerranée" ...»
Nietzsche, p. 1023
***


@Dessin Anonyme
L'enfant échoué sur une plage « plus utile mort que vivant »  
 
« C'est une évidence dans ce cas-ci de publier la photo. (...) Ça prenait un électrochoc pour secouer l'indifférence du monde occidental », croit Michèle Ouimet, grand reporter à La Presse. Au micro d'Alain Gravel, elle explique qu'une photo mérite d'être montrée dans les médias à condition d'avoir une portée et de ne pas être anecdotique. « C'est une photo extrêmement sobre qui personnifie le drame des réfugiés syriens. Elle est insoutenable parce que c'est un petit garçon seul échoué sur une plage. »  Radio-Canada
 
Je me suis laissé dire qu'avant que ce chaos existe, avant les guerres qu'on leur a fait subir et qui ont détruit leurs pays, ces gens-là, les Irakiens, les Libyens et les Syriens, même gouvernés par des dictateurs peu commodes, peu importe que ces derniers se sont appelés Sadam Hussein, Mouammar Kadhafi ou Bachar el-Assad,  bref ces gens-là, dis-je, vivaient en paix chez eux  et n'étaient pas si malheureux que  cela. Mais que leur est-il arrivé pour qu'ils soient obligés de quitter leurs terres en forçant leurs « bourreaux »  (lire ici les Occidentaux-Européens et Nord-Américains) à leur donner refuge aujourd'hui?

« Vous nous avez chassés de nos terres à coup de bombes, maintenant vous devez nous loger chez vous. », ont scandé désespérément des réfugiés syriens.

De ce chaos inconcevable dans lequel est soudainement plongé le monde européen,  il aura fallu un enfant rejeté par la mer pour que le monde normal s'indigne ... Un électrochoc pour secouer l'indifférence du monde occidental, dites-vous madame Ouimet?

Bien sûr cela ne sera pas suffisant pour arrêter le plan diabolique mis en marche depuis longtemps que très peu de gens  connaissent.  Mais à quoi servirait-il de comprendre un plan pareil si chaque fois qu'on en a vaguement entendu parler,  ce fut une belle occasion de s'en moquer ou d'en rire?
 
« 5. – Pour nous assurer à tout prix de la réussite d’une telle entreprise (lire: leur plan), faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les Ministères des Affaires Intergouvernementales et de l’Immigration des États-Nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces Ministères. 

Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l’intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d’ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux).

Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l’opinion publique des États-Nations ciblées, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet, de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l’intérieur de leur territoire.  
Nous verrons à faire en sorte que des groupes d’extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d’immigrants; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées. »

Extraits de « L'Aurore rouge »
 *** 

La dernière stratégie: voter contre 

Notre amie Clo, jadis indépendantiste et  comme bien d'autres Québécois-es comme elle, perdue, mêlée et ne sachant plus où virer de la tête (c.à.d. voir la différence et/ou l'importance  entre fédéralisme et souverainisme), a décidé de voter orange aux prochaines élections fédérales.

Chacun sait que voter orange signifie, cette fois-ci, d'abord et avant tout voter contre un Bloc québécois passé date et qui n'a plus rien à faire à Ottawa; contre un PKP qui a si cruellement maltraité ses propres travailleurs autrefois,  et à qui on ne pardonnera jamais ça;  contre l'indépendance du Québec à laquelle on ne voit plus l'intérêt là-dedans parce qu'on ne sait plus trop quoi en penser; enfin contre Harper qu'on espère bien voir sortir de là sur les genoux, la langue pendante ...

Sauf que le beau Tom tout barbu qu'il soit se voyant déjà PM au grand dam de Jean Charest qui doit certes en baver un bon coup, a lui aussi des bibittes dans son placard. Mais curieusement, les Clo de ce monde se boucheraient-il les yeux, les oreilles et l'esprit, alouette lorsqu'on leur met sous le nez l'odeur nauséabonde de ces petits cadavres?

Thomas Mulcair, hein?   «Il fut un temps où M. Mulcair était un féroce adversaire de la loi 101», écrivait Michel David dans Le Devoir, ce matin.  Or il est bon de  rappeler qu'autrefois,   alors qu'il était avocat, il ait défendu  la cause chère aux  anglophones radicaux de la défunte Alliance du Québec,  qui avait pour objectif rien de moins qu'abolir  la loi 101. Donc, francophones du Québec, n'attendez pas trop de ce gars-là.  Va pour l'homme.

Quant au NPD, le parti de Thomas Mulcair, fait-on exprès pour ne pas tenir compte du fait qu'il s'agit du parti le plus fédéraliste canadien qui soit? En clair, que ce parti  a défendu vigoureusement la fameuse (et si détestable) Loi sur la Clarté (qui n'acceptera pas un vote obtenu par 50% + 1% concernant l'accession à  l'indépendance du Québec),  proposée à l'époque par le sinistre ministre libéral,  Stéphane  Dion,  à la suite du référendum de 1995.

Tout ça pour dire  que je n'en reviens pas qu'il y ait autant de mes compatriotes qui voteront (encore) fédéraliste à ces prochaines élections.  Puis qu'ils voteront de  nouveau  pour le NPD qui n'a rien fait pour eux en quatre ans.  Et enfin,  qui  malgré l'élection de 59 députés de ce parti  en 2011 au Québec,  cela n’a pas empêché l’élection d’un gouvernement Harper majoritaire.

Quelque chose nous manque, ou quoi?

Pour ma part, qu'il s'agisse d'un baroud d'honneur ou bien d'un succès aussi mitigé soit-il, je voterai au fédéral tant et aussi longtemps que le Bloc québécois se présentera. En cas contraire, plus jamais je ne voterai au fédéral.   

Écrire à la main

Avant-hier, j'ai lu, sur Sott.net, un article qui rapportait le fait que d'écrire à la main (et à la mine dans mon  cas), était l...

Horoscope poétique

Horoscope poétique
De Rob Brezsny