Damné(s) comme ceux-là mêmes qui répandent la haine (et la terreur)

Tome 2 - Le fardeau de Lucifer

« Que l'abacus* te rappelle sans cesse que toute responsabilité est à la hauteur du pouvoir qu'elle procure. Je prie Dieu pour qu'il t'accorde la sagesse, le courage et le discernement nécesaires à ta fonction »  P. 196

* Abacus:  bâton de commandement, avec lequel on représente souvent les templiers.


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Julius H. Grey est un avocat et professeur anglo-québécois spécialisé dans les questions de libertés individuelles.  Personne ne doute qu'il soit, bien sûr, un ardent défenseur du multiculturalisme canadien, un homme d'une grande sagesse, courageux et possédant le discernement à sa fonction.  

Sans oublier qu'il est l'avocat qui poursuit Djemila Benhabid. 

« L'avocat qui a tout mis en œuvre pour entraver, en divers domaines, les justes applications de la Loi 101, avec plusieurs succès, ses alliés étant les juges de la Cour suprême du Canada, s’attaque maintenant aux éventuelles retombées exterminatrices du projet de Charte des valeurs québécoises. 

L’argument fondateur de sa contestation repose sur une comparaison inique entre le sort des Juifs sous la dictature de Hitler et celui des musulmans du Québec, si la Charte était adoptée.  

Ses attaques verbales et insultantes sont un crime de haine contre le peuple québécois, en raison de son appartenance à une nation historique de langue française et de culture chrétienne.  

Un crime intolérable dans une société démocratique comme le Québec.  

Un crime intolérable dans une société où le Parti au pouvoir, en l’occurrence le Parti québécois, invite le peuple, depuis plusieurs semaines, à débattre de son projet.  

S’il y a au Québec, une instance habilitée à poursuivre un citoyen pour crime haineux, je crois que les Québécoises et Québécois de toutes origines, car nous sommes toutes et tous éminemment concernés par un tel délit antidémocratique, doivent se mobiliser pour exiger la mise en accusation de Julius Grey. » 

Andrée Ferratti   

Source

http://www.independantes.org/2013/11/05/julius-gray-le-sommet-de-la-demagogi (...)

Deux poids, deux mesures

Je me questionne beaucoup à savoir pourquoi, Me Grey,  ne défend-t-il pas le terroriste Richard Bain (qui se cherche désespérément un avocat depuis un an ...!), celui-là même qui a tué une personne avant de chercher à s'en prendre à madame Marois, la première ministre nouvellement élue, le soir du 4 septembre 2012?

Non mais, avec quelle complaisance, pour ne pas dire aveuglement volontaire, l'avocat Grey n'a-t-il pas  tourné en "fait divers" (synonyme de diversion, c'est clair) ce tragique événement? 

« Pour Julius H. Grey, l'attaque armée du 4 septembre 2012 constitue «un crime crapuleux, un crime au sens large», a-t-il précisé. Selon l'avocat, nous sommes loin d'un attentat politique, «c'est une chose horrible, mais qui n'a eu aucune perspective politique», a-t-il soutenu. Sans vouloir s'immiscer dans le procès en cours, Julius H. Grey a émis des doutes sur l'équilibre psychologique de Richard Bain, auteur présumé des faits. «C'est un avertissement de la fragilité de la vie humaine», a-t-il conclu. »

Source: Canoe   04/09/2013 11:14 

Pendant ce temps, chaque fois que les Québécois osent se lever debout, aussitôt notre grand homme de loi ressort-il du grenier de l'histoire, le spectre d'Hitler ... 

J'imagine que  Dieu le veut.