Il pleut beaucoup en Occident


  

Avant, même malgré la pluie et l'humidité, j'allais souvent jouer au golf. Maintenant, lorsqu'il pleut ou bien n'y a qu'apparence de pluie, je joue du clavecin sur mon clavier mais jamais l'inverse.
Et je lis abondamment.

Des polars.
***
Les arbres (leurs troncs, naturellement) sont recouverts de verte mousse. La température encore frisquet(te) à ce temps-ci d'avril,  n'a  fait ressortir aucun bourgeon pour l'instant.   La terre n'a plus soif. Mais elle a faim. De respect. De soleil.  De chaleur. De fleurs de jardin ou de balcon achetées ou non en magasins, et qui jurent de ne pas tuer les papillons ni les abeilles.
J'aurais préféré lire cet ouvrage en deux volumes de sept ou  huit cent pages chacun,  plutôt qu'en un seul de mille cent trente-cinq pages. Car cela me donne des  douleurs arthritiques dans le poignet gauche (pauvre petit poignet de poulet!). Blessure de golf, oblige.
Cela dit,  c'est vrai qu'il pleut partout en Occident. D'abord, pas toujours des bombes, mais des mensonges en quantité industrielle. Et aussi grâce à des langues bien fourchues,  hélas, des  menaces qu'on a entendues jusqu'ici.  
Je vous en passe un papier!
Il est prouvé depuis des lustres que les humains ne sont pas tous égaux.  Par exemple, un mort africain n'a pas la même valeur qu'un mort occidental. On appelle ça, l'empathie sélective.    Alors qu'on joue à la roulette russe avec la vie d'Africains jetés à la mer par dizaines de milliers (jusqu'à 500 000 a menacé l'État islamique *  ), a de quoi donner des frissons dans le dos. 
Mais faire survivre des migrants (surtout s'ils sont originaires d'Afrique) coûte cher et en attire d’autres, aurait-on constaté.  Pris de désarroi et impuissants devant l'ampleur du drame (in)humain qui se joue dans la mer Méditerranée, entre la Lybie et l'Europe, ne sont pas tous empathiques, les Occidentaux.
Katie Hopkins, polémiste vedette du journal le plus lu du royaume de Grande-Bretagne, The Sun, parlait dans sa chronique du 17 avril d’une « invasion de cafards » et d’une « peste d’humains sauvages », après une intro provocatrice et explicite : « Montrez-moi les images de berceaux, les corps flottants, jouez-moi du violon, je n’en ai rien à foutre. » 

Certes, n'a rien compris du chaos programmé par les «gestionnaires de l'Apocalypse», cette affligeante infatuée! Cela ne me surprendrait pas d'apprendre que leurs quartiers généraux de Londres sont situés pas plus loin qu'un coin de rue de son journal ...
Live: triste histoire  à  suivre.  
Ce qui  suit n'est pas un polar. Néanmoins, voici ce que les «gestionnaires de l'Apocalypse» ont planifié pour nous depuis longtemps:
5. – Pour nous assurer à tout prix de la réussite d’une telle entreprise, faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les Ministères des Affaires Intergouvernementales et de l’Immigration des États-Nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces Ministères.

Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l’intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d’ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux).

Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l’opinion publique des États-Nations ciblées, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet, de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l’intérieur de leur territoire.

Nous verrons à faire en sorte que des groupes d’extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d’immigrants; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées.
 
Extraits de L'Aurore rouge

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