Hierlande, ai été beaucoup occupée à prendre des notes. Me suis donc pas trop avancée dans ma lecture.
« En goûtant le saumon de la connaissance ...
il n’y a qu’à mettre son doigt dans la bouche pour entrer en épiphanie. » Celle-là, enfin cette découverte
était pour le moins inattendue.
Du plus loin qu’on puisse porter son regard vers l’arrière
pays de leur Histoire, les Irlandais connaissaient les nombres. Pour nous, sans vraiment chercher à savoir, cela peut sembler anodin. Mais pour eux cela avait son importance.
Anodins, ceux-là?
17 (1+7=8) ;
72 (7+2=9) ; 9+8= 17
Ça reste à voir. D'ailleurs pas la peine de répondre.
Mais ...
Mais ...
Par contre, moins célébré, le nombre dix-huit aussi souvent présent dans
les vieilles sagas irlandaises, est plus étonnant. Le nombre est formé du six multiplié trois
fois. Ainsi accolés l’un sur l’autre, trois nombres six font 666, qui
est le nombre de la Bête, le nombre de l’épreuve entre le bien et le mal, entre
Dieu et l’homme.
Fascinant, non? Pour dire la vérité, je ne me serais pas
attendue à cette révélation. Occulte à souhait. Et ce
n’est pas tout.
James Joyce a été éduqué par les pères jésuites. À une
époque où l’Irlande était famélique et divisée comme jamais contre elle-même. Hum ...!
Enfin, ca, je ne le savais pas encore ... Mais les peuples vaincus
n’ont jamais d’histoire par-devers les autres et beaucoup plus par-devers
eux-mêmes. Tout cela pour dire que je ne fais que commencer à comprendre ce qu’a voulu dire VLB quand il a évoqué « les choses en commun » qu'ont entre eux, l’Irlande
et le Québec.
Il était tard. Ai dû fermer le bouquin là-dessus ... à la page 105. Seulement.
Il était tard. Ai dû fermer le bouquin là-dessus ... à la page 105. Seulement.
À suivre
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