Ah! comme il semblait heureux, ce jour-là, ce «petit candidat» comme les appellent les médias dominants, d'avoir enfin droit à un temps de parole suffisamment long pour expliquer plus en profondeur son programme.
François Asselineau est le candidat inattendu des présidentielles 2017. Diplômé d'HEC (Hautes Études Commerciales) et de l'ENA (École Nationale d'Administration), il a fait carrière en qualité d'inspecteur des finances dans différents cabinets ministériels et à l'étranger, notamment au Japon. En 2007, il a fondé un parti, l'UPR (Union Populaire Républicaine), qui se réclame du général de Gaulle.
Passionné pour l'Histoire et de la manière dont elle éclaire sa vision du monde, François Asselineau n'y va pas par quatre chemins pour afficher sa volonté de sortir la France de l'Union européenne, de l'euro ainsi que de l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord).
On dit de certains candidats qu'ils sont petits. Moi, je dis qu'il y en a qui sont grands sauf qu'ils dirigent de petits partis. Et François Asselineau fait partie de ceux-là. C'est bien de l'écouter, c'est même utile de le prendre au sérieux, mais il faut être éveillé pour le suivre dans ses pérégrinations (il a visité 85 pays de par le monde).
Or, quand on l'a entendu détailler son programme sur son site ou celui de Natacha Polony, on ne peut se tromper sur l'homme; si vous n'êtes pas pro-mondialiste, évidemment. Dommage que la coalition des petits partis anti-mondialisme et pro-sortie de l'Union européenne ne puissent se réaliser avant les élections présidentielles.
Or, quand on l'a entendu détailler son programme sur son site ou celui de Natacha Polony, on ne peut se tromper sur l'homme; si vous n'êtes pas pro-mondialiste, évidemment. Dommage que la coalition des petits partis anti-mondialisme et pro-sortie de l'Union européenne ne puissent se réaliser avant les élections présidentielles.
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La corneille à trois pattes
Si pour certains d'entre nous, on a cru que La corneille à trois pattes était un conte pour enfants, eh bien, on s'est pitoyablement mis un doigt dans l'œil.
Le complotisme ne cessera jamais de nous étonner. La Société secrète portant le nom de Corneille à trois pattes fait s'envoler le temps par-delà la brume, les montagnes, la vie même ... mais existerait encore de nos jours, figée dans ce même temps. La corneille à trois pattes ou yatagarasu est au Japon un symbole de l'intervention divine dans les affaires humaines.
Je ne raconterai pas ici tout l'historique de ce symbole, mais j'aimerais tout de même dire que, peu importe le mystère entourant les secrets d'un passé très lointain, des enseignants ont hérité, de siècle en siècle, d'un savoir millénaire dont les enseignements sont basés sur des mandalas.
Or chaque mandala est constitué par de nombreux dessins liés entre eux et il faut au moins deux ans pour l'apprendre. Dans le bouddhisme, le mandala est une représentation symbolique de l'univers, géométrique et centrée.
Voici une photo d'un de ces anciens mandalas.
Or chaque mandala est constitué par de nombreux dessins liés entre eux et il faut au moins deux ans pour l'apprendre. Dans le bouddhisme, le mandala est une représentation symbolique de l'univers, géométrique et centrée.
Voici une photo d'un de ces anciens mandalas.
Dans ce mandala, se trouvent plusieurs légendes et histoires à propos de pèlerins qui vinrent à Kumano pour guérir physiquement et spirituellement. Source: Google |
Aujourd'hui, l'art du mandala n'a pas perdu de son aura, au contraire. De plus en plus populaire, cet art a conquis des millions de gens qui s'y adonnent plus ou moins intensément. Parmi ces gens, on compte mes deux sœurs.
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Je termine en écoutant cette chanteuse que je ne connaissais pas jusqu'à ... maintenant, ou pire, dont j'avais oublié jusqu'au timbre de voix. Bref, mieux vaut tard que jamais.
Ma sœur, Diane, s'y adonne depuis un certain temps ayant recours au simple coloriage. Elle dit y trouver une apaisante relaxation. |
Tandis que ma sœur Lolo, elle,
à l'imagination plus exubérante,
transforme ses dessins mandalas en petites œuvres d'art.
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Je termine en écoutant cette chanteuse que je ne connaissais pas jusqu'à ... maintenant, ou pire, dont j'avais oublié jusqu'au timbre de voix. Bref, mieux vaut tard que jamais.